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Le Seigneur Communauté de l'anneau [Édition Prestige]
Référence: D1748
Livr'Ensemble
Le Seigneur Communauté de l'anneau [Édition Prestige] DVD & Blu-Ray
- Braine-le-Comte
- 2,50 €2,50 €
Caractéristiques techniques
Description
<p>Il y a plus de 7000 ans, sur les terres paisibles de la Comté, le jeune Hobbit Frodon Sacquet (Elijah Wood) reçoit de son oncle Bilbon (Ian Holm) un étrange anneau. Mais alors que Sauron, le Seigneur des Ténèbres, est sur le point de renaître et de faire basculer le monde dans le chaos, Gandalf le magicien (Ian McKellen) révèle à Frodon l’origine de l’anneau, ultime instrument du mal qui permettrait à Sauron d’obtenir le pouvoir absolu. Accompagné de quelques amis fidèles, Frodon quitte son village pour mettre l’anneau en sécurité. Hélas, les serviteurs de Sauron sont déjà à ses trousses… Le tournage de la trilogie du Seigneur des Anneaux s’est révélé une entreprise sans précédent dans l’histoire du cinéma. En effet, sous la houlette du réalisateur néo-zélandais Peter Jackson, bien connu des adeptes du cinéma d’horreur, les trois films ont été mis en chantier les uns à la suite des autres, nécessitant deux ans de travail non-stop pour l’équipe et les comédiens. Le premier épisode, La communauté de l’anneau, est paru en France à Noël 2001. Les deux autres (Les deux tours et Le retour du roi) sortiront en salles respectivement à Noël 2002 et 2003. D’une fidélité exemplaire à l’ouvre de Tolkien, ce premier volet tient véritablement du prodige. La mise en scène épique et spectaculaire le consacre film d’aventures par excellence et la distribution y est diaboliquement parfaite. Tandis que les fans de Tolkien y ont vu le reflet de leurs rêves, les non-affranchis ont pu entrer de plein fouet dans l’univers d’un génie. Peter Jackson a réussi l’impossible. Grandiose. Magnifique. Captivant. Magique. Les mots manquent pour qualifier cette brillante adaptation cinématographique d’un des plus grands romans d’héroïc fantasy. Le Seigneur des Anneaux est un film fleuve racontant l’épopée d’un jeune hobbit détenant un anneau aux pouvoirs très puissants, convoité par Sauron, seigneur des ténèbres qui se verrait bien dominer le monde grâce à celui-ci. Cette lutte entre le bien et le mal est illustrée avec maestria par Peter Jackson, fan du roman de J.R.R. Tolkien depuis toujours. La force des émotions partagées par des personnages attachants, courageux et valeureux, et l’horreur dégagée par les ennemis destructeurs s’allient à des décors et effets spéciaux impressionnants et jamais vus au cinéma. Une telle richesse d’images demande plusieurs visions pour découvrir tous les aspects du monde enchanté de Peter Jackson. Aventure, guerre, suspense, fantastique, amour, humour. Tout est là pour faire du Seigneur des Anneaux un très grand moment de cinéma. –Marc Maesen</p>
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Il y a plus de 7000 ans, sur les terres paisibles de la Comté, le jeune Hobbit Frodon Sacquet (Elijah Wood) reçoit de son oncle Bilbon (Ian Holm) un étrange anneau. Mais alors que Sauron, le Seigneur des Ténèbres, est sur le point de renaître et de faire basculer le monde dans le chaos, Gandalf le magicien (Ian McKellen) révèle à Frodon l’origine de l’anneau, ultime instrument du mal qui permettrait à Sauron d’obtenir le pouvoir absolu. Accompagné de quelques amis fidèles, Frodon quitte son village pour mettre l’anneau en sécurité. Hélas, les serviteurs de Sauron sont déjà à ses trousses… Le tournage de la trilogie du Seigneur des Anneaux s’est révélé une entreprise sans précédent dans l’histoire du cinéma. En effet, sous la houlette du réalisateur néo-zélandais Peter Jackson, bien connu des adeptes du cinéma d’horreur, les trois films ont été mis en chantier les uns à la suite des autres, nécessitant deux ans de travail non-stop pour l’équipe et les comédiens. Le premier épisode, La communauté de l’anneau, est paru en France à Noël 2001. Les deux autres (Les deux tours et Le retour du roi) sortiront en salles respectivement à Noël 2002 et 2003. D’une fidélité exemplaire à l’ouvre de Tolkien, ce premier volet tient véritablement du prodige. La mise en scène épique et spectaculaire le consacre film d’aventures par excellence et la distribution y est diaboliquement parfaite. Tandis que les fans de Tolkien y ont vu le reflet de leurs rêves, les non-affranchis ont pu entrer de plein fouet dans l’univers d’un génie. Peter Jackson a réussi l’impossible. Grandiose. Magnifique. Captivant. Magique. Les mots manquent pour qualifier cette brillante adaptation cinématographique d’un des plus grands romans d’héroïc fantasy. Le Seigneur des Anneaux est un film fleuve racontant l’épopée d’un jeune hobbit détenant un anneau aux pouvoirs très puissants, convoité par Sauron, seigneur des ténèbres qui se verrait bien dominer le monde grâce à celui-ci. Cette lutte entre le bien et le mal est illustrée avec maestria par Peter Jackson, fan du roman de J.R.R. Tolkien depuis toujours. La force des émotions partagées par des personnages attachants, courageux et valeureux, et l’horreur dégagée par les ennemis destructeurs s’allient à des décors et effets spéciaux impressionnants et jamais vus au cinéma. Une telle richesse d’images demande plusieurs visions pour découvrir tous les aspects du monde enchanté de Peter Jackson. Aventure, guerre, suspense, fantastique, amour, humour. Tout est là pour faire du Seigneur des Anneaux un très grand moment de cinéma. –Marc Maesen
Description
<p>Il y a plus de 7000 ans, sur les terres paisibles de la Comté, le jeune Hobbit Frodon Sacquet (Elijah Wood) reçoit de son oncle Bilbon (Ian Holm) un étrange anneau. Mais alors que Sauron, le Seigneur des Ténèbres, est sur le point de renaître et de faire basculer le monde dans le chaos, Gandalf le magicien (Ian McKellen) révèle à Frodon l’origine de l’anneau, ultime instrument du mal qui permettrait à Sauron d’obtenir le pouvoir absolu. Accompagné de quelques amis fidèles, Frodon quitte son village pour mettre l’anneau en sécurité. Hélas, les serviteurs de Sauron sont déjà à ses trousses… Le tournage de la trilogie du Seigneur des Anneaux s’est révélé une entreprise sans précédent dans l’histoire du cinéma. En effet, sous la houlette du réalisateur néo-zélandais Peter Jackson, bien connu des adeptes du cinéma d’horreur, les trois films ont été mis en chantier les uns à la suite des autres, nécessitant deux ans de travail non-stop pour l’équipe et les comédiens. Le premier épisode, La communauté de l’anneau, est paru en France à Noël 2001. Les deux autres (Les deux tours et Le retour du roi) sortiront en salles respectivement à Noël 2002 et 2003. D’une fidélité exemplaire à l’ouvre de Tolkien, ce premier volet tient véritablement du prodige. La mise en scène épique et spectaculaire le consacre film d’aventures par excellence et la distribution y est diaboliquement parfaite. Tandis que les fans de Tolkien y ont vu le reflet de leurs rêves, les non-affranchis ont pu entrer de plein fouet dans l’univers d’un génie. Peter Jackson a réussi l’impossible. Grandiose. Magnifique. Captivant. Magique. Les mots manquent pour qualifier cette brillante adaptation cinématographique d’un des plus grands romans d’héroïc fantasy. Le Seigneur des Anneaux est un film fleuve racontant l’épopée d’un jeune hobbit détenant un anneau aux pouvoirs très puissants, convoité par Sauron, seigneur des ténèbres qui se verrait bien dominer le monde grâce à celui-ci. Cette lutte entre le bien et le mal est illustrée avec maestria par Peter Jackson, fan du roman de J.R.R. Tolkien depuis toujours. La force des émotions partagées par des personnages attachants, courageux et valeureux, et l’horreur dégagée par les ennemis destructeurs s’allient à des décors et effets spéciaux impressionnants et jamais vus au cinéma. Une telle richesse d’images demande plusieurs visions pour découvrir tous les aspects du monde enchanté de Peter Jackson. Aventure, guerre, suspense, fantastique, amour, humour. Tout est là pour faire du Seigneur des Anneaux un très grand moment de cinéma. –Marc Maesen</p>
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