Braveheart

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<p>En ces années 1290, la vie était rude pour le peuple écossais alors sous le joug du cruel roi d’Angleterre Edward 1er (Patrick McGoohan, moins « prisonnier » que dans la mythique série). Mais les Anglais commirent une grave erreur en massacrant la famille puis la femme de William Wallace (Mel Gibson). Rien ne le retient plus ensuite pour prendre la tête de la révolte contre l’oppresseur, entraînant dans son sillage une petite armée de gueux aussi vaillants que déterminés. S’étant enthousiasmé pour le scénario de Randall Wallace (futur auteur de L’Homme au masque de fer, il n’a aucun lien de parenté avec William), Mel Gibson a relevé un défi de plus en décidant de mettre en scène Braveheart, sa deuxième réalisation après L’Homme sans visage en 1993. L’interprète inoubliable de Mad Max se montre impérial (il obtint l’Oscar du meilleur réalisateur et celui du meilleur film) dans cette reconstitution historique fidèle et grandiose (un budget de 70 millions de dollars, 1700 figurants fournis par l’armée irlandaise). On reste médusé devant la violence et la puissance qui émanent des séquences de bataille. Si dix minutes suffisent à Sophie Marceau pour illuminer le film, la fougue dont fait preuve Mel Gibson prouve en 2 h 45 d’aventures épiques que certaines têtes brûlées vivent ailleurs qu’en Irlande. Étonnant Mel Gibson ! Pour son deuxième film en tant que metteur en scène après L&#8217;Homme sans visage, un drame intimiste, le voilà qui se lance avec fougue et détermination dans le genre casse-gueule par excellence : l&#8217;épopée historique. Pari gagné. Plutôt que l&#8217;histoire, Mel Gibson s&#8217;attache à filmer la légende de William Wallace, ce héros de l&#8217;Indépendance écossaise du XIIIe siècle, qui a fait plier le roi d&#8217;Angleterre Edouard Ier, à la tête d&#8217;une armée de gueux. En alternant romantiques scènes d&#8217;amour au clair de lune et violentissimes séquences de bataille d&#8217;un réalisme époustouflant, il ressuscite l&#8217;esprit des grands films hollywoodiens de notre enfance. Avec un plus : filmées de l&#8217;intérieur, avec puissance et barbarie, tempérées par l&#8217;humour des dialogues, les scènes de bataille ont rarement autant impressionné. Manifestant une énergie flamboyante à la fois devant et derrière la caméra, le héros de L&#8217;Arme fatale s&#8217;est entouré de Patrick Mc Goohan – Le Prisonnier – en intraitable Edouard Ier, et d&#8217;une inattendue Sophie Marceau en princesse française. Six oscars récompensent le film en 1996, dont ceux du meilleur film et du meilleur réalisateur. &#8211;Sylvain Lefort</p>

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En ces années 1290, la vie était rude pour le peuple écossais alors sous le joug du cruel roi d’Angleterre Edward 1er (Patrick McGoohan, moins « prisonnier » que dans la mythique série). Mais les Anglais commirent une grave erreur en massacrant la famille puis la femme de William Wallace (Mel Gibson). Rien ne le retient plus ensuite pour prendre la tête de la révolte contre l’oppresseur, entraînant dans son sillage une petite armée de gueux aussi vaillants que déterminés. S’étant enthousiasmé pour le scénario de Randall Wallace (futur auteur de L’Homme au masque de fer, il n’a aucun lien de parenté avec William), Mel Gibson a relevé un défi de plus en décidant de mettre en scène Braveheart, sa deuxième réalisation après L’Homme sans visage en 1993. L’interprète inoubliable de Mad Max se montre impérial (il obtint l’Oscar du meilleur réalisateur et celui du meilleur film) dans cette reconstitution historique fidèle et grandiose (un budget de 70 millions de dollars, 1700 figurants fournis par l’armée irlandaise). On reste médusé devant la violence et la puissance qui émanent des séquences de bataille. Si dix minutes suffisent à Sophie Marceau pour illuminer le film, la fougue dont fait preuve Mel Gibson prouve en 2 h 45 d’aventures épiques que certaines têtes brûlées vivent ailleurs qu’en Irlande. Étonnant Mel Gibson ! Pour son deuxième film en tant que metteur en scène après L’Homme sans visage, un drame intimiste, le voilà qui se lance avec fougue et détermination dans le genre casse-gueule par excellence : l’épopée historique. Pari gagné. Plutôt que l’histoire, Mel Gibson s’attache à filmer la légende de William Wallace, ce héros de l’Indépendance écossaise du XIIIe siècle, qui a fait plier le roi d’Angleterre Edouard Ier, à la tête d’une armée de gueux. En alternant romantiques scènes d’amour au clair de lune et violentissimes séquences de bataille d’un réalisme époustouflant, il ressuscite l’esprit des grands films hollywoodiens de notre enfance. Avec un plus : filmées de l’intérieur, avec puissance et barbarie, tempérées par l’humour des dialogues, les scènes de bataille ont rarement autant impressionné. Manifestant une énergie flamboyante à la fois devant et derrière la caméra, le héros de L’Arme fatale s’est entouré de Patrick Mc Goohan – Le Prisonnier – en intraitable Edouard Ier, et d’une inattendue Sophie Marceau en princesse française. Six oscars récompensent le film en 1996, dont ceux du meilleur film et du meilleur réalisateur. –Sylvain Lefort

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<p>En ces années 1290, la vie était rude pour le peuple écossais alors sous le joug du cruel roi d’Angleterre Edward 1er (Patrick McGoohan, moins « prisonnier » que dans la mythique série). Mais les Anglais commirent une grave erreur en massacrant la famille puis la femme de William Wallace (Mel Gibson). Rien ne le retient plus ensuite pour prendre la tête de la révolte contre l’oppresseur, entraînant dans son sillage une petite armée de gueux aussi vaillants que déterminés. S’étant enthousiasmé pour le scénario de Randall Wallace (futur auteur de L’Homme au masque de fer, il n’a aucun lien de parenté avec William), Mel Gibson a relevé un défi de plus en décidant de mettre en scène Braveheart, sa deuxième réalisation après L’Homme sans visage en 1993. L’interprète inoubliable de Mad Max se montre impérial (il obtint l’Oscar du meilleur réalisateur et celui du meilleur film) dans cette reconstitution historique fidèle et grandiose (un budget de 70 millions de dollars, 1700 figurants fournis par l’armée irlandaise). On reste médusé devant la violence et la puissance qui émanent des séquences de bataille. Si dix minutes suffisent à Sophie Marceau pour illuminer le film, la fougue dont fait preuve Mel Gibson prouve en 2 h 45 d’aventures épiques que certaines têtes brûlées vivent ailleurs qu’en Irlande. Étonnant Mel Gibson ! Pour son deuxième film en tant que metteur en scène après L&#8217;Homme sans visage, un drame intimiste, le voilà qui se lance avec fougue et détermination dans le genre casse-gueule par excellence : l&#8217;épopée historique. Pari gagné. Plutôt que l&#8217;histoire, Mel Gibson s&#8217;attache à filmer la légende de William Wallace, ce héros de l&#8217;Indépendance écossaise du XIIIe siècle, qui a fait plier le roi d&#8217;Angleterre Edouard Ier, à la tête d&#8217;une armée de gueux. En alternant romantiques scènes d&#8217;amour au clair de lune et violentissimes séquences de bataille d&#8217;un réalisme époustouflant, il ressuscite l&#8217;esprit des grands films hollywoodiens de notre enfance. Avec un plus : filmées de l&#8217;intérieur, avec puissance et barbarie, tempérées par l&#8217;humour des dialogues, les scènes de bataille ont rarement autant impressionné. Manifestant une énergie flamboyante à la fois devant et derrière la caméra, le héros de L&#8217;Arme fatale s&#8217;est entouré de Patrick Mc Goohan – Le Prisonnier – en intraitable Edouard Ier, et d&#8217;une inattendue Sophie Marceau en princesse française. Six oscars récompensent le film en 1996, dont ceux du meilleur film et du meilleur réalisateur. &#8211;Sylvain Lefort</p>

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