No logo

No logo

Référence: L71087

5,50 €
Livr'Ensemble Livr'Ensemble

No logo

+ En savoir plus

Caractéristiques techniques

Description

<p>Zéro espace, zéro choix, zéro boulot : tel est, selon Naomi Klein, la société issue de la mondialisation et du règne des marques. Zéro espace, car la ville est envahie par la publicité. Les logos s&#8217;étalent même sur nos vêtements. Zéro choix, car le commerce indépendant ou local disparaît au profit de chaînes. Manger un en-cas veut souvent dire aller au McDo, de New York à Marseille, en passant par Buenos Aires. Zéro choix, c&#8217;est aussi l&#8217;influence des marques sur notre imaginaire, notre personnalité : impossible d&#8217;offrir une veste si ce n&#8217;est pas une Gap. Troisième conséquence de la mondialisation : zéro boulot. Les années quatre-vingt-dix ont marqué un tournant dans la conception même de la marque : les entreprises ne vendent plus des objets, mais des concepts. Nike ne produit plus des chaussures de sport, mais devient le sport à l&#8217;état pur. Résultat : les budgets et l&#8217;énergie de l&#8217;entreprise sont centrés sur le branding. La production, elle, devient secondaire et est délocalisée dans le Tiers-Monde. Ces emplois perdus en Occident devraient logiquement alimenter la croissance du Tiers-Monde. Or, selon l&#8217;auteur, les conditions de travail sont tellement pénibles et les salaires tellement bas dans les sweatshops des zones franches que cette délocalisation ne profite pas à ces populations, mais uniquement aux multinationales. Alors comment réagir ? Puisque les États semblent impuissants, boycotts, manifestations anti-mondialisation, information des consommateurs semblent être les armes des citoyens. Certaines font reculer l&#8217;empire des marques… Naomi Klein, journaliste indépendante canadienne, offre avec No Logo une enquête de terrain, alimentée de nombreux chiffres et témoignages. S&#8217;inscrivant dans le mouvement anti-mondialisation qui s&#8217;affirme de Seattle aux campagnes françaises contre la malbouffe, No Logo est en passe de devenir un livre-culte. Cela malgré quelques pistes non explorées : en effet, a qui profite la mondialisation ? N&#8217;est-ce pas elle qui alimente aussi en produits de qualité et très bon marché nos propres supermarchés offrant à ceux qui n&#8217;en avaient pas les moyens auparavant un accès aux biens de consommation ? &#8211;Valérie Plomb Aujourd&#8217;hui, le village est &#8220;planétaire&#8221;, l&#8217;adolescence &#8220;mondiale&#8221; et la société de consommation dominée par les marques. Les espaces publicitaires traditionnels sont devenus trop restreints pour des logos frappés d&#8217;expansionnisme galopant. En plantant leurs drapeaux sur des territoires vierges de toute publicité, en substituant au simple objet de consommation une image à valeur mythique, les multinationales n&#8217;ont pas seulement bouleversé les mentalités et les lois du travail, elles ont modifié l&#8217;économie de nombreux pays dans une course au profit qui bafoue sans scrupule les droits et libertés civils. Mais le nombre augmente de ceux qui prônent l&#8217;urgence d&#8217;une mobilisation vigilante, dénoncent les abus des grandes sociétés et réclament un partage plus équitable des bénéfices des multinationales. Ce nouveau militantisme a déjà gagné des batailles contre les logos mastodontes. Les événements de Seattle ou de Prague l&#8217;ont prouvé : il est encore temps de dire non à la tyrannie des marques. Etat des lieux de la société de consommation, &#8221; &#8220;No logo&#8221; &#8221; analyse et dénonce les innombrables pratiques d&#8217;intrusion des marques au coeur de nos vies quotidiennes et expose les formes de résistance qui se mobilisent aujourd&#8217;hui pour combattre leur emprise prédatrice. Un best-seller mondial.</p>

Auteur

Naomi Klein

Reliure

  • Broché

SBN 13

9782742737802

ISBN 10

2742737804

Nombre de pages

752

Largeur

4.39

Longueur

11

Épaisseur

17.7

Click & collect

Découvrez les points de vente autour de vous

Paiement sécurisé

Vos données sont protégées

Flexibilité

Convenez des modalités de réception avec le vendeur

Assistance

Mise en contact direct avec nos vendeurs

À propos du vendeur

Vendu par
Livr'Ensemble
Rue du Grand Péril 108, 7090 Braine-le-Comte, Belgique

Zéro espace, zéro choix, zéro boulot : tel est, selon Naomi Klein, la société issue de la mondialisation et du règne des marques. Zéro espace, car la ville est envahie par la publicité. Les logos s’étalent même sur nos vêtements. Zéro choix, car le commerce indépendant ou local disparaît au profit de chaînes. Manger un en-cas veut souvent dire aller au McDo, de New York à Marseille, en passant par Buenos Aires. Zéro choix, c’est aussi l’influence des marques sur notre imaginaire, notre personnalité : impossible d’offrir une veste si ce n’est pas une Gap. Troisième conséquence de la mondialisation : zéro boulot. Les années quatre-vingt-dix ont marqué un tournant dans la conception même de la marque : les entreprises ne vendent plus des objets, mais des concepts. Nike ne produit plus des chaussures de sport, mais devient le sport à l’état pur. Résultat : les budgets et l’énergie de l’entreprise sont centrés sur le branding. La production, elle, devient secondaire et est délocalisée dans le Tiers-Monde. Ces emplois perdus en Occident devraient logiquement alimenter la croissance du Tiers-Monde. Or, selon l’auteur, les conditions de travail sont tellement pénibles et les salaires tellement bas dans les sweatshops des zones franches que cette délocalisation ne profite pas à ces populations, mais uniquement aux multinationales. Alors comment réagir ? Puisque les États semblent impuissants, boycotts, manifestations anti-mondialisation, information des consommateurs semblent être les armes des citoyens. Certaines font reculer l’empire des marques… Naomi Klein, journaliste indépendante canadienne, offre avec No Logo une enquête de terrain, alimentée de nombreux chiffres et témoignages. S’inscrivant dans le mouvement anti-mondialisation qui s’affirme de Seattle aux campagnes françaises contre la malbouffe, No Logo est en passe de devenir un livre-culte. Cela malgré quelques pistes non explorées : en effet, a qui profite la mondialisation ? N’est-ce pas elle qui alimente aussi en produits de qualité et très bon marché nos propres supermarchés offrant à ceux qui n’en avaient pas les moyens auparavant un accès aux biens de consommation ? –Valérie Plomb Aujourd’hui, le village est “planétaire”, l’adolescence “mondiale” et la société de consommation dominée par les marques. Les espaces publicitaires traditionnels sont devenus trop restreints pour des logos frappés d’expansionnisme galopant. En plantant leurs drapeaux sur des territoires vierges de toute publicité, en substituant au simple objet de consommation une image à valeur mythique, les multinationales n’ont pas seulement bouleversé les mentalités et les lois du travail, elles ont modifié l’économie de nombreux pays dans une course au profit qui bafoue sans scrupule les droits et libertés civils. Mais le nombre augmente de ceux qui prônent l’urgence d’une mobilisation vigilante, dénoncent les abus des grandes sociétés et réclament un partage plus équitable des bénéfices des multinationales. Ce nouveau militantisme a déjà gagné des batailles contre les logos mastodontes. Les événements de Seattle ou de Prague l’ont prouvé : il est encore temps de dire non à la tyrannie des marques. Etat des lieux de la société de consommation, ” “No logo” ” analyse et dénonce les innombrables pratiques d’intrusion des marques au coeur de nos vies quotidiennes et expose les formes de résistance qui se mobilisent aujourd’hui pour combattre leur emprise prédatrice. Un best-seller mondial.

Description

<p>Zéro espace, zéro choix, zéro boulot : tel est, selon Naomi Klein, la société issue de la mondialisation et du règne des marques. Zéro espace, car la ville est envahie par la publicité. Les logos s&#8217;étalent même sur nos vêtements. Zéro choix, car le commerce indépendant ou local disparaît au profit de chaînes. Manger un en-cas veut souvent dire aller au McDo, de New York à Marseille, en passant par Buenos Aires. Zéro choix, c&#8217;est aussi l&#8217;influence des marques sur notre imaginaire, notre personnalité : impossible d&#8217;offrir une veste si ce n&#8217;est pas une Gap. Troisième conséquence de la mondialisation : zéro boulot. Les années quatre-vingt-dix ont marqué un tournant dans la conception même de la marque : les entreprises ne vendent plus des objets, mais des concepts. Nike ne produit plus des chaussures de sport, mais devient le sport à l&#8217;état pur. Résultat : les budgets et l&#8217;énergie de l&#8217;entreprise sont centrés sur le branding. La production, elle, devient secondaire et est délocalisée dans le Tiers-Monde. Ces emplois perdus en Occident devraient logiquement alimenter la croissance du Tiers-Monde. Or, selon l&#8217;auteur, les conditions de travail sont tellement pénibles et les salaires tellement bas dans les sweatshops des zones franches que cette délocalisation ne profite pas à ces populations, mais uniquement aux multinationales. Alors comment réagir ? Puisque les États semblent impuissants, boycotts, manifestations anti-mondialisation, information des consommateurs semblent être les armes des citoyens. Certaines font reculer l&#8217;empire des marques… Naomi Klein, journaliste indépendante canadienne, offre avec No Logo une enquête de terrain, alimentée de nombreux chiffres et témoignages. S&#8217;inscrivant dans le mouvement anti-mondialisation qui s&#8217;affirme de Seattle aux campagnes françaises contre la malbouffe, No Logo est en passe de devenir un livre-culte. Cela malgré quelques pistes non explorées : en effet, a qui profite la mondialisation ? N&#8217;est-ce pas elle qui alimente aussi en produits de qualité et très bon marché nos propres supermarchés offrant à ceux qui n&#8217;en avaient pas les moyens auparavant un accès aux biens de consommation ? &#8211;Valérie Plomb Aujourd&#8217;hui, le village est &#8220;planétaire&#8221;, l&#8217;adolescence &#8220;mondiale&#8221; et la société de consommation dominée par les marques. Les espaces publicitaires traditionnels sont devenus trop restreints pour des logos frappés d&#8217;expansionnisme galopant. En plantant leurs drapeaux sur des territoires vierges de toute publicité, en substituant au simple objet de consommation une image à valeur mythique, les multinationales n&#8217;ont pas seulement bouleversé les mentalités et les lois du travail, elles ont modifié l&#8217;économie de nombreux pays dans une course au profit qui bafoue sans scrupule les droits et libertés civils. Mais le nombre augmente de ceux qui prônent l&#8217;urgence d&#8217;une mobilisation vigilante, dénoncent les abus des grandes sociétés et réclament un partage plus équitable des bénéfices des multinationales. Ce nouveau militantisme a déjà gagné des batailles contre les logos mastodontes. Les événements de Seattle ou de Prague l&#8217;ont prouvé : il est encore temps de dire non à la tyrannie des marques. Etat des lieux de la société de consommation, &#8221; &#8220;No logo&#8221; &#8221; analyse et dénonce les innombrables pratiques d&#8217;intrusion des marques au coeur de nos vies quotidiennes et expose les formes de résistance qui se mobilisent aujourd&#8217;hui pour combattre leur emprise prédatrice. Un best-seller mondial.</p>

Auteur

Naomi Klein

Reliure

  • Broché

SBN 13

9782742737802

ISBN 10

2742737804

Nombre de pages

752

Largeur

4.39

Longueur

11

Épaisseur

17.7

Méthode de livraison

Livraison à domicile
Click and Collect
Adresse de retrait du produit
Rue du Grand Péril 108, 7090 Braine-le-Comte, Belgique
Livr'Ensemble

Vous pourriez aussi aimer... Livr'Ensemble

Ce qu'Einstein disait à son coiffeur : Des réponses décoiffantes aux questions de tous les jours
Livre
Musée Hergé - Petit Guide Illustre - Fr
Livre

Musée Hergé - Petit Guide Illustre - Fr

5,99 €
Livr'Ensemble
Braine-le-Comte
Suivez mon regard
Livre

Suivez mon regard

3,99 €
Livr'Ensemble
Braine-le-Comte
Entre chien et loup
Livre

Entre chien et loup

4,99 €
Livr'Ensemble
Braine-le-Comte

Un prix juste et transparent

Les produits mis en vente sur cette plateforme ont été récupérés et remis en état par des entreprises d'économie sociale et circulaire.

En achetant ces produits, vous soutenez une activité localement inscrite qui met à l'emploi un maximum de personnes tout en diminuant la quantité de déchets produits par notre société.

Merci pour votre geste!