La Vengeance du Comte Skarbek, tome 1 : Les Deux mains d'Or

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Référence: B11797

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Caractéristiques techniques

Description

<p>Il s’appelle Skarbek. Le comte Mieszko Skarbek. En 1843, il est de retour à Paris. La moitié de son visage est détruite. Onze ans plus tôt, il portait un autre nom : il s’appelait Louis Paulus. Il était peintre, et pas des plus maladroits. Mais un certain Northbrook, marchand de tableaux de son état, a ruiné sa vie et s’est emparé de sa peinture. Alors, ce jour-là, Skarbek-Paulus est décidé à se venger. La bonne société parisienne ne se doute pas de ce qui l’attend. Et certains de ses membres les plus éminents vont voir leur passé resurgir sans crier gare… Cet album superbe est le fruit d’une collaboration inédite : celle entre Yves Sente, scénariste de deux albums de « Blake et Mortimer » (La Machination Voronov et Les Sarcophages du 6e continent) et Grzegorz Rosinski, dessinateur de « Thorgal » et du « Grand Pouvoir du Chninkel ». La Vengeance du comte Skarbek est tout à la fois un hommage à la peinture, un clin d’œil complice à Dumas, une exaltation du romantisme et un voyage enchanteur dans le Paris du XIXe siècle, reconstitué de main de maître par un Rosinski en pleine possession de ses moyens. L’hommage à la peinture se lit tout au long des 54 pages de l’album. Par le thème, bien sûr. Mais aussi par le traitement graphique adopté par Rosinski, grand admirateur de Delacroix. Le dessinateur de « Thorgal » a joué du pinceau debout pour réaliser ses planches immenses, hautes d’un mètre sur 70 centimètres. Il transporte le lecteur au cœur d’un univers saturé de couleurs, là où le dessin pur cède le pas à la matière vivante par la seule magie du pinceau. Le clin d’œil à Dumas, c’est bien sûr l’évocation de son Monte-Cristo à travers ce récit d’une vengeance personnelle et sociale. Celle de l’artiste bafoué par la puissance de l’argent, qui punira ceux qui l’ont humilié en sapant les fondements de leur reconnaissance imméritée. L’album résonne d’accents balzaciens : il offre le portrait vivant et contrasté d’une ville où la bonne société flirte avec ses marges et ses bas-fonds. Il y a aussi du Daumier dans ce Rosinski-là. Même trait mordant, même capacité à saisir les aspérités d’un personnage pour mieux en traquer les ridicules et les petitesses. Les amateurs de Thorgal ne seront pas déçus par cet album, même s’il se situe bien loin des histoires de Vikings. Car le souffle de l’aventure et de la passion, transcendé par le pinceau passionné de Rosinski, fait vibrer cette histoire de sombre vengeance magnifiée par l’amour de la peinture qui affleure à chacune des pages… Nous sommes en 1843. La Vengeance du Comte Skarbek raconte, dans un diptyque formidablement mis en scène par Grzegorz Rosinski, les tribulations romanesques d&#8217;un peintre, Louis Paulus, de retour d&#8217;exil. Sous l&#8217;identité du Comte Skarbek, le peintre revient à Paris pour confondre un célèbre marchand de tableaux, Daniel Northbrook. Pour ce faire, il usera des &#8220;talents&#8221; de son ancienne muse, la belle Magdalène. Flash-back et témoignages ponctuent le procès plein de rebondissements qui s&#8217;étalera sur les deux albums. On ne s&#8217;attend pas à un tel dénouement, qui mêle fiction et réalité, revisite même l&#8217;Histoire et fait tomber les masques de la plus surprenante des façons. Du grand art ! Un passionnant thriller romanesque dans la lignée des grands feuilletons populaires de Victor Hugo et d&#8217;Alexandre Dumas. La Vengeance du Comte Skarbek est une fiction rigoureusement documentée, qui dépeint avec réalisme la société parisienne et l&#8217;univers des artistes romantiques du 19e siècle. Un scénario captivant et troublant d&#8217;Y. Sente, l&#8217;auteur pour Juillard de «La Machination Voronov» et «Les Sarcophages du 6e Continent» («Blake et Mortimer»). G. Rosinski s&#8217;essaye à une nouvelle technique de dessin et de mise en couleur plus proche de la peinture. Un nouveau tournant pour le dessinateur de «Thorgal» et «Western» pour J. Van Hamme et de la &#8220;Complainte des Landes perdues&#8221; pour J. Dufaux. Une histoire en deux albums grand format.</p>

Reliure

  • Broché

Auteur

Rosinski,Sente

État

  • Très bon état

Épaisseur

32

Longueur

24.31

Largeur

1.19

Nombre de pages

56

ISBN 10

2871295719

SBN 13

9782871295716

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Il s’appelle Skarbek. Le comte Mieszko Skarbek. En 1843, il est de retour à Paris. La moitié de son visage est détruite. Onze ans plus tôt, il portait un autre nom : il s’appelait Louis Paulus. Il était peintre, et pas des plus maladroits. Mais un certain Northbrook, marchand de tableaux de son état, a ruiné sa vie et s’est emparé de sa peinture. Alors, ce jour-là, Skarbek-Paulus est décidé à se venger. La bonne société parisienne ne se doute pas de ce qui l’attend. Et certains de ses membres les plus éminents vont voir leur passé resurgir sans crier gare… Cet album superbe est le fruit d’une collaboration inédite : celle entre Yves Sente, scénariste de deux albums de « Blake et Mortimer » (La Machination Voronov et Les Sarcophages du 6e continent) et Grzegorz Rosinski, dessinateur de « Thorgal » et du « Grand Pouvoir du Chninkel ». La Vengeance du comte Skarbek est tout à la fois un hommage à la peinture, un clin d’œil complice à Dumas, une exaltation du romantisme et un voyage enchanteur dans le Paris du XIXe siècle, reconstitué de main de maître par un Rosinski en pleine possession de ses moyens. L’hommage à la peinture se lit tout au long des 54 pages de l’album. Par le thème, bien sûr. Mais aussi par le traitement graphique adopté par Rosinski, grand admirateur de Delacroix. Le dessinateur de « Thorgal » a joué du pinceau debout pour réaliser ses planches immenses, hautes d’un mètre sur 70 centimètres. Il transporte le lecteur au cœur d’un univers saturé de couleurs, là où le dessin pur cède le pas à la matière vivante par la seule magie du pinceau. Le clin d’œil à Dumas, c’est bien sûr l’évocation de son Monte-Cristo à travers ce récit d’une vengeance personnelle et sociale. Celle de l’artiste bafoué par la puissance de l’argent, qui punira ceux qui l’ont humilié en sapant les fondements de leur reconnaissance imméritée. L’album résonne d’accents balzaciens : il offre le portrait vivant et contrasté d’une ville où la bonne société flirte avec ses marges et ses bas-fonds. Il y a aussi du Daumier dans ce Rosinski-là. Même trait mordant, même capacité à saisir les aspérités d’un personnage pour mieux en traquer les ridicules et les petitesses. Les amateurs de Thorgal ne seront pas déçus par cet album, même s’il se situe bien loin des histoires de Vikings. Car le souffle de l’aventure et de la passion, transcendé par le pinceau passionné de Rosinski, fait vibrer cette histoire de sombre vengeance magnifiée par l’amour de la peinture qui affleure à chacune des pages… Nous sommes en 1843. La Vengeance du Comte Skarbek raconte, dans un diptyque formidablement mis en scène par Grzegorz Rosinski, les tribulations romanesques d’un peintre, Louis Paulus, de retour d’exil. Sous l’identité du Comte Skarbek, le peintre revient à Paris pour confondre un célèbre marchand de tableaux, Daniel Northbrook. Pour ce faire, il usera des “talents” de son ancienne muse, la belle Magdalène. Flash-back et témoignages ponctuent le procès plein de rebondissements qui s’étalera sur les deux albums. On ne s’attend pas à un tel dénouement, qui mêle fiction et réalité, revisite même l’Histoire et fait tomber les masques de la plus surprenante des façons. Du grand art ! Un passionnant thriller romanesque dans la lignée des grands feuilletons populaires de Victor Hugo et d’Alexandre Dumas. La Vengeance du Comte Skarbek est une fiction rigoureusement documentée, qui dépeint avec réalisme la société parisienne et l’univers des artistes romantiques du 19e siècle. Un scénario captivant et troublant d’Y. Sente, l’auteur pour Juillard de «La Machination Voronov» et «Les Sarcophages du 6e Continent» («Blake et Mortimer»). G. Rosinski s’essaye à une nouvelle technique de dessin et de mise en couleur plus proche de la peinture. Un nouveau tournant pour le dessinateur de «Thorgal» et «Western» pour J. Van Hamme et de la “Complainte des Landes perdues” pour J. Dufaux. Une histoire en deux albums grand format.

Description

<p>Il s’appelle Skarbek. Le comte Mieszko Skarbek. En 1843, il est de retour à Paris. La moitié de son visage est détruite. Onze ans plus tôt, il portait un autre nom : il s’appelait Louis Paulus. Il était peintre, et pas des plus maladroits. Mais un certain Northbrook, marchand de tableaux de son état, a ruiné sa vie et s’est emparé de sa peinture. Alors, ce jour-là, Skarbek-Paulus est décidé à se venger. La bonne société parisienne ne se doute pas de ce qui l’attend. Et certains de ses membres les plus éminents vont voir leur passé resurgir sans crier gare… Cet album superbe est le fruit d’une collaboration inédite : celle entre Yves Sente, scénariste de deux albums de « Blake et Mortimer » (La Machination Voronov et Les Sarcophages du 6e continent) et Grzegorz Rosinski, dessinateur de « Thorgal » et du « Grand Pouvoir du Chninkel ». La Vengeance du comte Skarbek est tout à la fois un hommage à la peinture, un clin d’œil complice à Dumas, une exaltation du romantisme et un voyage enchanteur dans le Paris du XIXe siècle, reconstitué de main de maître par un Rosinski en pleine possession de ses moyens. L’hommage à la peinture se lit tout au long des 54 pages de l’album. Par le thème, bien sûr. Mais aussi par le traitement graphique adopté par Rosinski, grand admirateur de Delacroix. Le dessinateur de « Thorgal » a joué du pinceau debout pour réaliser ses planches immenses, hautes d’un mètre sur 70 centimètres. Il transporte le lecteur au cœur d’un univers saturé de couleurs, là où le dessin pur cède le pas à la matière vivante par la seule magie du pinceau. Le clin d’œil à Dumas, c’est bien sûr l’évocation de son Monte-Cristo à travers ce récit d’une vengeance personnelle et sociale. Celle de l’artiste bafoué par la puissance de l’argent, qui punira ceux qui l’ont humilié en sapant les fondements de leur reconnaissance imméritée. L’album résonne d’accents balzaciens : il offre le portrait vivant et contrasté d’une ville où la bonne société flirte avec ses marges et ses bas-fonds. Il y a aussi du Daumier dans ce Rosinski-là. Même trait mordant, même capacité à saisir les aspérités d’un personnage pour mieux en traquer les ridicules et les petitesses. Les amateurs de Thorgal ne seront pas déçus par cet album, même s’il se situe bien loin des histoires de Vikings. Car le souffle de l’aventure et de la passion, transcendé par le pinceau passionné de Rosinski, fait vibrer cette histoire de sombre vengeance magnifiée par l’amour de la peinture qui affleure à chacune des pages… Nous sommes en 1843. La Vengeance du Comte Skarbek raconte, dans un diptyque formidablement mis en scène par Grzegorz Rosinski, les tribulations romanesques d&#8217;un peintre, Louis Paulus, de retour d&#8217;exil. Sous l&#8217;identité du Comte Skarbek, le peintre revient à Paris pour confondre un célèbre marchand de tableaux, Daniel Northbrook. Pour ce faire, il usera des &#8220;talents&#8221; de son ancienne muse, la belle Magdalène. Flash-back et témoignages ponctuent le procès plein de rebondissements qui s&#8217;étalera sur les deux albums. On ne s&#8217;attend pas à un tel dénouement, qui mêle fiction et réalité, revisite même l&#8217;Histoire et fait tomber les masques de la plus surprenante des façons. Du grand art ! Un passionnant thriller romanesque dans la lignée des grands feuilletons populaires de Victor Hugo et d&#8217;Alexandre Dumas. La Vengeance du Comte Skarbek est une fiction rigoureusement documentée, qui dépeint avec réalisme la société parisienne et l&#8217;univers des artistes romantiques du 19e siècle. Un scénario captivant et troublant d&#8217;Y. Sente, l&#8217;auteur pour Juillard de «La Machination Voronov» et «Les Sarcophages du 6e Continent» («Blake et Mortimer»). G. Rosinski s&#8217;essaye à une nouvelle technique de dessin et de mise en couleur plus proche de la peinture. Un nouveau tournant pour le dessinateur de «Thorgal» et «Western» pour J. Van Hamme et de la &#8220;Complainte des Landes perdues&#8221; pour J. Dufaux. Une histoire en deux albums grand format.</p>

Reliure

  • Broché

Auteur

Rosinski,Sente

État

  • Très bon état

Épaisseur

32

Longueur

24.31

Largeur

1.19

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2871295719

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9782871295716

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