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LA DEDICACE DE L’AUTEUR : J’ai écrit ce roman sans même m’en apercevoir. Un an jour pour jour après le décès brutal de mon père, j’ai commencé à taper comme si ma vie en dépendait. Mais raconter quoi ? La guerre d’Algérie à Roubaix ? De ces années noires, des luttes sanglantes entre Algériens, de la torture, de la cellule, de la guillotine qui a fauché ses amis, le “vieux”, militant indépendantiste de la première heure, ne laissait échapper que des bribes. A cause de ce silence, de nombreux Algériens, nationalistes ou harkis, ont légué à leurs enfants, tous français, une douleur insurmontable. Une douleur (auto)destructrice. Pourquoi un tel sujet ? Brutalement, je suis devenu allergique au mot “intégration”. Agiter en permanence ce terme sous le nez d’un(e) citoyenne) français(e) revient à lui signifier son “statut spécial” au sein de la nation française. Même sur le ton de la blague, la remarque : “Toi, t’es bien intégré(e) !” souligne une différence négative. A terme, “intégration” finit par rimer avec “agression”. (Lakhdar Belaïd) Repêcher le corps d’un vieux copain dans le canal de Roubaix, ce n’est pas la fête. Que dire alors de ces cadavres de jeunes musulmans exhibant des petits panneaux ? En plus, le journaliste Khodja fait le Ramadan. Réfléchir le ventre vide, éviter les réflexes impurs et passer ses nuits à la poursuite de tueurs masqués, quelle galère ! D’autant que la haine entre Algériens nationalistes et harkis sommeille, que le Front National est à l’affût et que les élections municipales approchent. À Roubaix, la guerre d’Algérie ne demande qu’à repartir…
Description
<p>LA DEDICACE DE L’AUTEUR : J’ai écrit ce roman sans même m’en apercevoir. Un an jour pour jour après le décès brutal de mon père, j’ai commencé à taper comme si ma vie en dépendait. Mais raconter quoi ? La guerre d’Algérie à Roubaix ? De ces années noires, des luttes sanglantes entre Algériens, de la torture, de la cellule, de la guillotine qui a fauché ses amis, le “vieux”, militant indépendantiste de la première heure, ne laissait échapper que des bribes. A cause de ce silence, de nombreux Algériens, nationalistes ou harkis, ont légué à leurs enfants, tous français, une douleur insurmontable. Une douleur (auto)destructrice. Pourquoi un tel sujet ? Brutalement, je suis devenu allergique au mot “intégration”. Agiter en permanence ce terme sous le nez d’un(e) citoyenne) français(e) revient à lui signifier son “statut spécial” au sein de la nation française. Même sur le ton de la blague, la remarque : “Toi, t’es bien intégré(e) !” souligne une différence négative. A terme, “intégration” finit par rimer avec “agression”. (Lakhdar Belaïd) Repêcher le corps d’un vieux copain dans le canal de Roubaix, ce n’est pas la fête. Que dire alors de ces cadavres de jeunes musulmans exhibant des petits panneaux ? En plus, le journaliste Khodja fait le Ramadan. Réfléchir le ventre vide, éviter les réflexes impurs et passer ses nuits à la poursuite de tueurs masqués, quelle galère ! D’autant que la haine entre Algériens nationalistes et harkis sommeille, que le Front National est à l’affût et que les élections municipales approchent. À Roubaix, la guerre d’Algérie ne demande qu’à repartir…</p>
Auteur
Lakhdar BelaïdReliure
- Broché
SBN 13
9782070426928ISBN 10
2070426920Nombre de pages
272Largeur
1.8Longueur
10.8Épaisseur
17.81Méthode de livraison

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