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(EO – livret de 4 pages “Canardo et les femmes”. inclus)
Canardo a été engagé par l’agence Intemporal Research pour tester une nouvelle machine à remonter le temps. Pour la faire fonctionner, il faut se procurer un objet datant de l’époque à laquelle on veut se rendre. Drame et inquiétude dans la famille Reverchon-Molard : Maurice Molard est mourant et depuis des années, il parle d’un magot (des lingots d’or ! ) qu’il aurait volé aux allemands à la fin de la guerre et soigneusement planqué… mais voilà, le vieux n’a jamais révélé où son butin était caché. Sa fille et son gendre (sous le regard indifférent de leur progéniture) ne savent plus quoi faire pour retrouver le trésor, après avoir fouillé la maison et le jardin de l’aïeul de fond en combles et alors que le grand-père est pratiquement dans le coma. Ils décident enfin de faire appel à un détective privé… C’est là que Canardo et la machine à remonter le temps font leur entrée : le détective se rend auprès de Maurice Molard, en 1944, pour essayer de le faire parler. Où l’on retrouve Canardo, aussi mal embouché, mal rasé, malpoli, mal fringué que d’habitude. Son voyage dans le temps ne fera que rajouter à l’absurde dont il est coutumier. Une nouvelle occasion que se donne Sokal de faire une critique décapante de l’être humain, rarement 100% honnête et toujours âpre au gain… Pauvre inspecteur Canardo… Lui qui était déjà du genre désabusé, cette nouvelle enquête ne va pas lui donner une meilleure opinion de ses semblables. Les Reverchon-Molard lui confient une mission guère ragoûtante : interroger le père de madame afin qu’il crache le secret de la planque de son magot. Il y a urgence : le pauvre vieux arrive en fin de parcours et risque surtout de cracher ses poumons. D’ailleurs, il pousse son dernier soupir juste au moment où Canardo pousse la porte de sa chambre. “Y’a papy qu’est game over”, résume alors le palmipède. Bref, l’enquête commence mal. Mais notre détective, jamais à court de ressources, se souvient qu’on lui a prêté une machine à voyager dans le passé. Et voilà Canardo sur les traces du papy, dans la France occupée des années quarante. Il va vite constater que son passé légendaire de résistant résiste mal, justement, à la réalité des faits… Onzième volume des aventures tellement humaines du canard à cigare et à la mine de cocker fiévreux. –Philippe Actère L’inspecteur Canardo est de retour… Le regard las, l’imper défraîchi et la bouteille à portée de lèvres. Toujours aussi désabusé face au spectacle de ses semblables. Franchement, à fréquenter les drôles de loustics qui peuplent ses aventures, on se dit qu’il y a de quoi… Cette fois, Canardo doit convaincre un mourant de dire où il a caché son magot. Évidemment, le type passe l’arme à gauche avant d’avoir craché le morceau. Mais Canardo possède une arme secrète : une machine à remonter le temps… Le regard de Buster Keaton et l’ingéniosité de Columbo : pas de doute, c’est Canardo… Une série animalière idéale pour tout comprendre des humains et de leurs petites bassesses.
Description
<p>(EO – livret de 4 pages “Canardo et les femmes”. inclus)</p>
<p>Canardo a été engagé par l’agence Intemporal Research pour tester une nouvelle machine à remonter le temps. Pour la faire fonctionner, il faut se procurer un objet datant de l’époque à laquelle on veut se rendre. Drame et inquiétude dans la famille Reverchon-Molard : Maurice Molard est mourant et depuis des années, il parle d’un magot (des lingots d’or ! ) qu’il aurait volé aux allemands à la fin de la guerre et soigneusement planqué… mais voilà, le vieux n’a jamais révélé où son butin était caché. Sa fille et son gendre (sous le regard indifférent de leur progéniture) ne savent plus quoi faire pour retrouver le trésor, après avoir fouillé la maison et le jardin de l’aïeul de fond en combles et alors que le grand-père est pratiquement dans le coma. Ils décident enfin de faire appel à un détective privé… C’est là que Canardo et la machine à remonter le temps font leur entrée : le détective se rend auprès de Maurice Molard, en 1944, pour essayer de le faire parler. Où l’on retrouve Canardo, aussi mal embouché, mal rasé, malpoli, mal fringué que d’habitude. Son voyage dans le temps ne fera que rajouter à l’absurde dont il est coutumier. Une nouvelle occasion que se donne Sokal de faire une critique décapante de l’être humain, rarement 100% honnête et toujours âpre au gain… Pauvre inspecteur Canardo… Lui qui était déjà du genre désabusé, cette nouvelle enquête ne va pas lui donner une meilleure opinion de ses semblables. Les Reverchon-Molard lui confient une mission guère ragoûtante : interroger le père de madame afin qu’il crache le secret de la planque de son magot. Il y a urgence : le pauvre vieux arrive en fin de parcours et risque surtout de cracher ses poumons. D’ailleurs, il pousse son dernier soupir juste au moment où Canardo pousse la porte de sa chambre. “Y’a papy qu’est game over”, résume alors le palmipède. Bref, l’enquête commence mal. Mais notre détective, jamais à court de ressources, se souvient qu’on lui a prêté une machine à voyager dans le passé. Et voilà Canardo sur les traces du papy, dans la France occupée des années quarante. Il va vite constater que son passé légendaire de résistant résiste mal, justement, à la réalité des faits… Onzième volume des aventures tellement humaines du canard à cigare et à la mine de cocker fiévreux. –Philippe Actère L’inspecteur Canardo est de retour… Le regard las, l’imper défraîchi et la bouteille à portée de lèvres. Toujours aussi désabusé face au spectacle de ses semblables. Franchement, à fréquenter les drôles de loustics qui peuplent ses aventures, on se dit qu’il y a de quoi… Cette fois, Canardo doit convaincre un mourant de dire où il a caché son magot. Évidemment, le type passe l’arme à gauche avant d’avoir craché le morceau. Mais Canardo possède une arme secrète : une machine à remonter le temps… Le regard de Buster Keaton et l’ingéniosité de Columbo : pas de doute, c’est Canardo… Une série animalière idéale pour tout comprendre des humains et de leurs petites bassesses.</p>
Reliure
- Relié
Auteur
SokalÉtat
- Très bon état
Épaisseur
30.3Longueur
22.5Largeur
0.79Nombre de pages
48ISBN 10
2203335513SBN 13
9782203335516Méthode de livraison
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