Et on tuera tous les affreux - Les fourmis

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Et on tuera tous les affreux - Les fourmis

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Caractéristiques techniques

Description

<p>Et on tuera tous les affreux<br />
Se réveiller tout nu dans une chambre de clinique, où l&#8217;on veut vous forcer à faire l&#8217;amour avec une très belle fille&#8230; L&#8217;aventure n&#8217;est pas banale. Surtout quand on s&#8217;appelle Rocky, que l&#8217;on est la coqueluche des demoiselles et qu&#8217;on voudrait se garder vierge jusqu&#8217;à vingt ans.<br />
Un homme assassiné dans une cabine téléphonique, des photos d&#8217;opérations chirurgicales abominables, des courses poursuites, des coups de poing, et, au désespoir de Rocky, des filles partout : tel est le cocktail mis au point par Boris Vian (alias Vernon Sullivan) dans ce polar mené à un train d&#8217;enfer, tour à tour angoissant et hilarant.<br />
A la clef, la clinique où le diabolique Dr Schutz sélectionne des reproducteurs humains et bricole des embryons, prototypes quelquefois ratés d&#8217;une race « supérieure ». Cinquante ans après la première publication, on est conduit à penser que l&#8217;anticipation n&#8217;était pas si fantaisiste&#8230;</p>
<p>Les fourmis<br />
&#8221; On est arrivés ce matin et on n&#8217;a pas été bien reçus, car il n&#8217;y avait personne sur la plage que des tas de types morts ou des tas de morceaux de types&#8230; &#8221;<br />
Cette première phrase des Fourmis donne le ton de ce livre. Si l&#8217;on y rencontre à chaque page l&#8217;humour en coup de poing, la fantaisie verbale, l&#8217;imagination drolatique, le goût du canular qui ont fait la célébrité de Boris Vian, on dirait qu&#8217;ils visent surtout à conjurer les menaces d&#8217;un monde hostile. Personne n&#8217;aimerait monter dans le train du &#8221; Voyage à Khonostrov &#8220;, surtout s&#8217;il n&#8217;a pas envie de faire la conversation. Personne n&#8217;aimerait résider trop près de l&#8217;école des &#8221; fliques &#8220;, où l&#8217;on voit comment la bêtise ordinaire conduit tout droit à un totalitarisme barbare.<br />
Ces onze nouvelles de jeunesse ont été rassemblées et publiées par Boris Vian lui-même, en 1949. Elles disent déjà les obsessions et les révoltes qu&#8217;exprimeront les chefs-d&#8217;œuvre de l&#8217;écrivain, L&#8217;Ecume des jours ou J&#8217;irai cracher sur vos tombes.<br />
Les fourmis, dont l&#8217;édition originale date de 1949, appartient aux oeuvres majeures de Boris Vian. Qui a lu et aimé L&#8217;Ecume des Jours ou L&#8217;Automne à Pékin ne peut ignorer ce volume. Onze récits &#8211; écrits de 1944 à 1947 &#8211; s&#8217;y trouvent réunis, où se conjuguent l&#8217;émotion, la verve, la fantaisie, la tendresse et la saine insolence de Boris Vian,-dans son style inimitable, fort et libre. Dès la parution dans Les Temps Modernes en 1946 du premier récit qui a donné son titre au recueil, Boris Vian fut reconnu comme un maître dans l&#8217;art difficile et passionnant de la nouvelle. Journaux et magazines publièrent ces années-là plusieurs des textes rassemblés ensuite par Boris Vian lui-même dans l&#8217;ordre où ils paraissent aujourd&#8217;hui. Les rééditions du livre, après la mort de l&#8217;auteur, et la reprise de certains textes en diverses anthologies ont confirmé le succès des Fourmis, en conférant à l&#8217;ouvrage sa place définitive dans notre littérature.</p>

Auteur

Boris Vian

Reliure

  • Broché

SBN 13

9782744124075

ISBN 10

2744124079

Nombre de pages

380

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Et on tuera tous les affreux
Se réveiller tout nu dans une chambre de clinique, où l’on veut vous forcer à faire l’amour avec une très belle fille… L’aventure n’est pas banale. Surtout quand on s’appelle Rocky, que l’on est la coqueluche des demoiselles et qu’on voudrait se garder vierge jusqu’à vingt ans.
Un homme assassiné dans une cabine téléphonique, des photos d’opérations chirurgicales abominables, des courses poursuites, des coups de poing, et, au désespoir de Rocky, des filles partout : tel est le cocktail mis au point par Boris Vian (alias Vernon Sullivan) dans ce polar mené à un train d’enfer, tour à tour angoissant et hilarant.
A la clef, la clinique où le diabolique Dr Schutz sélectionne des reproducteurs humains et bricole des embryons, prototypes quelquefois ratés d’une race « supérieure ». Cinquante ans après la première publication, on est conduit à penser que l’anticipation n’était pas si fantaisiste…

Les fourmis
” On est arrivés ce matin et on n’a pas été bien reçus, car il n’y avait personne sur la plage que des tas de types morts ou des tas de morceaux de types… ”
Cette première phrase des Fourmis donne le ton de ce livre. Si l’on y rencontre à chaque page l’humour en coup de poing, la fantaisie verbale, l’imagination drolatique, le goût du canular qui ont fait la célébrité de Boris Vian, on dirait qu’ils visent surtout à conjurer les menaces d’un monde hostile. Personne n’aimerait monter dans le train du ” Voyage à Khonostrov “, surtout s’il n’a pas envie de faire la conversation. Personne n’aimerait résider trop près de l’école des ” fliques “, où l’on voit comment la bêtise ordinaire conduit tout droit à un totalitarisme barbare.
Ces onze nouvelles de jeunesse ont été rassemblées et publiées par Boris Vian lui-même, en 1949. Elles disent déjà les obsessions et les révoltes qu’exprimeront les chefs-d’œuvre de l’écrivain, L’Ecume des jours ou J’irai cracher sur vos tombes.
Les fourmis, dont l’édition originale date de 1949, appartient aux oeuvres majeures de Boris Vian. Qui a lu et aimé L’Ecume des Jours ou L’Automne à Pékin ne peut ignorer ce volume. Onze récits – écrits de 1944 à 1947 – s’y trouvent réunis, où se conjuguent l’émotion, la verve, la fantaisie, la tendresse et la saine insolence de Boris Vian,-dans son style inimitable, fort et libre. Dès la parution dans Les Temps Modernes en 1946 du premier récit qui a donné son titre au recueil, Boris Vian fut reconnu comme un maître dans l’art difficile et passionnant de la nouvelle. Journaux et magazines publièrent ces années-là plusieurs des textes rassemblés ensuite par Boris Vian lui-même dans l’ordre où ils paraissent aujourd’hui. Les rééditions du livre, après la mort de l’auteur, et la reprise de certains textes en diverses anthologies ont confirmé le succès des Fourmis, en conférant à l’ouvrage sa place définitive dans notre littérature.

Description

<p>Et on tuera tous les affreux<br />
Se réveiller tout nu dans une chambre de clinique, où l&#8217;on veut vous forcer à faire l&#8217;amour avec une très belle fille&#8230; L&#8217;aventure n&#8217;est pas banale. Surtout quand on s&#8217;appelle Rocky, que l&#8217;on est la coqueluche des demoiselles et qu&#8217;on voudrait se garder vierge jusqu&#8217;à vingt ans.<br />
Un homme assassiné dans une cabine téléphonique, des photos d&#8217;opérations chirurgicales abominables, des courses poursuites, des coups de poing, et, au désespoir de Rocky, des filles partout : tel est le cocktail mis au point par Boris Vian (alias Vernon Sullivan) dans ce polar mené à un train d&#8217;enfer, tour à tour angoissant et hilarant.<br />
A la clef, la clinique où le diabolique Dr Schutz sélectionne des reproducteurs humains et bricole des embryons, prototypes quelquefois ratés d&#8217;une race « supérieure ». Cinquante ans après la première publication, on est conduit à penser que l&#8217;anticipation n&#8217;était pas si fantaisiste&#8230;</p>
<p>Les fourmis<br />
&#8221; On est arrivés ce matin et on n&#8217;a pas été bien reçus, car il n&#8217;y avait personne sur la plage que des tas de types morts ou des tas de morceaux de types&#8230; &#8221;<br />
Cette première phrase des Fourmis donne le ton de ce livre. Si l&#8217;on y rencontre à chaque page l&#8217;humour en coup de poing, la fantaisie verbale, l&#8217;imagination drolatique, le goût du canular qui ont fait la célébrité de Boris Vian, on dirait qu&#8217;ils visent surtout à conjurer les menaces d&#8217;un monde hostile. Personne n&#8217;aimerait monter dans le train du &#8221; Voyage à Khonostrov &#8220;, surtout s&#8217;il n&#8217;a pas envie de faire la conversation. Personne n&#8217;aimerait résider trop près de l&#8217;école des &#8221; fliques &#8220;, où l&#8217;on voit comment la bêtise ordinaire conduit tout droit à un totalitarisme barbare.<br />
Ces onze nouvelles de jeunesse ont été rassemblées et publiées par Boris Vian lui-même, en 1949. Elles disent déjà les obsessions et les révoltes qu&#8217;exprimeront les chefs-d&#8217;œuvre de l&#8217;écrivain, L&#8217;Ecume des jours ou J&#8217;irai cracher sur vos tombes.<br />
Les fourmis, dont l&#8217;édition originale date de 1949, appartient aux oeuvres majeures de Boris Vian. Qui a lu et aimé L&#8217;Ecume des Jours ou L&#8217;Automne à Pékin ne peut ignorer ce volume. Onze récits &#8211; écrits de 1944 à 1947 &#8211; s&#8217;y trouvent réunis, où se conjuguent l&#8217;émotion, la verve, la fantaisie, la tendresse et la saine insolence de Boris Vian,-dans son style inimitable, fort et libre. Dès la parution dans Les Temps Modernes en 1946 du premier récit qui a donné son titre au recueil, Boris Vian fut reconnu comme un maître dans l&#8217;art difficile et passionnant de la nouvelle. Journaux et magazines publièrent ces années-là plusieurs des textes rassemblés ensuite par Boris Vian lui-même dans l&#8217;ordre où ils paraissent aujourd&#8217;hui. Les rééditions du livre, après la mort de l&#8217;auteur, et la reprise de certains textes en diverses anthologies ont confirmé le succès des Fourmis, en conférant à l&#8217;ouvrage sa place définitive dans notre littérature.</p>

Auteur

Boris Vian

Reliure

  • Broché

SBN 13

9782744124075

ISBN 10

2744124079

Nombre de pages

380

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