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Corée, seconde moitié du XVIe siècle. C’est une période de troubles et de violence, qui voit deux factions rivales lutter pour le pouvoir à travers tout le pays. Kyun-Ja, fils d’un petit aristocrate et d’une servante, jeune homme agité et turbulent, rencontre Hwang Jeong-hak, un aveugle d’une intelligence pénétrante, plus âgé que lui. L’aîné va devenir à la fois le maître d’arme et le maître spirituel de Kyun-Ja, et lui enseigner, en dépit de son handicap, le maniement du sabre. Sous sa férule, et tout en cheminant à travers le pays, le jeune homme livre ses premiers combats… Parcours initiatique d’un combattant en formation, Comme la lune surgissant des nuages relate une quête passionnante pour la maîtrise de soi, marquée à la fois par la spiritualité et l’action -sans oublier quelques discrètes touches d’un humour bienvenu. C’est aussi une belle réflexion sur la liberté, cette liberté qui reste encore et toujours insaisissable, imprévisible et fugace -comme la lune surgissant des nuages. Extrait du livre : Le Mot de l’auteur : (…) Cet été a été très difficile, mais petit à petit, j’ai surmonté. Ça faisait longtemps que je collectionnais des documents, de plus, autour de moi, beaucoup de gens m’ont aidé. La réalisation de cette série a été très passionnante et amusante. Pendant l’écriture de l’histoire, j’étais tellement concentré sur mon bureau que j’ai eu des problèmes de santé. Mais beaucoup de fans m’ont encouragé, mes anciens collègues de manhwa m’ont félicité car je n’avais créé jusque-là que de courtes histoires, mais Comme la lune surgissant des nuages était mon premier long récit. Lorsque je revois les albums de Comme la lune surgissant des nuages, que j’ai fait à l’âge de 35 ans, je ne vois que négligence et immaturité. Mes anciennes histoires me donnent le même sentiment et me font frissonner de honte. Mais grâce à cette immaturité, aujourd’hui que j’ai passé 40 ans, je me rends compte de mon évolution. Je remercie beaucoup la maison d’édition Bada qui a publié Comme la lune surgissant des nuages et qui a beaucoup fait pour la culture du manhwa en Corée. De plus, je remercie les lecteurs qui ont attendu ces albums. À ce moment-là, j’ai commencé à préparer un nouvel album qui allait devenir Comme la lune surgissant des nuages. Park Heung-Yong Fils d’un noble et d’une kisaeng (courtisane), Kyun-ju sait depuis son plus jeune âge qu’il est condamné à vivre sans avoir de place honorable dans cette société de classe qu’est la Corée du XVIe siècle. Surnommé Kyon-ja (fils de chien) par les nobles de son entourage, le jeune homme se rebelle et choisit de suivre maître Hwang, célèbre escrimeur aveugle. Le maître commence non seulement à lui enseigner le maniement du sabre, mais démontre également à Kyun-ju que toute maîtrise d’un art, quel qu’il soit, demande beaucoup d’efforts et de discipline. Pour l’en convaincre, il le fait travailler quelque temps chez un forgeron de ses amis. Une kisaeng, Baek-ji, tombe amoureuse de Kyun-ju, et décide de suivre les deux hommes coûte que coûte. Alors que Kyun-ju livre ses premiers combats et commence à se faire connaître comme un guerrier dangereux, il décide d’adopter comme nom officiel son surnom de Kyon-ja, comme une nouvelle provocation envers cette société qui le rejette.
Description
<p>Corée, seconde moitié du XVIe siècle. C’est une période de troubles et de violence, qui voit deux factions rivales lutter pour le pouvoir à travers tout le pays. Kyun-Ja, fils d’un petit aristocrate et d’une servante, jeune homme agité et turbulent, rencontre Hwang Jeong-hak, un aveugle d’une intelligence pénétrante, plus âgé que lui. L’aîné va devenir à la fois le maître d’arme et le maître spirituel de Kyun-Ja, et lui enseigner, en dépit de son handicap, le maniement du sabre. Sous sa férule, et tout en cheminant à travers le pays, le jeune homme livre ses premiers combats… Parcours initiatique d’un combattant en formation, Comme la lune surgissant des nuages relate une quête passionnante pour la maîtrise de soi, marquée à la fois par la spiritualité et l’action -sans oublier quelques discrètes touches d’un humour bienvenu. C’est aussi une belle réflexion sur la liberté, cette liberté qui reste encore et toujours insaisissable, imprévisible et fugace -comme la lune surgissant des nuages. Extrait du livre : Le Mot de l’auteur : (…) Cet été a été très difficile, mais petit à petit, j’ai surmonté. Ça faisait longtemps que je collectionnais des documents, de plus, autour de moi, beaucoup de gens m’ont aidé. La réalisation de cette série a été très passionnante et amusante. Pendant l’écriture de l’histoire, j’étais tellement concentré sur mon bureau que j’ai eu des problèmes de santé. Mais beaucoup de fans m’ont encouragé, mes anciens collègues de manhwa m’ont félicité car je n’avais créé jusque-là que de courtes histoires, mais Comme la lune surgissant des nuages était mon premier long récit. Lorsque je revois les albums de Comme la lune surgissant des nuages, que j’ai fait à l’âge de 35 ans, je ne vois que négligence et immaturité. Mes anciennes histoires me donnent le même sentiment et me font frissonner de honte. Mais grâce à cette immaturité, aujourd’hui que j’ai passé 40 ans, je me rends compte de mon évolution. Je remercie beaucoup la maison d’édition Bada qui a publié Comme la lune surgissant des nuages et qui a beaucoup fait pour la culture du manhwa en Corée. De plus, je remercie les lecteurs qui ont attendu ces albums. À ce moment-là, j’ai commencé à préparer un nouvel album qui allait devenir Comme la lune surgissant des nuages. Park Heung-Yong Fils d’un noble et d’une kisaeng (courtisane), Kyun-ju sait depuis son plus jeune âge qu’il est condamné à vivre sans avoir de place honorable dans cette société de classe qu’est la Corée du XVIe siècle. Surnommé Kyon-ja (fils de chien) par les nobles de son entourage, le jeune homme se rebelle et choisit de suivre maître Hwang, célèbre escrimeur aveugle. Le maître commence non seulement à lui enseigner le maniement du sabre, mais démontre également à Kyun-ju que toute maîtrise d’un art, quel qu’il soit, demande beaucoup d’efforts et de discipline. Pour l’en convaincre, il le fait travailler quelque temps chez un forgeron de ses amis. Une kisaeng, Baek-ji, tombe amoureuse de Kyun-ju, et décide de suivre les deux hommes coûte que coûte. Alors que Kyun-ju livre ses premiers combats et commence à se faire connaître comme un guerrier dangereux, il décide d’adopter comme nom officiel son surnom de Kyon-ja, comme une nouvelle provocation envers cette société qui le rejette.</p>
Auteur
Park Heung-YongReliure
- Broché
SBN 13
9782203377127ISBN 10
2203377127Nombre de pages
256Largeur
1.6Longueur
14.71Épaisseur
19.51Méthode de livraison

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