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On aurait envie de lappeler Annie. De la tutoyer, LA Girardot. Rarement une actrice aura autant suscité damitié spontanée de la part du public, comme une star familière. Une habituée que lon respecte, que lon aime. On a pleuré avec elle lors de la remise de son César (du meilleur second rôle ). On sest réjoui de son Molière pour son retour au théâtre. Dans Partir, revenir, on la découvre plus intimement. De ses débuts au Conservatoire jusquà la pièce Madame Marguerite – qui prouve lextraordinaire rage de vivre qui anime cette comédienne hors norme- ; voilà plus de deux cents pages de vie pleine, remplie, riche, passionnée. Vivante comme Annie. Car elle a vécu ! Elle en a côtoyé des personnalités. Elle a aimé aussi et parfois, avec violence : Bernard Fresson, Claude Lelouch ou Jacques Brel. Et, évidemment, Renato Salvatori, le grand amour. Et puis, jamais très loin de sa vie privée, sa carrière. Son “révélateur” Luchino Visconti, et autres Cocteau, Audiard. Ses “collègues” de travail comme Gabin, ses amitiés avec Piaf, Delon “le frère”, Serrault ou Barbara. Et sa mère, présente et attentionnée jusquau bout. Qui disparaîtra un an après Renato. Il y a omniprésente, en filigrane derrière cette autobiographie, la mort. Adieu les de Funès, Visconti et autres monstres sacrés qui ont illuminé la vie de lactrice. Cest sans doute aussi pour eux que ce livre existe. Avec pudeur, humour et sensibilité, Annie Giradot se raconte. Le livre terminé, on na plus quun souhait : quelle continue longtemps dêtre là, vivante entre les vivantes. Et quelle nous raconte encore . –Marine Segalen Façonnée par Cocteau au théâtre avec La Machine à écrire, révélée par Visconti au cinéma dans Rocco et ses frères, elle fit pleurer la France avec Mourir d’aimer d’André Cavatte et la fit rire avec Audiard, Elle boit pas, elle fuir ce pas, elle drague pas, mais… elle cause. ” Elle peut tout jouer “, observaient déjà ses professeurs du Conservatoire. Elle incarne la comédie, le drame, le cinéma, le théâtre et même la chanson. Elle est la représentante la plus populaire et émouvante du cinéma français. Tous les soirs depuis deux ans, elle joue sa pièce fétiche Madame Marguerite, et reçoit les hommages répétés du public de Paris à Moscou. Pour la première fois à travers cet ouvrage, Annie Girardot livre sa vie à sa façon, entre émotions, joies, trahisons et dérision. Et surtout son immense amour du cinéma avec un regard lucide et tendre pour une profession qui lui a tout donné.
Description
<p>On aurait envie de lappeler Annie. De la tutoyer, LA Girardot. Rarement une actrice aura autant suscité damitié spontanée de la part du public, comme une star familière. Une habituée que lon respecte, que lon aime. On a pleuré avec elle lors de la remise de son César (du meilleur second rôle ). On sest réjoui de son Molière pour son retour au théâtre. Dans Partir, revenir, on la découvre plus intimement. De ses débuts au Conservatoire jusquà la pièce Madame Marguerite – qui prouve lextraordinaire rage de vivre qui anime cette comédienne hors norme- ; voilà plus de deux cents pages de vie pleine, remplie, riche, passionnée. Vivante comme Annie. Car elle a vécu ! Elle en a côtoyé des personnalités. Elle a aimé aussi et parfois, avec violence : Bernard Fresson, Claude Lelouch ou Jacques Brel. Et, évidemment, Renato Salvatori, le grand amour. Et puis, jamais très loin de sa vie privée, sa carrière. Son “révélateur” Luchino Visconti, et autres Cocteau, Audiard. Ses “collègues” de travail comme Gabin, ses amitiés avec Piaf, Delon “le frère”, Serrault ou Barbara. Et sa mère, présente et attentionnée jusquau bout. Qui disparaîtra un an après Renato. Il y a omniprésente, en filigrane derrière cette autobiographie, la mort. Adieu les de Funès, Visconti et autres monstres sacrés qui ont illuminé la vie de lactrice. Cest sans doute aussi pour eux que ce livre existe. Avec pudeur, humour et sensibilité, Annie Giradot se raconte. Le livre terminé, on na plus quun souhait : quelle continue longtemps dêtre là, vivante entre les vivantes. Et quelle nous raconte encore . –Marine Segalen Façonnée par Cocteau au théâtre avec La Machine à écrire, révélée par Visconti au cinéma dans Rocco et ses frères, elle fit pleurer la France avec Mourir d’aimer d’André Cavatte et la fit rire avec Audiard, Elle boit pas, elle fuir ce pas, elle drague pas, mais… elle cause. ” Elle peut tout jouer “, observaient déjà ses professeurs du Conservatoire. Elle incarne la comédie, le drame, le cinéma, le théâtre et même la chanson. Elle est la représentante la plus populaire et émouvante du cinéma français. Tous les soirs depuis deux ans, elle joue sa pièce fétiche Madame Marguerite, et reçoit les hommages répétés du public de Paris à Moscou. Pour la première fois à travers cet ouvrage, Annie Girardot livre sa vie à sa façon, entre émotions, joies, trahisons et dérision. Et surtout son immense amour du cinéma avec un regard lucide et tendre pour une profession qui lui a tout donné.</p>
Auteur
Annie GirardotReliure
- Broché
SBN 13
9782749100418ISBN 10
2749100410Nombre de pages
228Largeur
2.01Longueur
15.6Épaisseur
24.1Méthode de livraison

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