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Dernière étape du voyage de Bernard Ollivier le long de la Route de la Soie (après “Longue marche” et “Vers Samarcande”)… Au cours de ces pages, le lecteur sera convié à franchir les neiges du Pamir, à se perdre dans les ruelles de Kashgar – seule métropole d’Asie centrale à vivre encore à l’heure des Mille et Une Nuits -, à longer l’interminable désert du Taklamakan puis le Gobi, à pénétrer enfin dans la Chine des Han par le chemin des anciens pèlerins fidèles à l’enseignement du Bouddha… L’écrivain marcheur, dans les derniers kilomètres, regrette la générosité de l’islam, si hospitalier au voyageur… et peine à retrouver ce qu’on appelle un peu sottement la ” civilisation “. S’il tire quelques conclusions personnelles de son aventure, c’est sur le ton qu’on lui connaît : réservé, pudique – et toujours aussi méfiant à l’endroit de la ” littérature “… Ce dont s’émerveillait déjà la critique, il y a quelques saisons : ” Bernard Ollivier est un voyageur. Il ne se prend pas pour un écrivain. Le résultat est qu’il écrit souvent mieux que les écrivains-voyageurs patentés : simplement, avec pour seul souci, plutôt que la belle page, le compte rendu véritable de son expérience. Il ne voyage pas pour écrire, ni pour faire un livre. Il voyage comme le font tant de héros de Conrad : pour se découvrir. ” PIERRE LEPAPE/LE MONDE LA DEDICACE DE L’AUTEUR : Non, lecteur, ne va pas croire que j’ai fait toute cette route pour établir un record, même si jamais, au cours de son histoire bi-millénaire, un humain n’a accompli ce trajet entièrement à pied ; Non, lecteur, la sagesse n’est pas au bout du chemin, même s’il mesure 12.000 km, comptés pas à pas. Mais ce n’était pas tout à fait inutile de grignoter cette route, car ce sont ces pistes et ces sentiers qui m’ont fait comprendre que ma sagesse était en moi, avant même de franchir le Bosphore mais qu’il m’a fallu cette solitude immense pour la découvrir. Oui, lecteur, je t’ai emporté dans mon sac à dos. Et dans les pires moments, perché sur les cols du Pamir, brûlé par le feu des déserts, giflé par les vents glacés du Gobi, c’est toi qui m’as donné la force d’aller jusqu’au bout. Car après la parution des deux premiers ouvrages de cette grande et belle aventure, tu m’avais donné tant de preuves de ton amitié qu’il ne me paraissait pas possible de te décevoir. Non, lecteur, je n’écrirai sans doute plus de livre de voyage. Sauf peut-être… Mais j’ai, avec toi, comme toi, découvert à hauteur d’homme des gens, des paysages, des villages immuables et généreux, sur cette soyeuse route qui m’a conduit d’Istanbul à Xi’an en quatre années. (Bernard Ollivier)
Description
<p>Dernière étape du voyage de Bernard Ollivier le long de la Route de la Soie (après “Longue marche” et “Vers Samarcande”)… Au cours de ces pages, le lecteur sera convié à franchir les neiges du Pamir, à se perdre dans les ruelles de Kashgar – seule métropole d’Asie centrale à vivre encore à l’heure des Mille et Une Nuits -, à longer l’interminable désert du Taklamakan puis le Gobi, à pénétrer enfin dans la Chine des Han par le chemin des anciens pèlerins fidèles à l’enseignement du Bouddha… L’écrivain marcheur, dans les derniers kilomètres, regrette la générosité de l’islam, si hospitalier au voyageur… et peine à retrouver ce qu’on appelle un peu sottement la ” civilisation “. S’il tire quelques conclusions personnelles de son aventure, c’est sur le ton qu’on lui connaît : réservé, pudique – et toujours aussi méfiant à l’endroit de la ” littérature “… Ce dont s’émerveillait déjà la critique, il y a quelques saisons : ” Bernard Ollivier est un voyageur. Il ne se prend pas pour un écrivain. Le résultat est qu’il écrit souvent mieux que les écrivains-voyageurs patentés : simplement, avec pour seul souci, plutôt que la belle page, le compte rendu véritable de son expérience. Il ne voyage pas pour écrire, ni pour faire un livre. Il voyage comme le font tant de héros de Conrad : pour se découvrir. ” PIERRE LEPAPE/LE MONDE LA DEDICACE DE L’AUTEUR : Non, lecteur, ne va pas croire que j’ai fait toute cette route pour établir un record, même si jamais, au cours de son histoire bi-millénaire, un humain n’a accompli ce trajet entièrement à pied ; Non, lecteur, la sagesse n’est pas au bout du chemin, même s’il mesure 12.000 km, comptés pas à pas. Mais ce n’était pas tout à fait inutile de grignoter cette route, car ce sont ces pistes et ces sentiers qui m’ont fait comprendre que ma sagesse était en moi, avant même de franchir le Bosphore mais qu’il m’a fallu cette solitude immense pour la découvrir. Oui, lecteur, je t’ai emporté dans mon sac à dos. Et dans les pires moments, perché sur les cols du Pamir, brûlé par le feu des déserts, giflé par les vents glacés du Gobi, c’est toi qui m’as donné la force d’aller jusqu’au bout. Car après la parution des deux premiers ouvrages de cette grande et belle aventure, tu m’avais donné tant de preuves de ton amitié qu’il ne me paraissait pas possible de te décevoir. Non, lecteur, je n’écrirai sans doute plus de livre de voyage. Sauf peut-être… Mais j’ai, avec toi, comme toi, découvert à hauteur d’homme des gens, des paysages, des villages immuables et généreux, sur cette soyeuse route qui m’a conduit d’Istanbul à Xi’an en quatre années. (Bernard Ollivier)</p>
Reliure
- Broché
Auteur
Bernard OllivierÉtat
- Très bon état
Épaisseur
18.29Longueur
11.91Largeur
2.39Nombre de pages
352ISBN 10
2752900805SBN 13
9782752900807Méthode de livraison
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