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La confession d’espérance du saint défenseur des prostituées et des rejetées au XIXe siècle. Une apologie de la capacité pour toutes et pour tous de renaître. Un grand texte français aux forts échos contemporains. En 1866, le père Lataste publie Les Réhabilité(e)s pour interpeller ses concitoyens et les inviter à changer leur regard sur des femmes criminelles. En effet, la réhabilitation est-elle toujours réaliste ? Réalisable ? Oui, dans certains cas, et elle est nécessaire. Car si l’homme et la société ne pardonnent pas ou difficilement, Dieu, lui, pardonne toujours, sans restriction. À l’heure où les prisons françaises sont saturées, la réhabilitation reste la seule piste sérieuse pour limiter la récidive et offrir aux anciens condamnés une réelle chance de retrouver leur dignité et leur place dans la communauté. C’est ce dont témoignent, dans la seconde partie de ce livre dirigée par Stéphane Jacquot, anciens détenus, magistrats, aumôniers de prison, mais aussi personnalités engagées en faveur de la réinsertion et de l’amélioration des conditions carcérales. Mais plus qu’à des solutions politiques, c’est à un changement profond de mentalité, de regard sur celles et ceux qui ont été condamnés, que nous invite la lecture de ce Mémoire qui, 150 ans après sa première publication, demeure d’une brûlante actualité. La confession d’espérance du saint défenseur des prostituées et des rejetées au XIXe siècle. Une apologie de la capacité pour toutes et pour tous de renaître. Un grand texte français aux forts échos contemporains. A l’heure où les prisons françaises atteignent un pic record de 71 000 détenus pour 60 000 places, la question de la réhabilitation n’a jamais été aussi cruciale. En 1866, le père Lataste publie Les Réhabilitées pour interpeller ses concitoyens et les inviter à changer leur regard sur les femmes criminelles. Après avoir purgé leurs peines, celles-ci doivent être entièrement et pleinement réhabilitées. Alors que nos prisons devraient être plus humaines, la surpopulation carcérale combattue, la réinsertion des détenus favorisée par le régime des peines, la réhabilitation est-elle réalisable de nos jours ? La définition qu’en donnait Lataste est-elle différente aujourd’hui ? Pour y répondre, anciens détenus, magistrats, aumôniers de prisons, mais aussi personnalités engagées en faveur de la réinsertion et de l’amélioration des conditions carcérales, prennent ici la parole pour éclairer les propos de Jean-Joseph Lataste. Un livre qui – 150 ans plus tard – répond à des problématiques contemporaines et nous aide à développer une culture de la réhabilitation.
Description
<p>La confession d’espérance du saint défenseur des prostituées et des rejetées au XIXe siècle. Une apologie de la capacité pour toutes et pour tous de renaître. Un grand texte français aux forts échos contemporains. En 1866, le père Lataste publie Les Réhabilité(e)s pour interpeller ses concitoyens et les inviter à changer leur regard sur des femmes criminelles. En effet, la réhabilitation est-elle toujours réaliste ? Réalisable ? Oui, dans certains cas, et elle est nécessaire. Car si l’homme et la société ne pardonnent pas ou difficilement, Dieu, lui, pardonne toujours, sans restriction. À l’heure où les prisons françaises sont saturées, la réhabilitation reste la seule piste sérieuse pour limiter la récidive et offrir aux anciens condamnés une réelle chance de retrouver leur dignité et leur place dans la communauté. C’est ce dont témoignent, dans la seconde partie de ce livre dirigée par Stéphane Jacquot, anciens détenus, magistrats, aumôniers de prison, mais aussi personnalités engagées en faveur de la réinsertion et de l’amélioration des conditions carcérales. Mais plus qu’à des solutions politiques, c’est à un changement profond de mentalité, de regard sur celles et ceux qui ont été condamnés, que nous invite la lecture de ce Mémoire qui, 150 ans après sa première publication, demeure d’une brûlante actualité. La confession d’espérance du saint défenseur des prostituées et des rejetées au XIXe siècle. Une apologie de la capacité pour toutes et pour tous de renaître. Un grand texte français aux forts échos contemporains. A l’heure où les prisons françaises atteignent un pic record de 71 000 détenus pour 60 000 places, la question de la réhabilitation n’a jamais été aussi cruciale. En 1866, le père Lataste publie Les Réhabilitées pour interpeller ses concitoyens et les inviter à changer leur regard sur les femmes criminelles. Après avoir purgé leurs peines, celles-ci doivent être entièrement et pleinement réhabilitées. Alors que nos prisons devraient être plus humaines, la surpopulation carcérale combattue, la réinsertion des détenus favorisée par le régime des peines, la réhabilitation est-elle réalisable de nos jours ? La définition qu’en donnait Lataste est-elle différente aujourd’hui ? Pour y répondre, anciens détenus, magistrats, aumôniers de prisons, mais aussi personnalités engagées en faveur de la réinsertion et de l’amélioration des conditions carcérales, prennent ici la parole pour éclairer les propos de Jean-Joseph Lataste. Un livre qui – 150 ans plus tard – répond à des problématiques contemporaines et nous aide à développer une culture de la réhabilitation.</p>
Auteur
Jean-Joseph LatasteReliure
- Broché
SBN 13
9782204134347ISBN 10
2204134341Nombre de pages
175Largeur
1.5Longueur
12.5Épaisseur
19.61Méthode de livraison

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