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Noir et sombre univers que celui de ce futuriste Central Zéro, qui met l’accent sur la déshumanisation caractérisant l’humanité du trentième siècle, concentrée dans le havre-capitale technologique de Central Zéro. Sur une planète rongée par les conflits, l’aristocrate déchu, Quentin Woff, officie comme homme de main et semble être l’un des seuls à poursuivre une quête digne de sens. Dans le sillage de celui qui passe pour son père, notre héros doit compter sur des détenus qu’il a autrefois arrêtés pour laider dans sa démarche auprès du mystérieux “ecclésiarque” Stannel, lié à la création dêtres hors du commun, les “néguls” autour desquels se concentrent les enjeux de divers complots Une entrée en matière en forme de long flash-back, qui affiche son ambition en distillant au compte-gouttes les informations permettant au lecteur de reconstituer le tissu d’une histoire tourmentée et compliquée. On ne peut pas dire que les auteurs mettent tout en œuvre pour qu’on soit en adhésion immédiate avec leur projet, qui a de beaux relents du Nosferatu druilletiste par plusieurs côtés. Une exigence que renforcent la gamme chromatique à dominante marron et sombre, la physionomie taillée à la serpe des personnages et des décors gothiques new age qui font froid dans le dos. Mais si l’on observe qu’il s’agit là du premier travail en commun du scénariste Nikolavitch et du dessinateur Fejzula, on se dit que cette quête identitaire de Wolff, qui refuse de donner dans la facilité (remarque qui vaut pour le protagoniste comme pour lalbum), fait preuve dune belle exigence, pas si commune que cela dans le domaine de la bande dessinée. On ne sait pas encore de quels péchés paternels il est question, mais ce space opera ravira les pessimistes quant au rose avenir des hommes perdus dans les lointaines galaxies. –Frédéric Grolleau Comme toute tempête, la guerre avait laissé des épaves derrière elle : tabous sociaux, intrigues inachevées, criminels en fuite, mondes exsangues et âmes perdues en quête d’identité… Comme toute guerre, la guerre coloniale aurait dû mettre fin à toutes les guerres, et n’a réussi qu’à semer les ferments de la suivante : rancœurs, armes d’apocalypse, pouvoir mal acquis. Comme toute arme, Quentin Wolff devait finir un jour par être utilisé. Capitale technologique de l’univers humain, Central Zéro est en réalité un théâtre d’intrigues et de conspirations dont la finalité est un jeu à l’échelle galactique… Une passionnante série de science-fiction aux prétentions galactiques !!!
Description
<p>Noir et sombre univers que celui de ce futuriste Central Zéro, qui met l’accent sur la déshumanisation caractérisant l’humanité du trentième siècle, concentrée dans le havre-capitale technologique de Central Zéro. Sur une planète rongée par les conflits, l’aristocrate déchu, Quentin Woff, officie comme homme de main et semble être l’un des seuls à poursuivre une quête digne de sens. Dans le sillage de celui qui passe pour son père, notre héros doit compter sur des détenus qu’il a autrefois arrêtés pour laider dans sa démarche auprès du mystérieux “ecclésiarque” Stannel, lié à la création dêtres hors du commun, les “néguls” autour desquels se concentrent les enjeux de divers complots Une entrée en matière en forme de long flash-back, qui affiche son ambition en distillant au compte-gouttes les informations permettant au lecteur de reconstituer le tissu d’une histoire tourmentée et compliquée. On ne peut pas dire que les auteurs mettent tout en œuvre pour qu’on soit en adhésion immédiate avec leur projet, qui a de beaux relents du Nosferatu druilletiste par plusieurs côtés. Une exigence que renforcent la gamme chromatique à dominante marron et sombre, la physionomie taillée à la serpe des personnages et des décors gothiques new age qui font froid dans le dos. Mais si l’on observe qu’il s’agit là du premier travail en commun du scénariste Nikolavitch et du dessinateur Fejzula, on se dit que cette quête identitaire de Wolff, qui refuse de donner dans la facilité (remarque qui vaut pour le protagoniste comme pour lalbum), fait preuve dune belle exigence, pas si commune que cela dans le domaine de la bande dessinée. On ne sait pas encore de quels péchés paternels il est question, mais ce space opera ravira les pessimistes quant au rose avenir des hommes perdus dans les lointaines galaxies. –Frédéric Grolleau Comme toute tempête, la guerre avait laissé des épaves derrière elle : tabous sociaux, intrigues inachevées, criminels en fuite, mondes exsangues et âmes perdues en quête d’identité… Comme toute guerre, la guerre coloniale aurait dû mettre fin à toutes les guerres, et n’a réussi qu’à semer les ferments de la suivante : rancœurs, armes d’apocalypse, pouvoir mal acquis. Comme toute arme, Quentin Wolff devait finir un jour par être utilisé. Capitale technologique de l’univers humain, Central Zéro est en réalité un théâtre d’intrigues et de conspirations dont la finalité est un jeu à l’échelle galactique… Une passionnante série de science-fiction aux prétentions galactiques !!!</p>
Auteur
T. Fejzula,A. NikolavitchReliure
- Broché
SBN 13
9782845653702ISBN 10
2845653700Nombre de pages
48Largeur
0.79Longueur
32Épaisseur
23.01Méthode de livraison

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