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En 231 avant J-C, alors que la Chine est encore divisée en sept royaumes… Un mystérieux homme sans nom (Jet Li) se présente au palais du tyrannique roi de Qin, prétendant avoir tué les trois redoutables assassins qui avaient fait le vœu de l’éliminer. Le roi demande à entendre le récit de son histoire… Moins palpitant, mais plus esthétisant et contemplatif que “Tigre et Dragon”, auquel on l’a souvent comparé, “Hero” repousse les limites du wu xia pan (film de sabre chinois) tout en y glissant des clins d’œil au genre. Son auteur, Zhang Yimou, était jusqu’à présent plus connu pour ses films intimistes (“Épouses et concubines”, “Vivre”). En réalisant en 2003 cette épopée spectaculaire, somptueux film d’arts martiaux, il concrétisait un rêve d’enfance et signait l’une des plus grosses productions de l’histoire du cinéma chinois. Inspirée d’une légende ancestrale (celle-là même que Chen Kaige avait évoquée dans “L’Empereur et l’Assassin”), cette fresque en plusieurs tableaux a bénéficié d’une combinaison de talents exceptionnels : le fleuron des acteurs asiatiques, le chef-opérateur Christopher Doyle (“In The Mood For Love”), le compositeur Tan Dun (“Tigre et dragon”), etc. Véritable vision d’un cinéaste, “Hero” est également très marqué par l’influence du cinéma japonais et en particulier celui d’Akira Kurosawa. Deux ans après que l’expatrié Ang Lee a réalisé Tigre et Dragon avec le succès que l’on sait, Zhang Yimou s’impose sur le même terrain en 2002 avec un Hero peut-être encore plus superbe visuellement. Les deux films sont d’ailleurs très proches l’un de l’autre, que ce soit dans l’esprit ou le scénario, même si l’un narre les tentatives d’assassinat de l’empereur (elles réservent des surprises), quand l’autre tisse des correspondances entre arts martiaux et calligraphie. L’actrice Zhang Ziyi sert également de trait d’union entre les deux films. On retrouve également au générique la superstar du genre, Jet Li, et Tony Leung, remarqué dans In The Mood For Love. La chorégraphie des combats, la qualité de la photographie, le flamboiement des couleurs (le combat au milieu des feuilles automnales est saisissant) forcent l’admiration au point que certains plans demeurent inoubliables. – Hervé Comte Héros [FRANÇAIS]
Description
<p>En 231 avant J-C, alors que la Chine est encore divisée en sept royaumes… Un mystérieux homme sans nom (Jet Li) se présente au palais du tyrannique roi de Qin, prétendant avoir tué les trois redoutables assassins qui avaient fait le vœu de l’éliminer. Le roi demande à entendre le récit de son histoire… Moins palpitant, mais plus esthétisant et contemplatif que “Tigre et Dragon”, auquel on l’a souvent comparé, “Hero” repousse les limites du wu xia pan (film de sabre chinois) tout en y glissant des clins d’œil au genre. Son auteur, Zhang Yimou, était jusqu’à présent plus connu pour ses films intimistes (“Épouses et concubines”, “Vivre”). En réalisant en 2003 cette épopée spectaculaire, somptueux film d’arts martiaux, il concrétisait un rêve d’enfance et signait l’une des plus grosses productions de l’histoire du cinéma chinois. Inspirée d’une légende ancestrale (celle-là même que Chen Kaige avait évoquée dans “L’Empereur et l’Assassin”), cette fresque en plusieurs tableaux a bénéficié d’une combinaison de talents exceptionnels : le fleuron des acteurs asiatiques, le chef-opérateur Christopher Doyle (“In The Mood For Love”), le compositeur Tan Dun (“Tigre et dragon”), etc. Véritable vision d’un cinéaste, “Hero” est également très marqué par l’influence du cinéma japonais et en particulier celui d’Akira Kurosawa. Deux ans après que l’expatrié Ang Lee a réalisé Tigre et Dragon avec le succès que l’on sait, Zhang Yimou s’impose sur le même terrain en 2002 avec un Hero peut-être encore plus superbe visuellement. Les deux films sont d’ailleurs très proches l’un de l’autre, que ce soit dans l’esprit ou le scénario, même si l’un narre les tentatives d’assassinat de l’empereur (elles réservent des surprises), quand l’autre tisse des correspondances entre arts martiaux et calligraphie. L’actrice Zhang Ziyi sert également de trait d’union entre les deux films. On retrouve également au générique la superstar du genre, Jet Li, et Tony Leung, remarqué dans In The Mood For Love. La chorégraphie des combats, la qualité de la photographie, le flamboiement des couleurs (le combat au milieu des feuilles automnales est saisissant) forcent l’admiration au point que certains plans demeurent inoubliables. – Hervé Comte Héros [FRANÇAIS]</p>
Auteur
Yi-Mou Zhang,Jet Li,Tony Leung Chiu WaiSBN 13
5414474400689Largeur
13.49Longueur
19.3Épaisseur
1.5Méthode de livraison

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