
Click & collect
Découvrez les points de vente autour de vous
Paiement sécurisé
Vos données sont protégées
Flexibilité
Convenez des modalités de réception avec le vendeur
Assistance
Mise en contact direct avec nos vendeurs
À propos du vendeur

C’est “l’un des plus grands auteurs de la jeune littérature anglaise”, considère The Guardian. En l’occurrence, Toby Litt. À vrai dire, avec un nom pareil, diminutif ou raccourci de “littérature”, ça ne s’invente pas ! Son deuxième roman, après le surprenant Doux carnage, relève à la fois du Club des cinq, du Manuel des castors juniors et d’Orange mécanique. Quelque chose de tendre et de diabolique. Quelque chose qui participe de l’adolescence insouciante et féroce, rebelle et farouche. Gang. Quatre lettres. Quatre personnages : Andrew, Matthew, Paul et Peter, respectivement sergent, sous-lieutenant, et caporaux. Retirés dans leur verte campagne anglaise, ils ont formé un “gang” pour résister à l’envahisseur russe, sauver le pays et contre-attaquer. En ces années 70, la guerre froide a laissé des traces… On imagine l’ennemi, on échafaude des plans, parés de tenues militaires. On se nourrit de haines, plus ou moins fictives… Mais voilà que l’un des membres, Matthew, succombe à une méningite, faute de soins. Jugés responsables pour leur lenteur à intervenir : les grands-parents. Et la haine de ce qui reste du gang, de ces trois mousquetaires vengeurs, de se retourner contre les adultes. Les adolescents ne sont pas des innocents. Mais capables du pire comme du meilleur. Ici, le gang ne se privera pas de commettre le pire. Les adultes n’ont qu’à bien se tenir. Drôle, cruel, violent et aiguisé, un brin diabolique (sinon un fagot), Gang se détache largement des clichés (cependant justes) tombant sur la littérature anglaise. Nul non-sens, nul flegme britannique. Voilà un récit (d’aventures) aux portes de la Guerre des boutons, en plus grave, mené sur un rythme endiablé et prodigieusement inventif. Comme s’il n’était responsable en rien, l’auteur annonce avoir trouvé cette histoire sous forme de manuscrit, dans le bureau de son père, tout juste suicidé, pendu. Un subterfuge classique et éprouvé sur la paternité d’un texte. Il n’empêche. Toby Litt mérite bien son nom ! –Céline Darner Souvenez-vous : les fêtes foraines, la chenille. Un manège qui nous envoyait valser dans tous les sens sur fond de Top 50 braillard… On en ressortait pas fiers, mais prêts à repartir pour un tour quand même. “Gang”, c’est exactement ça. Un livre qui vous secoue très fort avant de vous laisser pantelant, mais heureux. Heureux parce que de telles émotions, en littérature, c’est rare … Quatre petits garçons forment “Gang”, un groupe d’intervention militaire. Leur devise : “Tuer pour vivre, vivre pour tuer”. D’abord, on suit leurs entraînements. Violents. Mais pas tant que ça finalement, à côté des punitions infligées à Andrew par son père … Comme un chat avec une souris, Toby Litt joue avec nous. Et ça fait mal. Subrepticement, au fil des pages, il glisse un détail qui laisse présager l’horreur qui va suivre. On s’inquiète, on frissonne, puis plus rien. Tout redevient tranquille. On respire. Mais, de nouveau, ça dérape. Et ainsi de suite … Ce jeune Anglais nous livre ici un roman génial. Délicieusement dérangeant, habilement construit, divinement bien écrit. Les années 70. Plein été. La campagne anglaise. Nous étions quatre – un groupe d’intervention militaire – Gang. La Guerre Froide. Jeux d’enfants. Exercices d’entraînement. Dans les rues et les champs. Ennemis déclarés : les adultes. Mission : extinction. Dans nos foyers, chambres et cuisines. Pas de merveilleuses explosions, de médailles ni d’acclamations. Fin du divertissement. Le printemps reviendra. Deux d’entre nous seraient morts au champ d’honneur.
Description
<p>C’est “l’un des plus grands auteurs de la jeune littérature anglaise”, considère The Guardian. En l’occurrence, Toby Litt. À vrai dire, avec un nom pareil, diminutif ou raccourci de “littérature”, ça ne s’invente pas ! Son deuxième roman, après le surprenant Doux carnage, relève à la fois du Club des cinq, du Manuel des castors juniors et d’Orange mécanique. Quelque chose de tendre et de diabolique. Quelque chose qui participe de l’adolescence insouciante et féroce, rebelle et farouche. Gang. Quatre lettres. Quatre personnages : Andrew, Matthew, Paul et Peter, respectivement sergent, sous-lieutenant, et caporaux. Retirés dans leur verte campagne anglaise, ils ont formé un “gang” pour résister à l’envahisseur russe, sauver le pays et contre-attaquer. En ces années 70, la guerre froide a laissé des traces… On imagine l’ennemi, on échafaude des plans, parés de tenues militaires. On se nourrit de haines, plus ou moins fictives… Mais voilà que l’un des membres, Matthew, succombe à une méningite, faute de soins. Jugés responsables pour leur lenteur à intervenir : les grands-parents. Et la haine de ce qui reste du gang, de ces trois mousquetaires vengeurs, de se retourner contre les adultes. Les adolescents ne sont pas des innocents. Mais capables du pire comme du meilleur. Ici, le gang ne se privera pas de commettre le pire. Les adultes n’ont qu’à bien se tenir. Drôle, cruel, violent et aiguisé, un brin diabolique (sinon un fagot), Gang se détache largement des clichés (cependant justes) tombant sur la littérature anglaise. Nul non-sens, nul flegme britannique. Voilà un récit (d’aventures) aux portes de la Guerre des boutons, en plus grave, mené sur un rythme endiablé et prodigieusement inventif. Comme s’il n’était responsable en rien, l’auteur annonce avoir trouvé cette histoire sous forme de manuscrit, dans le bureau de son père, tout juste suicidé, pendu. Un subterfuge classique et éprouvé sur la paternité d’un texte. Il n’empêche. Toby Litt mérite bien son nom ! –Céline Darner Souvenez-vous : les fêtes foraines, la chenille. Un manège qui nous envoyait valser dans tous les sens sur fond de Top 50 braillard… On en ressortait pas fiers, mais prêts à repartir pour un tour quand même. “Gang”, c’est exactement ça. Un livre qui vous secoue très fort avant de vous laisser pantelant, mais heureux. Heureux parce que de telles émotions, en littérature, c’est rare … Quatre petits garçons forment “Gang”, un groupe d’intervention militaire. Leur devise : “Tuer pour vivre, vivre pour tuer”. D’abord, on suit leurs entraînements. Violents. Mais pas tant que ça finalement, à côté des punitions infligées à Andrew par son père … Comme un chat avec une souris, Toby Litt joue avec nous. Et ça fait mal. Subrepticement, au fil des pages, il glisse un détail qui laisse présager l’horreur qui va suivre. On s’inquiète, on frissonne, puis plus rien. Tout redevient tranquille. On respire. Mais, de nouveau, ça dérape. Et ainsi de suite … Ce jeune Anglais nous livre ici un roman génial. Délicieusement dérangeant, habilement construit, divinement bien écrit. Les années 70. Plein été. La campagne anglaise. Nous étions quatre – un groupe d’intervention militaire – Gang. La Guerre Froide. Jeux d’enfants. Exercices d’entraînement. Dans les rues et les champs. Ennemis déclarés : les adultes. Mission : extinction. Dans nos foyers, chambres et cuisines. Pas de merveilleuses explosions, de médailles ni d’acclamations. Fin du divertissement. Le printemps reviendra. Deux d’entre nous seraient morts au champ d’honneur.</p>
Auteur
Toby LittReliure
- Broché
SBN 13
9782020520072ISBN 10
2020520079Nombre de pages
480Largeur
3Longueur
14.1Épaisseur
22.5Méthode de livraison

Vous pourriez aussi aimer... Livr'Ensemble

Ce qu'Einstein disait à son coiffeur : Des réponses décoiffantes aux questions de tous les jours
Un prix juste et transparent
Les produits mis en vente sur cette plateforme ont été récupérés et remis en état par des entreprises d'économie sociale et circulaire.
En achetant ces produits, vous soutenez une activité localement inscrite qui met à l'emploi un maximum de personnes tout en diminuant la quantité de déchets produits par notre société.
Merci pour votre geste!