![Le Dernier Empereur [Édition Collector]](https://kreezalid.s3.eu-central-1.amazonaws.com/563898/assets/8100/54/image-a196d17886462a81f11d1ba4b4a75886.jpg)
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Cette fresque à grand spectacle, tournée en partie dans la Cité interdite, décrit sur le mode intimiste et familial le destin le plus romanesque des histoires vraies : Pu Yi, dernier empereur de Chine, sans cesse coupé du monde et de lui-même. Et sur les deux plans, la réussite de Bernardo Bertolucci est éclatante. En ne lésinant ni sur les décors, ni sur la figuration, ni sur les costumes, le producteur britannique Jeremy Thomas – Furyo, Le Festin nu – a donné tous les moyens au réalisateur de 1900 de mener à bien son ambitieux projet. En outre, grâce au travail de Vittorio Storaro – Apocalypse Now, Reds – la couleur est utilisée à des fins symboliques, opposant des dominantes jaunes, rouges ou bleues selon les séquences. Somptueux. Tout en maintenant le cap du grand spectacle, l’auteur du Dernier Tango à Paris parvient également à dresser le portrait intime d’un homme en quête d’identité. Par le biais d’un scénario extrêmement adroit qui balaye en flash-back soixante ans d’histoire, le réalisateur italien laisse passer le souffle de l’Histoire tout en demeurant émouvant. Car derrière la biographie du plus prestigieux détenu de Mao, Bertolucci nous raconte l’histoire d’une formidable solitude, privée d’enfance et d’amour maternel, le destin dérisoire et tragique d’un homme anachronique, obligé de renoncer à sa vie d’homme pour incarner un symbole. Un chef-d’uvre qui a raflé neuf Oscars en 1988, dont ceux du meilleur film et du meilleur réalisateur. –Sylvain Lefort En 1908, sur l’ordre de l’impératrice de Chine sur le point de mourir, Pu Yi, un enfant de trois ans, est enlevé à sa mère afin de devenir empereur. Mais trois ans après son accession au trône, la république est proclamée en Chine. Pu Yi est autorisé à conserver son titre qui n’est désormais plus qu’un symbole, mais est condamné à demeurer dans la Cité Interdite, où il va grandir, entouré de ses courtisans, en ignorant tout du monde extérieur. C’est un véritable tour de force qu’a accompli le cinéaste italien Bernardo Bertolucci en réalisant en 1986 cette fresque hors normes qui conjugue séquences de grand spectacle et scènes intimistes, et lie le destin tragique d’un homme (de 1908 à 1967) avec celui d’une nation tout entière. Pour la première fois, un cinéaste occidental était autorisé à filmer à l’intérieur de la Cité Interdite. La photo exceptionnelle est signée Vittorio Storaro, fidèle complice du réalisateur, tandis que la bande originale, l’une des plus belles de l’histoire du cinéma, a été composée par Ryuichi Sakamoto (qui campe le rôle d’un espion japonais dans le film) et David Byrne. Curieusement, ce chef-d’ouvre bouleversant, unanimement encensé par la critique, n’a pas eu le succès escompté au box-office. Il a néanmoins raflé neuf Oscars à Hollywood en 1987, dont ceux du Meilleur film, Meilleur réalisateur, Meilleure musique originale et Meilleure photographie. En 1986, Bernardo Bertolucci évoquait la fabuleuse destinée de Pu Yi, dernier empereur de Chine, dans une fresque flamboyante saluée par neuf Oscars. Ce chef-d’ouvre est désormais disponible en trois éditions DVD (Simple, Collector et Édition Prestige Limitée). Présenté dans un digipak de toute beauté, le double-DVD collector propose plus de 2 h 30 de bonus.
Description
<p>Cette fresque à grand spectacle, tournée en partie dans la Cité interdite, décrit sur le mode intimiste et familial le destin le plus romanesque des histoires vraies : Pu Yi, dernier empereur de Chine, sans cesse coupé du monde et de lui-même. Et sur les deux plans, la réussite de Bernardo Bertolucci est éclatante. En ne lésinant ni sur les décors, ni sur la figuration, ni sur les costumes, le producteur britannique Jeremy Thomas – Furyo, Le Festin nu – a donné tous les moyens au réalisateur de 1900 de mener à bien son ambitieux projet. En outre, grâce au travail de Vittorio Storaro – Apocalypse Now, Reds – la couleur est utilisée à des fins symboliques, opposant des dominantes jaunes, rouges ou bleues selon les séquences. Somptueux. Tout en maintenant le cap du grand spectacle, l’auteur du Dernier Tango à Paris parvient également à dresser le portrait intime d’un homme en quête d’identité. Par le biais d’un scénario extrêmement adroit qui balaye en flash-back soixante ans d’histoire, le réalisateur italien laisse passer le souffle de l’Histoire tout en demeurant émouvant. Car derrière la biographie du plus prestigieux détenu de Mao, Bertolucci nous raconte l’histoire d’une formidable solitude, privée d’enfance et d’amour maternel, le destin dérisoire et tragique d’un homme anachronique, obligé de renoncer à sa vie d’homme pour incarner un symbole. Un chef-d’uvre qui a raflé neuf Oscars en 1988, dont ceux du meilleur film et du meilleur réalisateur. –Sylvain Lefort En 1908, sur l’ordre de l’impératrice de Chine sur le point de mourir, Pu Yi, un enfant de trois ans, est enlevé à sa mère afin de devenir empereur. Mais trois ans après son accession au trône, la république est proclamée en Chine. Pu Yi est autorisé à conserver son titre qui n’est désormais plus qu’un symbole, mais est condamné à demeurer dans la Cité Interdite, où il va grandir, entouré de ses courtisans, en ignorant tout du monde extérieur. C’est un véritable tour de force qu’a accompli le cinéaste italien Bernardo Bertolucci en réalisant en 1986 cette fresque hors normes qui conjugue séquences de grand spectacle et scènes intimistes, et lie le destin tragique d’un homme (de 1908 à 1967) avec celui d’une nation tout entière. Pour la première fois, un cinéaste occidental était autorisé à filmer à l’intérieur de la Cité Interdite. La photo exceptionnelle est signée Vittorio Storaro, fidèle complice du réalisateur, tandis que la bande originale, l’une des plus belles de l’histoire du cinéma, a été composée par Ryuichi Sakamoto (qui campe le rôle d’un espion japonais dans le film) et David Byrne. Curieusement, ce chef-d’ouvre bouleversant, unanimement encensé par la critique, n’a pas eu le succès escompté au box-office. Il a néanmoins raflé neuf Oscars à Hollywood en 1987, dont ceux du Meilleur film, Meilleur réalisateur, Meilleure musique originale et Meilleure photographie. En 1986, Bernardo Bertolucci évoquait la fabuleuse destinée de Pu Yi, dernier empereur de Chine, dans une fresque flamboyante saluée par neuf Oscars. Ce chef-d’ouvre est désormais disponible en trois éditions DVD (Simple, Collector et Édition Prestige Limitée). Présenté dans un digipak de toute beauté, le double-DVD collector propose plus de 2 h 30 de bonus.</p>
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