Arrête-Moi si tu Peux [Édition Simple]

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<p>Au début des années 60… Frank Abagnale Jr. (Leonardo DiCaprio) a 16 ans lors du divorce de ses parents (Nathalie Baye et Christopher Walken). Anéanti, l’adolescent s’enfuit à New York et décide de survivre par ses propres moyens. Doté d’une intelligence exceptionnelle et ayant hérité de son père dont il admire tant la capacité de se sortir de n’importe quelle situation par la séduction et la comédie, Frank va s’inventer de nouvelles identités et devenir un expert en fabrication de chèques frauduleux. Tout cela n’est pas du goût du FBI, qui lance à ses trousses l’agent Carl Hanratty (Tom Hanks, prodigieux !), un bureaucrate solitaire, aussi besogneux qu’obstiné… Attention ! Sous des atours de divertissement léger, Arrête-moi si tu peux offre la mise en scène la plus brillante que l’on ait vue depuis longtemps au cinéma. Le projet doit son existence à Leonardo DiCaprio, qui désirait ardemment incarner cet escroc fascinant, après avoir découvert le livre dans lequel Frank Abagnale Jr. raconte ses exploits de jeunesse (en cinq ans, le jeune homme était parvenu à se faire passer successivement pour un pilote de ligne, un médecin, un avocat, puis un professeur en sociologie et a fabriqué durant cette période pour 2,5 millions de dollars de chèques frauduleux). Puis, ce fut au tour de Steven Spielberg, amené sur le projet par le jeune acteur, de s’enthousiasmer pour cette histoire d’imposture (n’est-ce pas le propre du cinéma ?), le parcours de Frank Abagnale Jr. n’étant pas sans similitude avec celui du réalisateur, lui-même très marqué par le divorce de ses parents. Les extraordinaires tribulations du héros, la course-poursuite trépidante, les glamoureuses années soixante, sont filmées en virtuose par le cinéaste, qui ne laisse jamais retomber le rythme de ce ballet grisant, équilibre parfait entre les moments de pure extase et les séquences plus graves. Il faut absolument redécouvrir cette comédie intelligente, émouvante et extrêmement divertissante ! On aimerait ne pas pouvoir l&#8217;attraper, Léo, tant la vision de cette course-poursuite dans les golden 60&#8217;s procure de plaisir ! Une histoire en or que ce destin véridique de Franck Abagnale, qui dans les années 60, de sa 15e à sa 20e année, parvient à se faire passer pour pilote de ligne à la PanAm, médecin ou avocat, tout en détournant des millions de dollars ! Un personnage fascinant, que le scénario de Jeff Nathanson restitue sous toutes ses facettes, même les moins sympathiques. Et que Steven Spielberg s&#8217;est amusé à filmer avec beaucoup de grâce et de légèreté. Brio de la reconstitution, superbe générique d&#8217;introduction, rocambolesque des situations, du buble-gum jazzy ! Alors, certes, la patte de Spielberg se fait parfois un peu plus lourde, surtout lorsqu&#8217;elle s&#8217;attaque à son obsession majeure : la famille. Mais derrière la guimauve qui inonde certaines scènes, sourd une nostalgie, une tristesse liée à l&#8217;impossibilité de retrouver ce bonheur familial perdu. Une évolution notable dans l&#8217;œuvre du réalisateur, palpable depuis AI et Minority Report. Qui permet à Leonardo Di Caprio de livrer une interprétation magistrale, à la fois solaire et ténébreuse, entre le Holden de L&#8217;Attrape-Cœurs de Salinger et le Gatsby de Fitzgerald. Deux scènes fortes en témoignent : la première rencontre Tom Hanks-Di Caprio, hilarante ; le déjeuner entre Franck et son père, très émouvant. Deux rencontres placées sous le signe du père, l&#8217;un de substitution, l&#8217;autre bien réel mais étranger à sa famille… Car c&#8217;est bien du côté de la relation paternelle que se situe le cœur de cette œuvre alerte et profonde, notamment dans cette admiration et dans cette déception mêlées entre Leo et son père Christopher Walken, bouleversant. &#8211;Sylvain Lefort Particulièrement inspiré, Steven Spielberg portait à l’écran en 2002 l’histoire vraie de l’imposteur et escroc surdoué Frank Abagnale Jr. Interprétée avec brio par Leonardo DiCaprio et Tom Hanks, cette comédie brillante et divertissante est à découvrir d’urgence en édition simple ou collector double-DVD, bonus instructifs à la clé.</p>

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Au début des années 60… Frank Abagnale Jr. (Leonardo DiCaprio) a 16 ans lors du divorce de ses parents (Nathalie Baye et Christopher Walken). Anéanti, l’adolescent s’enfuit à New York et décide de survivre par ses propres moyens. Doté d’une intelligence exceptionnelle et ayant hérité de son père dont il admire tant la capacité de se sortir de n’importe quelle situation par la séduction et la comédie, Frank va s’inventer de nouvelles identités et devenir un expert en fabrication de chèques frauduleux. Tout cela n’est pas du goût du FBI, qui lance à ses trousses l’agent Carl Hanratty (Tom Hanks, prodigieux !), un bureaucrate solitaire, aussi besogneux qu’obstiné… Attention ! Sous des atours de divertissement léger, Arrête-moi si tu peux offre la mise en scène la plus brillante que l’on ait vue depuis longtemps au cinéma. Le projet doit son existence à Leonardo DiCaprio, qui désirait ardemment incarner cet escroc fascinant, après avoir découvert le livre dans lequel Frank Abagnale Jr. raconte ses exploits de jeunesse (en cinq ans, le jeune homme était parvenu à se faire passer successivement pour un pilote de ligne, un médecin, un avocat, puis un professeur en sociologie et a fabriqué durant cette période pour 2,5 millions de dollars de chèques frauduleux). Puis, ce fut au tour de Steven Spielberg, amené sur le projet par le jeune acteur, de s’enthousiasmer pour cette histoire d’imposture (n’est-ce pas le propre du cinéma ?), le parcours de Frank Abagnale Jr. n’étant pas sans similitude avec celui du réalisateur, lui-même très marqué par le divorce de ses parents. Les extraordinaires tribulations du héros, la course-poursuite trépidante, les glamoureuses années soixante, sont filmées en virtuose par le cinéaste, qui ne laisse jamais retomber le rythme de ce ballet grisant, équilibre parfait entre les moments de pure extase et les séquences plus graves. Il faut absolument redécouvrir cette comédie intelligente, émouvante et extrêmement divertissante ! On aimerait ne pas pouvoir l’attraper, Léo, tant la vision de cette course-poursuite dans les golden 60’s procure de plaisir ! Une histoire en or que ce destin véridique de Franck Abagnale, qui dans les années 60, de sa 15e à sa 20e année, parvient à se faire passer pour pilote de ligne à la PanAm, médecin ou avocat, tout en détournant des millions de dollars ! Un personnage fascinant, que le scénario de Jeff Nathanson restitue sous toutes ses facettes, même les moins sympathiques. Et que Steven Spielberg s’est amusé à filmer avec beaucoup de grâce et de légèreté. Brio de la reconstitution, superbe générique d’introduction, rocambolesque des situations, du buble-gum jazzy ! Alors, certes, la patte de Spielberg se fait parfois un peu plus lourde, surtout lorsqu’elle s’attaque à son obsession majeure : la famille. Mais derrière la guimauve qui inonde certaines scènes, sourd une nostalgie, une tristesse liée à l’impossibilité de retrouver ce bonheur familial perdu. Une évolution notable dans l’œuvre du réalisateur, palpable depuis AI et Minority Report. Qui permet à Leonardo Di Caprio de livrer une interprétation magistrale, à la fois solaire et ténébreuse, entre le Holden de L’Attrape-Cœurs de Salinger et le Gatsby de Fitzgerald. Deux scènes fortes en témoignent : la première rencontre Tom Hanks-Di Caprio, hilarante ; le déjeuner entre Franck et son père, très émouvant. Deux rencontres placées sous le signe du père, l’un de substitution, l’autre bien réel mais étranger à sa famille… Car c’est bien du côté de la relation paternelle que se situe le cœur de cette œuvre alerte et profonde, notamment dans cette admiration et dans cette déception mêlées entre Leo et son père Christopher Walken, bouleversant. –Sylvain Lefort Particulièrement inspiré, Steven Spielberg portait à l’écran en 2002 l’histoire vraie de l’imposteur et escroc surdoué Frank Abagnale Jr. Interprétée avec brio par Leonardo DiCaprio et Tom Hanks, cette comédie brillante et divertissante est à découvrir d’urgence en édition simple ou collector double-DVD, bonus instructifs à la clé.

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<p>Au début des années 60… Frank Abagnale Jr. (Leonardo DiCaprio) a 16 ans lors du divorce de ses parents (Nathalie Baye et Christopher Walken). Anéanti, l’adolescent s’enfuit à New York et décide de survivre par ses propres moyens. Doté d’une intelligence exceptionnelle et ayant hérité de son père dont il admire tant la capacité de se sortir de n’importe quelle situation par la séduction et la comédie, Frank va s’inventer de nouvelles identités et devenir un expert en fabrication de chèques frauduleux. Tout cela n’est pas du goût du FBI, qui lance à ses trousses l’agent Carl Hanratty (Tom Hanks, prodigieux !), un bureaucrate solitaire, aussi besogneux qu’obstiné… Attention ! Sous des atours de divertissement léger, Arrête-moi si tu peux offre la mise en scène la plus brillante que l’on ait vue depuis longtemps au cinéma. Le projet doit son existence à Leonardo DiCaprio, qui désirait ardemment incarner cet escroc fascinant, après avoir découvert le livre dans lequel Frank Abagnale Jr. raconte ses exploits de jeunesse (en cinq ans, le jeune homme était parvenu à se faire passer successivement pour un pilote de ligne, un médecin, un avocat, puis un professeur en sociologie et a fabriqué durant cette période pour 2,5 millions de dollars de chèques frauduleux). Puis, ce fut au tour de Steven Spielberg, amené sur le projet par le jeune acteur, de s’enthousiasmer pour cette histoire d’imposture (n’est-ce pas le propre du cinéma ?), le parcours de Frank Abagnale Jr. n’étant pas sans similitude avec celui du réalisateur, lui-même très marqué par le divorce de ses parents. Les extraordinaires tribulations du héros, la course-poursuite trépidante, les glamoureuses années soixante, sont filmées en virtuose par le cinéaste, qui ne laisse jamais retomber le rythme de ce ballet grisant, équilibre parfait entre les moments de pure extase et les séquences plus graves. Il faut absolument redécouvrir cette comédie intelligente, émouvante et extrêmement divertissante ! On aimerait ne pas pouvoir l&#8217;attraper, Léo, tant la vision de cette course-poursuite dans les golden 60&#8217;s procure de plaisir ! Une histoire en or que ce destin véridique de Franck Abagnale, qui dans les années 60, de sa 15e à sa 20e année, parvient à se faire passer pour pilote de ligne à la PanAm, médecin ou avocat, tout en détournant des millions de dollars ! Un personnage fascinant, que le scénario de Jeff Nathanson restitue sous toutes ses facettes, même les moins sympathiques. Et que Steven Spielberg s&#8217;est amusé à filmer avec beaucoup de grâce et de légèreté. Brio de la reconstitution, superbe générique d&#8217;introduction, rocambolesque des situations, du buble-gum jazzy ! Alors, certes, la patte de Spielberg se fait parfois un peu plus lourde, surtout lorsqu&#8217;elle s&#8217;attaque à son obsession majeure : la famille. Mais derrière la guimauve qui inonde certaines scènes, sourd une nostalgie, une tristesse liée à l&#8217;impossibilité de retrouver ce bonheur familial perdu. Une évolution notable dans l&#8217;œuvre du réalisateur, palpable depuis AI et Minority Report. Qui permet à Leonardo Di Caprio de livrer une interprétation magistrale, à la fois solaire et ténébreuse, entre le Holden de L&#8217;Attrape-Cœurs de Salinger et le Gatsby de Fitzgerald. Deux scènes fortes en témoignent : la première rencontre Tom Hanks-Di Caprio, hilarante ; le déjeuner entre Franck et son père, très émouvant. Deux rencontres placées sous le signe du père, l&#8217;un de substitution, l&#8217;autre bien réel mais étranger à sa famille… Car c&#8217;est bien du côté de la relation paternelle que se situe le cœur de cette œuvre alerte et profonde, notamment dans cette admiration et dans cette déception mêlées entre Leo et son père Christopher Walken, bouleversant. &#8211;Sylvain Lefort Particulièrement inspiré, Steven Spielberg portait à l’écran en 2002 l’histoire vraie de l’imposteur et escroc surdoué Frank Abagnale Jr. Interprétée avec brio par Leonardo DiCaprio et Tom Hanks, cette comédie brillante et divertissante est à découvrir d’urgence en édition simple ou collector double-DVD, bonus instructifs à la clé.</p>

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