Les Hommes perdus
Référence: L66700
Livr'EnsembleCaractéristiques techniques
Description
<p>Originaire de San Diego (Californie), professeur de littérature, Brian Leung est l’auteur d’un recueil de nouvelles, World famous love acts couronné par le prix Mary McCarthy et l’Asian American Literary Award. « Une lettre de mon père est arrivée, et je ne veux pas l’ouvrir. Je l’ai découverte alors que je parcourais mon courrier en remontant l’allée de gravier. Une enveloppe postée de Los Angeles et portant son écriture se trouvait au milieu de publicités, de factures et d’une demande de renseignements concernant mon élevage de pigeons. Une partie de moi veut la remettre dans la boîte aux lettres. Il a écrit Westen Chan, nom de famille que je n’utilise plus depuis que j’ai huit ans et qu’on me l’a changé en Gray. La brume matinale flotte à mes côtés, entourant mon corps avec lenteur, comme une main, alors que je décachette l’enveloppe. Il n’y a pas grand-chose à lire, juste quelques lignes. Et ce je veux t’emmener en Chine. » Que se passe-t-il lorsqu’un père ressurgit sans crier gare, après une longue absence, dans la vie de son fils ? Que peut-il vouloir maintenant, alors que son fils a trente-deux ans ? Pourquoi veut-il emmener Westen en Chine, alors que ce dernier a passé une bonne partie de sa vie à vouloir que son père le ramène chez lui ? En quoi ce voyage peut-il leur être bénéfique ? Ni l’un ni l’autre ne détient le pouvoir de prendre un nouveau départ et de retrouver son intégrité. Et pourtant, contre toute attente, ils entreprennent ensemble cet étrange voyage. À la recherche d’une vérité commune, père et fils apprennent à se reconnaître. Proche du récit sociologique, Les hommes perdus est un roman de quête, l’ouvre noire d’un écrivain plus que prometteur. « Voilà trois jours que je trimballe la lettre de mon père. Le papier s’use au fur et à mesure que je la relis. Il veut m’emmener en Chine alors que j’ai passé une bonne partie de ma vie à vouloir qu’il me ramène chez nous. » Après une longue absence, un père resurgit dans la vie de son fils. Ils partent ensemble pour la Chine, pays d’origine du père, terra incognita pour le fils. Au fil de cet étrange voyage, l’un et l’autre apprennent à se reconnaître, libérés de toute appréhension ou certitude, en quête de leur seule vérité. La transmission, l’identité, la mémoire : un magnifique premier roman à deux voix d’un jeune écrivain américain d’origine chinoise, salué unanimement par la presse. « Une mise en abyme du pardon, qui nous arrache – souvent – les tripes. » Technikart (hors-série littérature). « Un livre d’une grande sagesse et d’une force émotionnelle considérable. »Dan Chaon, auteur de Parmi les disparus. Qu’est-ce qu’un père peut offrir à son fils après tant de temps perdu ? Comment le passé -le monde nos pères, de nos aïeux – continue-t-il à avoir prise sur notre existence ?</p>
Auteur
Brian LeungReliure
- Broché
SBN 13
9782226188458ISBN 10
2226188452Nombre de pages
368Largeur
3Longueur
14.5Épaisseur
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Originaire de San Diego (Californie), professeur de littérature, Brian Leung est l’auteur d’un recueil de nouvelles, World famous love acts couronné par le prix Mary McCarthy et l’Asian American Literary Award. « Une lettre de mon père est arrivée, et je ne veux pas l’ouvrir. Je l’ai découverte alors que je parcourais mon courrier en remontant l’allée de gravier. Une enveloppe postée de Los Angeles et portant son écriture se trouvait au milieu de publicités, de factures et d’une demande de renseignements concernant mon élevage de pigeons. Une partie de moi veut la remettre dans la boîte aux lettres. Il a écrit Westen Chan, nom de famille que je n’utilise plus depuis que j’ai huit ans et qu’on me l’a changé en Gray. La brume matinale flotte à mes côtés, entourant mon corps avec lenteur, comme une main, alors que je décachette l’enveloppe. Il n’y a pas grand-chose à lire, juste quelques lignes. Et ce je veux t’emmener en Chine. » Que se passe-t-il lorsqu’un père ressurgit sans crier gare, après une longue absence, dans la vie de son fils ? Que peut-il vouloir maintenant, alors que son fils a trente-deux ans ? Pourquoi veut-il emmener Westen en Chine, alors que ce dernier a passé une bonne partie de sa vie à vouloir que son père le ramène chez lui ? En quoi ce voyage peut-il leur être bénéfique ? Ni l’un ni l’autre ne détient le pouvoir de prendre un nouveau départ et de retrouver son intégrité. Et pourtant, contre toute attente, ils entreprennent ensemble cet étrange voyage. À la recherche d’une vérité commune, père et fils apprennent à se reconnaître. Proche du récit sociologique, Les hommes perdus est un roman de quête, l’ouvre noire d’un écrivain plus que prometteur. « Voilà trois jours que je trimballe la lettre de mon père. Le papier s’use au fur et à mesure que je la relis. Il veut m’emmener en Chine alors que j’ai passé une bonne partie de ma vie à vouloir qu’il me ramène chez nous. » Après une longue absence, un père resurgit dans la vie de son fils. Ils partent ensemble pour la Chine, pays d’origine du père, terra incognita pour le fils. Au fil de cet étrange voyage, l’un et l’autre apprennent à se reconnaître, libérés de toute appréhension ou certitude, en quête de leur seule vérité. La transmission, l’identité, la mémoire : un magnifique premier roman à deux voix d’un jeune écrivain américain d’origine chinoise, salué unanimement par la presse. « Une mise en abyme du pardon, qui nous arrache – souvent – les tripes. » Technikart (hors-série littérature). « Un livre d’une grande sagesse et d’une force émotionnelle considérable. »Dan Chaon, auteur de Parmi les disparus. Qu’est-ce qu’un père peut offrir à son fils après tant de temps perdu ? Comment le passé -le monde nos pères, de nos aïeux – continue-t-il à avoir prise sur notre existence ?
Description
<p>Originaire de San Diego (Californie), professeur de littérature, Brian Leung est l’auteur d’un recueil de nouvelles, World famous love acts couronné par le prix Mary McCarthy et l’Asian American Literary Award. « Une lettre de mon père est arrivée, et je ne veux pas l’ouvrir. Je l’ai découverte alors que je parcourais mon courrier en remontant l’allée de gravier. Une enveloppe postée de Los Angeles et portant son écriture se trouvait au milieu de publicités, de factures et d’une demande de renseignements concernant mon élevage de pigeons. Une partie de moi veut la remettre dans la boîte aux lettres. Il a écrit Westen Chan, nom de famille que je n’utilise plus depuis que j’ai huit ans et qu’on me l’a changé en Gray. La brume matinale flotte à mes côtés, entourant mon corps avec lenteur, comme une main, alors que je décachette l’enveloppe. Il n’y a pas grand-chose à lire, juste quelques lignes. Et ce je veux t’emmener en Chine. » Que se passe-t-il lorsqu’un père ressurgit sans crier gare, après une longue absence, dans la vie de son fils ? Que peut-il vouloir maintenant, alors que son fils a trente-deux ans ? Pourquoi veut-il emmener Westen en Chine, alors que ce dernier a passé une bonne partie de sa vie à vouloir que son père le ramène chez lui ? En quoi ce voyage peut-il leur être bénéfique ? Ni l’un ni l’autre ne détient le pouvoir de prendre un nouveau départ et de retrouver son intégrité. Et pourtant, contre toute attente, ils entreprennent ensemble cet étrange voyage. À la recherche d’une vérité commune, père et fils apprennent à se reconnaître. Proche du récit sociologique, Les hommes perdus est un roman de quête, l’ouvre noire d’un écrivain plus que prometteur. « Voilà trois jours que je trimballe la lettre de mon père. Le papier s’use au fur et à mesure que je la relis. Il veut m’emmener en Chine alors que j’ai passé une bonne partie de ma vie à vouloir qu’il me ramène chez nous. » Après une longue absence, un père resurgit dans la vie de son fils. Ils partent ensemble pour la Chine, pays d’origine du père, terra incognita pour le fils. Au fil de cet étrange voyage, l’un et l’autre apprennent à se reconnaître, libérés de toute appréhension ou certitude, en quête de leur seule vérité. La transmission, l’identité, la mémoire : un magnifique premier roman à deux voix d’un jeune écrivain américain d’origine chinoise, salué unanimement par la presse. « Une mise en abyme du pardon, qui nous arrache – souvent – les tripes. » Technikart (hors-série littérature). « Un livre d’une grande sagesse et d’une force émotionnelle considérable. »Dan Chaon, auteur de Parmi les disparus. Qu’est-ce qu’un père peut offrir à son fils après tant de temps perdu ? Comment le passé -le monde nos pères, de nos aïeux – continue-t-il à avoir prise sur notre existence ?</p>
Auteur
Brian LeungReliure
- Broché
SBN 13
9782226188458ISBN 10
2226188452Nombre de pages
368Largeur
3Longueur
14.5Épaisseur
22.5Méthode de livraison
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