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Les Diamants sont éternels [Édition Spéciale]
Référence: D1539
Livr'Ensemble
Les Diamants sont éternels [Édition Spéciale] DVD & Blu-Ray
- Braine-le-Comte
- 2,99 €2,99 €
Caractéristiques techniques
Description
<p>James Bond (Sean Connery) est chargé d’enquêter sur la disparition d’une importante partie de la réserve mondiale de diamants. Il découvre que son ennemi de toujours, le terrible Blofeld (Charles Gray), est mêlé à l’affaire. Voici la troisième entrée en scène du méchant Blofeld, déjà présent dans “On ne vit que deux fois” et “Au service secret de sa majesté” (sous les traits respectifs de Donald Pleasance et Telly Savalas). Quant à James Bond, il arbore fièrement la plastique (à peine vieillie) de Sean Connery, pour le plus grand plaisir des fans et des producteurs (qui durent tout de même lui proposer un contrat en or massif). On estime que ce revirement de l’acteur, qui avait quitté la série de façon assez catégorique en 1967, est en partie dû au démarrage un peu lent de sa carrière “hors James Bond”. Son interprétation du héros est ici radicalement différente de celle, sensible et romantique, de George Lazenby dans l’épisode précédent. Egal à lui-même, flegmatique et invulnérable, Sean Connery fait preuve dans ce volet datant de 1971, d’un humour assez délirant, qui contribue énormément au charme du film, et prévaut même sur les scènes d’action. Sa partenaire féminine est interprétée par Jill St John, qui fut, quel dommage, préférée par la production à la glamoureuse Raquel Welch. Un trafic international de diamants mène l’agent 007 des Pays-Bas à l’Afrique du sud, dans une aventure ponctuée d’exotismes et d’action. Dernier tour de piste pour Sean Connery dans le rôle de James Bond, avant de passer la main au délicieux Roger Moore. Le DVD comporte quelques bons bonus : les coulisses du tournage (31 min), un documentaire sur Albert R. ‘Cubby’ Broccoli (41 min), des scènes coupées, les commentaires audio de Guy Hamilton, des acteurs et de l’équipe de tournage. Réalisé par Guy Hamilton, ce septième épisode des aventures de James Bond célébrait le retour triomphal de Sean Connery dans le rôle de 007, ainsi que l’entrée de la saga dans les extravagantes seventies.</p>
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James Bond (Sean Connery) est chargé d’enquêter sur la disparition d’une importante partie de la réserve mondiale de diamants. Il découvre que son ennemi de toujours, le terrible Blofeld (Charles Gray), est mêlé à l’affaire. Voici la troisième entrée en scène du méchant Blofeld, déjà présent dans “On ne vit que deux fois” et “Au service secret de sa majesté” (sous les traits respectifs de Donald Pleasance et Telly Savalas). Quant à James Bond, il arbore fièrement la plastique (à peine vieillie) de Sean Connery, pour le plus grand plaisir des fans et des producteurs (qui durent tout de même lui proposer un contrat en or massif). On estime que ce revirement de l’acteur, qui avait quitté la série de façon assez catégorique en 1967, est en partie dû au démarrage un peu lent de sa carrière “hors James Bond”. Son interprétation du héros est ici radicalement différente de celle, sensible et romantique, de George Lazenby dans l’épisode précédent. Egal à lui-même, flegmatique et invulnérable, Sean Connery fait preuve dans ce volet datant de 1971, d’un humour assez délirant, qui contribue énormément au charme du film, et prévaut même sur les scènes d’action. Sa partenaire féminine est interprétée par Jill St John, qui fut, quel dommage, préférée par la production à la glamoureuse Raquel Welch. Un trafic international de diamants mène l’agent 007 des Pays-Bas à l’Afrique du sud, dans une aventure ponctuée d’exotismes et d’action. Dernier tour de piste pour Sean Connery dans le rôle de James Bond, avant de passer la main au délicieux Roger Moore. Le DVD comporte quelques bons bonus : les coulisses du tournage (31 min), un documentaire sur Albert R. ‘Cubby’ Broccoli (41 min), des scènes coupées, les commentaires audio de Guy Hamilton, des acteurs et de l’équipe de tournage. Réalisé par Guy Hamilton, ce septième épisode des aventures de James Bond célébrait le retour triomphal de Sean Connery dans le rôle de 007, ainsi que l’entrée de la saga dans les extravagantes seventies.
Description
<p>James Bond (Sean Connery) est chargé d’enquêter sur la disparition d’une importante partie de la réserve mondiale de diamants. Il découvre que son ennemi de toujours, le terrible Blofeld (Charles Gray), est mêlé à l’affaire. Voici la troisième entrée en scène du méchant Blofeld, déjà présent dans “On ne vit que deux fois” et “Au service secret de sa majesté” (sous les traits respectifs de Donald Pleasance et Telly Savalas). Quant à James Bond, il arbore fièrement la plastique (à peine vieillie) de Sean Connery, pour le plus grand plaisir des fans et des producteurs (qui durent tout de même lui proposer un contrat en or massif). On estime que ce revirement de l’acteur, qui avait quitté la série de façon assez catégorique en 1967, est en partie dû au démarrage un peu lent de sa carrière “hors James Bond”. Son interprétation du héros est ici radicalement différente de celle, sensible et romantique, de George Lazenby dans l’épisode précédent. Egal à lui-même, flegmatique et invulnérable, Sean Connery fait preuve dans ce volet datant de 1971, d’un humour assez délirant, qui contribue énormément au charme du film, et prévaut même sur les scènes d’action. Sa partenaire féminine est interprétée par Jill St John, qui fut, quel dommage, préférée par la production à la glamoureuse Raquel Welch. Un trafic international de diamants mène l’agent 007 des Pays-Bas à l’Afrique du sud, dans une aventure ponctuée d’exotismes et d’action. Dernier tour de piste pour Sean Connery dans le rôle de James Bond, avant de passer la main au délicieux Roger Moore. Le DVD comporte quelques bons bonus : les coulisses du tournage (31 min), un documentaire sur Albert R. ‘Cubby’ Broccoli (41 min), des scènes coupées, les commentaires audio de Guy Hamilton, des acteurs et de l’équipe de tournage. Réalisé par Guy Hamilton, ce septième épisode des aventures de James Bond célébrait le retour triomphal de Sean Connery dans le rôle de 007, ainsi que l’entrée de la saga dans les extravagantes seventies.</p>
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