The Walking Dead-L'intégrale de la Saison 1
Référence: D924
Livr'EnsembleCaractéristiques techniques
Description
<p>Une mission policière qui tourne mal, et voilà l’officier de police Rick Grimes (Andrew Lincoln) dans le coma. Lorsqu’il se réveille après des semaines, l’hôpital est désert, le spectacle au dehors, apocalyptique, et les seules créatures qui errent sont des morts-vivants. Sauvé in extremis par un homme (Lennie James) et son fils, qui semblent être les seuls rescapés de cette ville du Kentucky, Rick n’a qu’une idée en tête, retrouver sa femme (Sarah Wayne Callies) et leur fils. Lorsqu’il a découvert le comic book de Robert Kirkman, sur l’épopée d’un groupe de rescapés dans un monde décimé par les zombies, Frank Darabont (réalisateur de “La ligne verte”, “Les Evadés” ou “The Mist”), y a trouvé la matière idéale pour le projet de série fantastique qu’il avait en tête depuis plusieurs années. Convaincre une chaîne de télévision de diffuser un show aussi audacieux n’était pas gagné. Bien en a pris à la petite chaîne AMC, car elle a touché le jackpot dès la diffusion du pilote de 90 minutes, le soir d’Halloween 2010. Fidèle à l’ouvre originale homonyme, tout en s’autorisant à prendre quelques distances, “The Walking Dead” impressionne par son réalisme, son dépouillement, sa mise en scène, et l’intelligence de son écriture. L’identification au personnage de Rick Grimes (excellent Andrew Lincoln, l’amoureux transi de “Love Actually”) est immédiate, et le spectateur est happé par cette vision de cauchemar qui tourne à l’expérience sensorielle. Car si les zombies (très convaincants, grâce au talent de Greg Nicotero) entretiennent constamment le sentiment de terreur, la série se concentre d’abord sur l’humain, et à la manière dont il parvient à survivre à l’horreur absolue, au vide, au silence. Et lorsque Rick trouvera d’autres rescapés, d’autres problèmes surgiront (conflits de personnalités, d’autorité, entre l’instinct, la morale et la raison). Le show, qui arbore parfois un aspect théâtral, explore la nature humaine lorsqu’elle est acculée dans des situations extrêmes, où chaque décision revêt un caractère de vie ou de mort. Saluée par une nomination aux Golden Globes 2011, la première saison de cette série passionnante ne comporte que six épisodes (de 44 minutes, excepté le pilote qui dure 70 minutes). La deuxième saison, attendue fin 2011, devrait en compter le double. Lorsque l’officier de police Rick Grimes se réveille d’un coma, il retrouve un monde apocalyptique envahi par des zombies. Non loin de lui, un petit groupe de vivants, pourchassé par «les morts», lutte pour rester en vie. Rick et le groupe survivront-ils aux zombies et à eux-mêmes dans ce nouveau monde horrifique ?</p>
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Une mission policière qui tourne mal, et voilà l’officier de police Rick Grimes (Andrew Lincoln) dans le coma. Lorsqu’il se réveille après des semaines, l’hôpital est désert, le spectacle au dehors, apocalyptique, et les seules créatures qui errent sont des morts-vivants. Sauvé in extremis par un homme (Lennie James) et son fils, qui semblent être les seuls rescapés de cette ville du Kentucky, Rick n’a qu’une idée en tête, retrouver sa femme (Sarah Wayne Callies) et leur fils. Lorsqu’il a découvert le comic book de Robert Kirkman, sur l’épopée d’un groupe de rescapés dans un monde décimé par les zombies, Frank Darabont (réalisateur de “La ligne verte”, “Les Evadés” ou “The Mist”), y a trouvé la matière idéale pour le projet de série fantastique qu’il avait en tête depuis plusieurs années. Convaincre une chaîne de télévision de diffuser un show aussi audacieux n’était pas gagné. Bien en a pris à la petite chaîne AMC, car elle a touché le jackpot dès la diffusion du pilote de 90 minutes, le soir d’Halloween 2010. Fidèle à l’ouvre originale homonyme, tout en s’autorisant à prendre quelques distances, “The Walking Dead” impressionne par son réalisme, son dépouillement, sa mise en scène, et l’intelligence de son écriture. L’identification au personnage de Rick Grimes (excellent Andrew Lincoln, l’amoureux transi de “Love Actually”) est immédiate, et le spectateur est happé par cette vision de cauchemar qui tourne à l’expérience sensorielle. Car si les zombies (très convaincants, grâce au talent de Greg Nicotero) entretiennent constamment le sentiment de terreur, la série se concentre d’abord sur l’humain, et à la manière dont il parvient à survivre à l’horreur absolue, au vide, au silence. Et lorsque Rick trouvera d’autres rescapés, d’autres problèmes surgiront (conflits de personnalités, d’autorité, entre l’instinct, la morale et la raison). Le show, qui arbore parfois un aspect théâtral, explore la nature humaine lorsqu’elle est acculée dans des situations extrêmes, où chaque décision revêt un caractère de vie ou de mort. Saluée par une nomination aux Golden Globes 2011, la première saison de cette série passionnante ne comporte que six épisodes (de 44 minutes, excepté le pilote qui dure 70 minutes). La deuxième saison, attendue fin 2011, devrait en compter le double. Lorsque l’officier de police Rick Grimes se réveille d’un coma, il retrouve un monde apocalyptique envahi par des zombies. Non loin de lui, un petit groupe de vivants, pourchassé par «les morts», lutte pour rester en vie. Rick et le groupe survivront-ils aux zombies et à eux-mêmes dans ce nouveau monde horrifique ?
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<p>Une mission policière qui tourne mal, et voilà l’officier de police Rick Grimes (Andrew Lincoln) dans le coma. Lorsqu’il se réveille après des semaines, l’hôpital est désert, le spectacle au dehors, apocalyptique, et les seules créatures qui errent sont des morts-vivants. Sauvé in extremis par un homme (Lennie James) et son fils, qui semblent être les seuls rescapés de cette ville du Kentucky, Rick n’a qu’une idée en tête, retrouver sa femme (Sarah Wayne Callies) et leur fils. Lorsqu’il a découvert le comic book de Robert Kirkman, sur l’épopée d’un groupe de rescapés dans un monde décimé par les zombies, Frank Darabont (réalisateur de “La ligne verte”, “Les Evadés” ou “The Mist”), y a trouvé la matière idéale pour le projet de série fantastique qu’il avait en tête depuis plusieurs années. Convaincre une chaîne de télévision de diffuser un show aussi audacieux n’était pas gagné. Bien en a pris à la petite chaîne AMC, car elle a touché le jackpot dès la diffusion du pilote de 90 minutes, le soir d’Halloween 2010. Fidèle à l’ouvre originale homonyme, tout en s’autorisant à prendre quelques distances, “The Walking Dead” impressionne par son réalisme, son dépouillement, sa mise en scène, et l’intelligence de son écriture. L’identification au personnage de Rick Grimes (excellent Andrew Lincoln, l’amoureux transi de “Love Actually”) est immédiate, et le spectateur est happé par cette vision de cauchemar qui tourne à l’expérience sensorielle. Car si les zombies (très convaincants, grâce au talent de Greg Nicotero) entretiennent constamment le sentiment de terreur, la série se concentre d’abord sur l’humain, et à la manière dont il parvient à survivre à l’horreur absolue, au vide, au silence. Et lorsque Rick trouvera d’autres rescapés, d’autres problèmes surgiront (conflits de personnalités, d’autorité, entre l’instinct, la morale et la raison). Le show, qui arbore parfois un aspect théâtral, explore la nature humaine lorsqu’elle est acculée dans des situations extrêmes, où chaque décision revêt un caractère de vie ou de mort. Saluée par une nomination aux Golden Globes 2011, la première saison de cette série passionnante ne comporte que six épisodes (de 44 minutes, excepté le pilote qui dure 70 minutes). La deuxième saison, attendue fin 2011, devrait en compter le double. Lorsque l’officier de police Rick Grimes se réveille d’un coma, il retrouve un monde apocalyptique envahi par des zombies. Non loin de lui, un petit groupe de vivants, pourchassé par «les morts», lutte pour rester en vie. Rick et le groupe survivront-ils aux zombies et à eux-mêmes dans ce nouveau monde horrifique ?</p>
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