Une petite femme
Référence: L83616
Livr'EnsembleCaractéristiques techniques
Description
<p>Peggy, en bikini “taille fillette” ; Peggy regrettant d’avoir lancé sur la vitre de son ennemi Pierre Tchernia des citrons pas vraiment pourris, des citrons encore comestibles ; Peggy décochant à Jean-Marc un “Le chien, ta grand-mère et moi, ça ne te suffit pas ?” ou parlant en termes orduriers des jeunes filles dont il est amoureux ; Peggy travaillant patiemment à détruire son mariage (elle finit par obtenir qu’il couche une fois par semaine chez elle), le harcelant de questions, le suivant, appelant constamment sa secrétaire… La “petite femme” était-elle un monstre, ou une enfant irresponsable ? … On ne sort pas indemne de ce texte qui conduit en douceur, mais avec une sorte de rage douloureuse, à une scène incestueuse à peine suggérée, peut-être rêvée. Le coeur serré, parce qu’il n’y a vraiment rien à ajouter, on entend le fils conclure en silence : “(…) j’ai besoin d’elle, de ses chantages, de son mauvais côté.” Et la mère de répondre, comme s’il avait parlé : “(…) Sers-toi, le gros, ne te gêne pas, souviens-toi que c’est à nous.” “J’ai choisi de parler de ma mère comme d’une femme à part entière. J’ai écrit ce livre au rythme des battements de son cœur. Parce qu’elle est là, vivante, disponible, prête à tout entendre et à tout partager. Quand je pense à elle, je pense à nous, au drôle de couple que nous formions. Je ne l’ai jamais appelée Maman. Toujours Peggy. J’ai été son frère, son admirateur, son amoureux. Je suis devenu son fils. Il était temps.” J.-M. R. R150128076. UNE PETITE FEMME.. 1998. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 173 pages. Couverture souple.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle</p>
Auteur
Jean-Marc RobertsReliure
- Broché
SBN 13
9782246527817ISBN 10
2246527813Nombre de pages
180Largeur
0.97Longueur
13.34Épaisseur
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Peggy, en bikini “taille fillette” ; Peggy regrettant d’avoir lancé sur la vitre de son ennemi Pierre Tchernia des citrons pas vraiment pourris, des citrons encore comestibles ; Peggy décochant à Jean-Marc un “Le chien, ta grand-mère et moi, ça ne te suffit pas ?” ou parlant en termes orduriers des jeunes filles dont il est amoureux ; Peggy travaillant patiemment à détruire son mariage (elle finit par obtenir qu’il couche une fois par semaine chez elle), le harcelant de questions, le suivant, appelant constamment sa secrétaire… La “petite femme” était-elle un monstre, ou une enfant irresponsable ? … On ne sort pas indemne de ce texte qui conduit en douceur, mais avec une sorte de rage douloureuse, à une scène incestueuse à peine suggérée, peut-être rêvée. Le coeur serré, parce qu’il n’y a vraiment rien à ajouter, on entend le fils conclure en silence : “(…) j’ai besoin d’elle, de ses chantages, de son mauvais côté.” Et la mère de répondre, comme s’il avait parlé : “(…) Sers-toi, le gros, ne te gêne pas, souviens-toi que c’est à nous.” “J’ai choisi de parler de ma mère comme d’une femme à part entière. J’ai écrit ce livre au rythme des battements de son cœur. Parce qu’elle est là, vivante, disponible, prête à tout entendre et à tout partager. Quand je pense à elle, je pense à nous, au drôle de couple que nous formions. Je ne l’ai jamais appelée Maman. Toujours Peggy. J’ai été son frère, son admirateur, son amoureux. Je suis devenu son fils. Il était temps.” J.-M. R. R150128076. UNE PETITE FEMME.. 1998. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 173 pages. Couverture souple.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Description
<p>Peggy, en bikini “taille fillette” ; Peggy regrettant d’avoir lancé sur la vitre de son ennemi Pierre Tchernia des citrons pas vraiment pourris, des citrons encore comestibles ; Peggy décochant à Jean-Marc un “Le chien, ta grand-mère et moi, ça ne te suffit pas ?” ou parlant en termes orduriers des jeunes filles dont il est amoureux ; Peggy travaillant patiemment à détruire son mariage (elle finit par obtenir qu’il couche une fois par semaine chez elle), le harcelant de questions, le suivant, appelant constamment sa secrétaire… La “petite femme” était-elle un monstre, ou une enfant irresponsable ? … On ne sort pas indemne de ce texte qui conduit en douceur, mais avec une sorte de rage douloureuse, à une scène incestueuse à peine suggérée, peut-être rêvée. Le coeur serré, parce qu’il n’y a vraiment rien à ajouter, on entend le fils conclure en silence : “(…) j’ai besoin d’elle, de ses chantages, de son mauvais côté.” Et la mère de répondre, comme s’il avait parlé : “(…) Sers-toi, le gros, ne te gêne pas, souviens-toi que c’est à nous.” “J’ai choisi de parler de ma mère comme d’une femme à part entière. J’ai écrit ce livre au rythme des battements de son cœur. Parce qu’elle est là, vivante, disponible, prête à tout entendre et à tout partager. Quand je pense à elle, je pense à nous, au drôle de couple que nous formions. Je ne l’ai jamais appelée Maman. Toujours Peggy. J’ai été son frère, son admirateur, son amoureux. Je suis devenu son fils. Il était temps.” J.-M. R. R150128076. UNE PETITE FEMME.. 1998. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 173 pages. Couverture souple.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle</p>
Auteur
Jean-Marc RobertsReliure
- Broché
SBN 13
9782246527817ISBN 10
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