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on ne VIT Que Deux Fois [Édition Spéciale]
Référence: D1530
Livr'EnsembleCaractéristiques techniques
Description
<p>Une navette de la NASA a été attaquée par un vaisseau dont l’origine semble russe. Roi des futés, James Bond ne va pas tarder à découvrir que la piste est fausse. Son enquête le mène au Japon tandis que de fortes présomptions pèsent sur l’organisation mondiale du crime, le tristement célèbre SPECTRE. Toujours d’après l’ouvre de Ian Fleming, le scénario de cet épisode a la singularité d’avoir été signé par Roald Dahl, auteur de nombreux chefs-d’ouvre de la littérature enfantine tels que “Mathilda” ou “James et la pêche géante”. Il modifia quelque peu l’univers original en y injectant une vision plus personnelle, notamment le contexte spatial. Gigantesque, le budget du film égala celui des quatre premiers épisodes de la série, inaugurant l’ère des gadgets et de la haute technologie, bientôt la marque de fabrique de la saga. Malgré tout, le film ne plut pas autant que les précédents. On imputa ce semi-échec au manque de motivation de Sean Connery qui, lassé de ne pas avoir de vie privée pendant les tournages de très longue durée, commençait à vouloir aller jouer dans d’autres cours. Néanmoins, les images de Freddie Young captent parfaitement le Japon et sa culture. Dans le rôle du méchant, Donald Pleasance campe un Blofeld implacable tandis qu’Akiko Wakabayashi est une délicieuse partenaire pour 007. Dans ce cinquième 007, l’agent Bond est une nouvelle fois incarné par Sean Connery. Ce très bon tome de la série l’oppose à Donald Pleasance pour un film fantastique où la guerre froide a toutes les chances de se réchauffer. Afin de ne pas faillir à sa réputation, James s’est fait tailler un DVD sur mesure ! Outre le film, proposé en 2.35 16/9 (son mono d’origine), une série de deux documentaires commentés par Patrick McNee agrémente les bonus. Le premier, sur le tournage du film qui s’est déroulé au Japon (30′), le second sur les célébrissimes génériques de l’agent Bond (23’30), réalisés par John Cork. Ajoutez à cela quatre bandes-annonces d’époque, sept pubs radio et une séquence story-boardée animée. –Dale Cooper Le cinquième volet des aventures de 007 conduit le célèbre agent au pays du Soleil-Levant pour empêcher le SPECTRE de déclencher une guerre mondiale.</p>
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Une navette de la NASA a été attaquée par un vaisseau dont l’origine semble russe. Roi des futés, James Bond ne va pas tarder à découvrir que la piste est fausse. Son enquête le mène au Japon tandis que de fortes présomptions pèsent sur l’organisation mondiale du crime, le tristement célèbre SPECTRE. Toujours d’après l’ouvre de Ian Fleming, le scénario de cet épisode a la singularité d’avoir été signé par Roald Dahl, auteur de nombreux chefs-d’ouvre de la littérature enfantine tels que “Mathilda” ou “James et la pêche géante”. Il modifia quelque peu l’univers original en y injectant une vision plus personnelle, notamment le contexte spatial. Gigantesque, le budget du film égala celui des quatre premiers épisodes de la série, inaugurant l’ère des gadgets et de la haute technologie, bientôt la marque de fabrique de la saga. Malgré tout, le film ne plut pas autant que les précédents. On imputa ce semi-échec au manque de motivation de Sean Connery qui, lassé de ne pas avoir de vie privée pendant les tournages de très longue durée, commençait à vouloir aller jouer dans d’autres cours. Néanmoins, les images de Freddie Young captent parfaitement le Japon et sa culture. Dans le rôle du méchant, Donald Pleasance campe un Blofeld implacable tandis qu’Akiko Wakabayashi est une délicieuse partenaire pour 007. Dans ce cinquième 007, l’agent Bond est une nouvelle fois incarné par Sean Connery. Ce très bon tome de la série l’oppose à Donald Pleasance pour un film fantastique où la guerre froide a toutes les chances de se réchauffer. Afin de ne pas faillir à sa réputation, James s’est fait tailler un DVD sur mesure ! Outre le film, proposé en 2.35 16/9 (son mono d’origine), une série de deux documentaires commentés par Patrick McNee agrémente les bonus. Le premier, sur le tournage du film qui s’est déroulé au Japon (30′), le second sur les célébrissimes génériques de l’agent Bond (23’30), réalisés par John Cork. Ajoutez à cela quatre bandes-annonces d’époque, sept pubs radio et une séquence story-boardée animée. –Dale Cooper Le cinquième volet des aventures de 007 conduit le célèbre agent au pays du Soleil-Levant pour empêcher le SPECTRE de déclencher une guerre mondiale.
Description
<p>Une navette de la NASA a été attaquée par un vaisseau dont l’origine semble russe. Roi des futés, James Bond ne va pas tarder à découvrir que la piste est fausse. Son enquête le mène au Japon tandis que de fortes présomptions pèsent sur l’organisation mondiale du crime, le tristement célèbre SPECTRE. Toujours d’après l’ouvre de Ian Fleming, le scénario de cet épisode a la singularité d’avoir été signé par Roald Dahl, auteur de nombreux chefs-d’ouvre de la littérature enfantine tels que “Mathilda” ou “James et la pêche géante”. Il modifia quelque peu l’univers original en y injectant une vision plus personnelle, notamment le contexte spatial. Gigantesque, le budget du film égala celui des quatre premiers épisodes de la série, inaugurant l’ère des gadgets et de la haute technologie, bientôt la marque de fabrique de la saga. Malgré tout, le film ne plut pas autant que les précédents. On imputa ce semi-échec au manque de motivation de Sean Connery qui, lassé de ne pas avoir de vie privée pendant les tournages de très longue durée, commençait à vouloir aller jouer dans d’autres cours. Néanmoins, les images de Freddie Young captent parfaitement le Japon et sa culture. Dans le rôle du méchant, Donald Pleasance campe un Blofeld implacable tandis qu’Akiko Wakabayashi est une délicieuse partenaire pour 007. Dans ce cinquième 007, l’agent Bond est une nouvelle fois incarné par Sean Connery. Ce très bon tome de la série l’oppose à Donald Pleasance pour un film fantastique où la guerre froide a toutes les chances de se réchauffer. Afin de ne pas faillir à sa réputation, James s’est fait tailler un DVD sur mesure ! Outre le film, proposé en 2.35 16/9 (son mono d’origine), une série de deux documentaires commentés par Patrick McNee agrémente les bonus. Le premier, sur le tournage du film qui s’est déroulé au Japon (30′), le second sur les célébrissimes génériques de l’agent Bond (23’30), réalisés par John Cork. Ajoutez à cela quatre bandes-annonces d’époque, sept pubs radio et une séquence story-boardée animée. –Dale Cooper Le cinquième volet des aventures de 007 conduit le célèbre agent au pays du Soleil-Levant pour empêcher le SPECTRE de déclencher une guerre mondiale.</p>
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