3 Vierges, Tome 1 : Dyane

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Référence: B8858

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Caractéristiques techniques

Description

<p>Un vaisseau (l&#8217;Œdipus), deux morts, trois (femmes) vierges. Voilà l&#8217;équation à laquelle se réduit – façon de parler dans des planches BD aussi larges (format 300 x 300 mm) –, le scénario – catastrophe – de ce premier album d&#8217;installation, avec aux commandes, à peine dissimulé par un nom légèrement modifié (Sylaire), le Grand Yslaire de Sambre et du projet XXe ciel. Malgré les tristes rebondissements et les ellipses sidérales, l&#8217;histoire est assez claire : trois femmes de type différent (blanche, asiatique et black) et issues de la fécondation artificielle sont à la recherche en 2069 d&#8217;un vaisseau disparu autour de Jupiter. Leur voyage pouvant durer un grand nombre d&#8217;années, elles reçoivent toutes les nuits un produit, le H.G.L, destiné à retarder le vieillissement de leurs cellules. Leurs deux compagnons décédés suite à un dysfonctionnement de l&#8217;ordinateur central de bord, elles doivent bientôt, tandis que les tensions entre elles s&#8217;exacerbent, faire face à des événements inattendus, telle la grossesse de Dyane, l&#8217;astrophysicienne blanche dont la mission est de consigner la mémoire du vol&#8230; Fidèle au remarquable travail entamé sur XXe ciel, Sylaire amène Jean-Louis Boccar à un travail d&#8217;orfèvre, qui pousse à son paroxysme graphique la fusion du dessin, de la photographie et de la numérisation de l&#8217;image. Servies de manière exemplaire par le jouissif format de la collection &#8220;Carrément BD&#8221; où, par exemple, le Hulet de la série Immondys nage comme un poisson dans l&#8217;eau, les planches de &#8220;Trois Vierges&#8221; sont un pur régal pour l&#8217;œil. Immenses panoramiques, gigantesques cases, travail chromatique à couper le souffle pour tout ce qui concerne les teintes violines et rouges (ces dernières remplaçant avantageusement l&#8217;habituel noir et blanc des souvenirs), le dessinateur s&#8217;en donne à cœur joie. Point d&#8217;orgue qui ne coïncide pas absolument avec le scénario tant il semble que ce huis clos entre les trois femmes astronautes est un brin artificiel. Il est vrai que cette quête du père idéal/sidéral ne fait que commencer et que Sylaire camoufle sans doute plus d&#8217;un tour de son sac à suites fertiles&#8230; &#8212; Frédéric Grolleau Trois femmes de trente ans chacune, une black, capitaine, une blanche, astrophysicienne, une asiatique, médecin, sont dans un vaisseau spatial à la recherche d&#8217;un autre vaisseau nommé Jupiter 4. Celui-ci, parti il y a quelques années, a vraisemblablement disparu aux alentours de Jupiter et de ses trois lunes. Etant donné la longueur du voyage, leur mission pourrait durer plus de 50 ans. Toutes les nuits, elles sont alimentées par leur ordinateur personnel qui contient entre autres un produit retardant le vieillissement des cellules. Dans ce huis clos tendu où les sentiments s&#8217;exacerbent, les filles en arrivent à se détester et à se battre&#8230; La jeune femme blanche est blessée. Mais ses symptômes ne sont pas ceux que l&#8217;on pourrait attendre d&#8217;une commotion cérébrale. Elle vomit, certes, mais son ventre grossit&#8230; Elle est enceinte&#8230; La durée du voyage interdit de penser que la conception ait pu être faite avant le départ, c&#8217;était il y a plus de cinq ans&#8230; Alors, pendant le voyage ? Mais de qui donc ? Qui est le Créateur ?&#8230; A l&#8217;origine, nous étions cinq. Trois femmes et deux hommes à bord d&#8217;un vaisseau spatial qu&#8217;un obscur employé à la communication avait baptisé Œdipus, comme d&#8217;autres avaient nommé Apollo ou Voyager. Nous sommes trois vierges et deux cadavres à la poursuite de Jupiter, voyageant, à l&#8217;aveuglette, comme tous les aventuriers de l&#8217;espace depuis Gagarine&#8230; comme Œdipe. Et aujourd&#8217;hui, 21 avril 2069, nous sommes seules dans l&#8217;univers, livrées à nos ordinateurs&#8230; et à nous-mêmes&#8230; Je pressens que cela finira comme une tragédie grecque.</p>

Reliure

  • Relié

Auteur

Yslaire,Jean-Louis Boccar

État

  • Très bon état

Épaisseur

30

Longueur

30

Largeur

0.99

Nombre de pages

56

ISBN 10

2723439542

SBN 13

9782723439541

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Rue du Grand Péril 108, 7090 Braine-le-Comte, Belgique

Un vaisseau (l’Œdipus), deux morts, trois (femmes) vierges. Voilà l’équation à laquelle se réduit – façon de parler dans des planches BD aussi larges (format 300 x 300 mm) –, le scénario – catastrophe – de ce premier album d’installation, avec aux commandes, à peine dissimulé par un nom légèrement modifié (Sylaire), le Grand Yslaire de Sambre et du projet XXe ciel. Malgré les tristes rebondissements et les ellipses sidérales, l’histoire est assez claire : trois femmes de type différent (blanche, asiatique et black) et issues de la fécondation artificielle sont à la recherche en 2069 d’un vaisseau disparu autour de Jupiter. Leur voyage pouvant durer un grand nombre d’années, elles reçoivent toutes les nuits un produit, le H.G.L, destiné à retarder le vieillissement de leurs cellules. Leurs deux compagnons décédés suite à un dysfonctionnement de l’ordinateur central de bord, elles doivent bientôt, tandis que les tensions entre elles s’exacerbent, faire face à des événements inattendus, telle la grossesse de Dyane, l’astrophysicienne blanche dont la mission est de consigner la mémoire du vol… Fidèle au remarquable travail entamé sur XXe ciel, Sylaire amène Jean-Louis Boccar à un travail d’orfèvre, qui pousse à son paroxysme graphique la fusion du dessin, de la photographie et de la numérisation de l’image. Servies de manière exemplaire par le jouissif format de la collection “Carrément BD” où, par exemple, le Hulet de la série Immondys nage comme un poisson dans l’eau, les planches de “Trois Vierges” sont un pur régal pour l’œil. Immenses panoramiques, gigantesques cases, travail chromatique à couper le souffle pour tout ce qui concerne les teintes violines et rouges (ces dernières remplaçant avantageusement l’habituel noir et blanc des souvenirs), le dessinateur s’en donne à cœur joie. Point d’orgue qui ne coïncide pas absolument avec le scénario tant il semble que ce huis clos entre les trois femmes astronautes est un brin artificiel. Il est vrai que cette quête du père idéal/sidéral ne fait que commencer et que Sylaire camoufle sans doute plus d’un tour de son sac à suites fertiles… — Frédéric Grolleau Trois femmes de trente ans chacune, une black, capitaine, une blanche, astrophysicienne, une asiatique, médecin, sont dans un vaisseau spatial à la recherche d’un autre vaisseau nommé Jupiter 4. Celui-ci, parti il y a quelques années, a vraisemblablement disparu aux alentours de Jupiter et de ses trois lunes. Etant donné la longueur du voyage, leur mission pourrait durer plus de 50 ans. Toutes les nuits, elles sont alimentées par leur ordinateur personnel qui contient entre autres un produit retardant le vieillissement des cellules. Dans ce huis clos tendu où les sentiments s’exacerbent, les filles en arrivent à se détester et à se battre… La jeune femme blanche est blessée. Mais ses symptômes ne sont pas ceux que l’on pourrait attendre d’une commotion cérébrale. Elle vomit, certes, mais son ventre grossit… Elle est enceinte… La durée du voyage interdit de penser que la conception ait pu être faite avant le départ, c’était il y a plus de cinq ans… Alors, pendant le voyage ? Mais de qui donc ? Qui est le Créateur ?… A l’origine, nous étions cinq. Trois femmes et deux hommes à bord d’un vaisseau spatial qu’un obscur employé à la communication avait baptisé Œdipus, comme d’autres avaient nommé Apollo ou Voyager. Nous sommes trois vierges et deux cadavres à la poursuite de Jupiter, voyageant, à l’aveuglette, comme tous les aventuriers de l’espace depuis Gagarine… comme Œdipe. Et aujourd’hui, 21 avril 2069, nous sommes seules dans l’univers, livrées à nos ordinateurs… et à nous-mêmes… Je pressens que cela finira comme une tragédie grecque.

Description

<p>Un vaisseau (l&#8217;Œdipus), deux morts, trois (femmes) vierges. Voilà l&#8217;équation à laquelle se réduit – façon de parler dans des planches BD aussi larges (format 300 x 300 mm) –, le scénario – catastrophe – de ce premier album d&#8217;installation, avec aux commandes, à peine dissimulé par un nom légèrement modifié (Sylaire), le Grand Yslaire de Sambre et du projet XXe ciel. Malgré les tristes rebondissements et les ellipses sidérales, l&#8217;histoire est assez claire : trois femmes de type différent (blanche, asiatique et black) et issues de la fécondation artificielle sont à la recherche en 2069 d&#8217;un vaisseau disparu autour de Jupiter. Leur voyage pouvant durer un grand nombre d&#8217;années, elles reçoivent toutes les nuits un produit, le H.G.L, destiné à retarder le vieillissement de leurs cellules. Leurs deux compagnons décédés suite à un dysfonctionnement de l&#8217;ordinateur central de bord, elles doivent bientôt, tandis que les tensions entre elles s&#8217;exacerbent, faire face à des événements inattendus, telle la grossesse de Dyane, l&#8217;astrophysicienne blanche dont la mission est de consigner la mémoire du vol&#8230; Fidèle au remarquable travail entamé sur XXe ciel, Sylaire amène Jean-Louis Boccar à un travail d&#8217;orfèvre, qui pousse à son paroxysme graphique la fusion du dessin, de la photographie et de la numérisation de l&#8217;image. Servies de manière exemplaire par le jouissif format de la collection &#8220;Carrément BD&#8221; où, par exemple, le Hulet de la série Immondys nage comme un poisson dans l&#8217;eau, les planches de &#8220;Trois Vierges&#8221; sont un pur régal pour l&#8217;œil. Immenses panoramiques, gigantesques cases, travail chromatique à couper le souffle pour tout ce qui concerne les teintes violines et rouges (ces dernières remplaçant avantageusement l&#8217;habituel noir et blanc des souvenirs), le dessinateur s&#8217;en donne à cœur joie. Point d&#8217;orgue qui ne coïncide pas absolument avec le scénario tant il semble que ce huis clos entre les trois femmes astronautes est un brin artificiel. Il est vrai que cette quête du père idéal/sidéral ne fait que commencer et que Sylaire camoufle sans doute plus d&#8217;un tour de son sac à suites fertiles&#8230; &#8212; Frédéric Grolleau Trois femmes de trente ans chacune, une black, capitaine, une blanche, astrophysicienne, une asiatique, médecin, sont dans un vaisseau spatial à la recherche d&#8217;un autre vaisseau nommé Jupiter 4. Celui-ci, parti il y a quelques années, a vraisemblablement disparu aux alentours de Jupiter et de ses trois lunes. Etant donné la longueur du voyage, leur mission pourrait durer plus de 50 ans. Toutes les nuits, elles sont alimentées par leur ordinateur personnel qui contient entre autres un produit retardant le vieillissement des cellules. Dans ce huis clos tendu où les sentiments s&#8217;exacerbent, les filles en arrivent à se détester et à se battre&#8230; La jeune femme blanche est blessée. Mais ses symptômes ne sont pas ceux que l&#8217;on pourrait attendre d&#8217;une commotion cérébrale. Elle vomit, certes, mais son ventre grossit&#8230; Elle est enceinte&#8230; La durée du voyage interdit de penser que la conception ait pu être faite avant le départ, c&#8217;était il y a plus de cinq ans&#8230; Alors, pendant le voyage ? Mais de qui donc ? Qui est le Créateur ?&#8230; A l&#8217;origine, nous étions cinq. Trois femmes et deux hommes à bord d&#8217;un vaisseau spatial qu&#8217;un obscur employé à la communication avait baptisé Œdipus, comme d&#8217;autres avaient nommé Apollo ou Voyager. Nous sommes trois vierges et deux cadavres à la poursuite de Jupiter, voyageant, à l&#8217;aveuglette, comme tous les aventuriers de l&#8217;espace depuis Gagarine&#8230; comme Œdipe. Et aujourd&#8217;hui, 21 avril 2069, nous sommes seules dans l&#8217;univers, livrées à nos ordinateurs&#8230; et à nous-mêmes&#8230; Je pressens que cela finira comme une tragédie grecque.</p>

Reliure

  • Relié

Auteur

Yslaire,Jean-Louis Boccar

État

  • Très bon état

Épaisseur

30

Longueur

30

Largeur

0.99

Nombre de pages

56

ISBN 10

2723439542

SBN 13

9782723439541

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