Moonraker [Édition Spéciale]

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Description

<p>Un vaisseau spatial américain est détourné par le diabolique industriel Hugo Drax (Michael Lonsdale), bien décidé à exterminer l&#8217;espèce humaine. James Bond (Roger Moore) et l&#8217;agent de la CIA, Holly Goodhead (Lois Chiles) vont tout mettre en ouvre pour stopper ce dangereux maniaque. En plein boom des films de science-fiction (&#8220;La Guerre des étoiles&#8221;, &#8220;Rencontres du troisième type&#8221;), il était tout naturel pour Cubby Broccoli, le producteur de la saga, d&#8217;envoyer 007 accomplir une petite virée dans l&#8217;espace dans l&#8217;espace. Euphorique après le succès de &#8220;L&#8217;Espion qui m&#8217;aimait&#8221;, le précédent volet, la production ne lésina pas sur les moyens pour ce onzième épisode qui s&#8217;éloigne sensiblement de l&#8217;esprit original de la série. Le légendaire humour de James Bond incitant ce dernier à aborder tous les événements à la légère, le héros manque ici singulièrement de consistance. L&#8217;évolution du personnage de Requin (Richard Kiel), en amoureux romantique n&#8217;est pas du meilleur goût et l&#8217;on peut regretter l&#8217;absence de glamour d&#8217;Holly Goodhead, un peu trop &#8220;femme des années 80&#8221;. Resteront malgré tout dans les annales la fameuse scène de la place Saint-Marc à Venise, le combat dans le téléphérique à Rio de Janeiro, la partie de chasse, l&#8217;entraînement piégé dans la centrifugeuse et les splendides décors créés par Ken Adam. Quoi qu&#8217;il en reste aujourd&#8217;hui, &#8220;Moonraker&#8221; explosa le box-office à sa sortie. Il s&#8217;agit d&#8217;un Bond spécial : il a coûté plus cher que tous les films précédents réunis. Un pur éblouissement qui accuse à peine son âge… 20 ans ! Ayant perdu la trace d&#8217;une navette spatiale qu&#8217;il devait protéger, M charge l&#8217;agent 007 d&#8217;enquêter au Brésil sur un certain Drax, concepteur de l&#8217;engin disparu… Un making-of magistral révèle les secrets du tournage : les 88 sauts en parachute pour le prégénérique, la bataille sur le toit du téléphérique de Rio, le combat entre Bond et le python, la destruction de la base spatiale… Un second reportage salue quant à lui le talent de ses concepteurs. Son et image sont à la fête avec un festival d&#8217;effets sur la piste anglaise en 5.1 et une belle définition malgré quelques poussières. Comme à son habitude sur la collection Bond, le commentaire audio reste en VO. Attention : un sticker annonce des spots TV et radio absents et ne mentionne pas la galerie de photos. &#8211;Alex Fréau La plus spatiale des aventures de James Bond déferlait sur les écrans en 1979, avec Lewis Gilbert aux commandes et Roger Moore en cosmonaute d&#8217;un jour.</p>

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Un vaisseau spatial américain est détourné par le diabolique industriel Hugo Drax (Michael Lonsdale), bien décidé à exterminer l’espèce humaine. James Bond (Roger Moore) et l’agent de la CIA, Holly Goodhead (Lois Chiles) vont tout mettre en ouvre pour stopper ce dangereux maniaque. En plein boom des films de science-fiction (“La Guerre des étoiles”, “Rencontres du troisième type”), il était tout naturel pour Cubby Broccoli, le producteur de la saga, d’envoyer 007 accomplir une petite virée dans l’espace dans l’espace. Euphorique après le succès de “L’Espion qui m’aimait”, le précédent volet, la production ne lésina pas sur les moyens pour ce onzième épisode qui s’éloigne sensiblement de l’esprit original de la série. Le légendaire humour de James Bond incitant ce dernier à aborder tous les événements à la légère, le héros manque ici singulièrement de consistance. L’évolution du personnage de Requin (Richard Kiel), en amoureux romantique n’est pas du meilleur goût et l’on peut regretter l’absence de glamour d’Holly Goodhead, un peu trop “femme des années 80”. Resteront malgré tout dans les annales la fameuse scène de la place Saint-Marc à Venise, le combat dans le téléphérique à Rio de Janeiro, la partie de chasse, l’entraînement piégé dans la centrifugeuse et les splendides décors créés par Ken Adam. Quoi qu’il en reste aujourd’hui, “Moonraker” explosa le box-office à sa sortie. Il s’agit d’un Bond spécial : il a coûté plus cher que tous les films précédents réunis. Un pur éblouissement qui accuse à peine son âge… 20 ans ! Ayant perdu la trace d’une navette spatiale qu’il devait protéger, M charge l’agent 007 d’enquêter au Brésil sur un certain Drax, concepteur de l’engin disparu… Un making-of magistral révèle les secrets du tournage : les 88 sauts en parachute pour le prégénérique, la bataille sur le toit du téléphérique de Rio, le combat entre Bond et le python, la destruction de la base spatiale… Un second reportage salue quant à lui le talent de ses concepteurs. Son et image sont à la fête avec un festival d’effets sur la piste anglaise en 5.1 et une belle définition malgré quelques poussières. Comme à son habitude sur la collection Bond, le commentaire audio reste en VO. Attention : un sticker annonce des spots TV et radio absents et ne mentionne pas la galerie de photos. –Alex Fréau La plus spatiale des aventures de James Bond déferlait sur les écrans en 1979, avec Lewis Gilbert aux commandes et Roger Moore en cosmonaute d’un jour.

Description

<p>Un vaisseau spatial américain est détourné par le diabolique industriel Hugo Drax (Michael Lonsdale), bien décidé à exterminer l&#8217;espèce humaine. James Bond (Roger Moore) et l&#8217;agent de la CIA, Holly Goodhead (Lois Chiles) vont tout mettre en ouvre pour stopper ce dangereux maniaque. En plein boom des films de science-fiction (&#8220;La Guerre des étoiles&#8221;, &#8220;Rencontres du troisième type&#8221;), il était tout naturel pour Cubby Broccoli, le producteur de la saga, d&#8217;envoyer 007 accomplir une petite virée dans l&#8217;espace dans l&#8217;espace. Euphorique après le succès de &#8220;L&#8217;Espion qui m&#8217;aimait&#8221;, le précédent volet, la production ne lésina pas sur les moyens pour ce onzième épisode qui s&#8217;éloigne sensiblement de l&#8217;esprit original de la série. Le légendaire humour de James Bond incitant ce dernier à aborder tous les événements à la légère, le héros manque ici singulièrement de consistance. L&#8217;évolution du personnage de Requin (Richard Kiel), en amoureux romantique n&#8217;est pas du meilleur goût et l&#8217;on peut regretter l&#8217;absence de glamour d&#8217;Holly Goodhead, un peu trop &#8220;femme des années 80&#8221;. Resteront malgré tout dans les annales la fameuse scène de la place Saint-Marc à Venise, le combat dans le téléphérique à Rio de Janeiro, la partie de chasse, l&#8217;entraînement piégé dans la centrifugeuse et les splendides décors créés par Ken Adam. Quoi qu&#8217;il en reste aujourd&#8217;hui, &#8220;Moonraker&#8221; explosa le box-office à sa sortie. Il s&#8217;agit d&#8217;un Bond spécial : il a coûté plus cher que tous les films précédents réunis. Un pur éblouissement qui accuse à peine son âge… 20 ans ! Ayant perdu la trace d&#8217;une navette spatiale qu&#8217;il devait protéger, M charge l&#8217;agent 007 d&#8217;enquêter au Brésil sur un certain Drax, concepteur de l&#8217;engin disparu… Un making-of magistral révèle les secrets du tournage : les 88 sauts en parachute pour le prégénérique, la bataille sur le toit du téléphérique de Rio, le combat entre Bond et le python, la destruction de la base spatiale… Un second reportage salue quant à lui le talent de ses concepteurs. Son et image sont à la fête avec un festival d&#8217;effets sur la piste anglaise en 5.1 et une belle définition malgré quelques poussières. Comme à son habitude sur la collection Bond, le commentaire audio reste en VO. Attention : un sticker annonce des spots TV et radio absents et ne mentionne pas la galerie de photos. &#8211;Alex Fréau La plus spatiale des aventures de James Bond déferlait sur les écrans en 1979, avec Lewis Gilbert aux commandes et Roger Moore en cosmonaute d&#8217;un jour.</p>

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