![L'Espion Qui m'aimait [Édition Spéciale]](https://kreezalid.s3.eu-central-1.amazonaws.com/563898/assets/8100/81/image-89c94b9278ae83431e4895be2c640db3.jpg)
L'Espion Qui m'aimait [Édition Spéciale]
Référence: D1398
Livr'EnsembleCaractéristiques techniques
Description
<p>Epaulé par l’agent soviétique Anya Amasova (Barbara Bach), James Bond (Roger moore) doit contrer les plans machiavéliques de Karl Stromberg (Curt Jurgens) qui tente de récupérer des sous-marins nucléaires afin de déclencher la troisième guerre mondiale. Malgré une intrigue bien légère, le dixième volet de la série marquait la victoire éclatante du producteur Albert R. Broccoli, resté seul maître à bord depuis le départ de Harry Saltzman. Réalisé par Lewis Gilbert, auteur du mythique “On ne vit que deux fois”, cet épisode s’avère être encore aujourd’hui l’un des préférés du public. Toujours adaptée de l’ouvre d’Ian Fleming, l’aventure est parue sur les écrans en 1977, année de l’avènement de “La Guerre des étoiles”. Comme le western intergalactique de George Lucas, “L’Espion qui m’aimait” fait la part belle aux effets spéciaux. Le film transporte le spectateur de Sardaigne en Ecosse via l’Egypte et les Bahamas, et dévoile des décors impressionnants réalisés par Ken Adams. Richard Kiel, le géant à la mâchoire d’acier est de cette partie de plaisir, ainsi que la ravissante Barbara Bach (Madame Ringo Starr) dans sa plus belle apparition à l’écran. Cerise sur le gâteau, “Nobody Does It Better”, la chanson du générique interprétée par Carly Simon et devenue depuis un standard, compte parmi ses plus réussies. L’espion qui m’aimait est le premier film de la série 007 tourné à partir d’un scénario original et non d’un roman de Ian Fleming. Le résultat est plus que réussi ! La Russie soviétique et l’Angleterre ont perdu chacune un sous-marin nucléaire. Les Britanniques dépêchent leur célèbre agent James Bond… Prétexte pour nous inviter à évoluer dans de splendides décors (récompensés par un oscar), magnifiquement mis en valeur par une image en format Cinémascope aux couleurs éclatantes et à la définition irréprochable. Le son VF est en mono d’origine, malheureusement pour les scènes d’action, moins impressionnantes qu’avec la VO en Dolby digital 5.1. Comme sur chaque DVD 007, une multitude de bonus, qui nous livrent les secrets d’une incroyable réussite : coulisses du film (VO/ST 40’40), gros plan sur le chef décorateur (VO/ST 21’41), commentaire audio (VO), 3 bandes-annonces (VO/ST), 6 pubs télé (VO/ST), 12 pubs radio (VO/ST), galerie de 80 photos et affiches réparties en 9 thèmes. Du très “Bond” boulot ! –Laurence Hagege Pour la troisième fois, Roger Moore endossait en 1977 le costume de l’agent 007 dans une des aventures les plus spectaculaires et réussies de la série, qui mettait en scène l’inoubliable femme major russe campée par Barbara Bach.</p>
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Epaulé par l’agent soviétique Anya Amasova (Barbara Bach), James Bond (Roger moore) doit contrer les plans machiavéliques de Karl Stromberg (Curt Jurgens) qui tente de récupérer des sous-marins nucléaires afin de déclencher la troisième guerre mondiale. Malgré une intrigue bien légère, le dixième volet de la série marquait la victoire éclatante du producteur Albert R. Broccoli, resté seul maître à bord depuis le départ de Harry Saltzman. Réalisé par Lewis Gilbert, auteur du mythique “On ne vit que deux fois”, cet épisode s’avère être encore aujourd’hui l’un des préférés du public. Toujours adaptée de l’ouvre d’Ian Fleming, l’aventure est parue sur les écrans en 1977, année de l’avènement de “La Guerre des étoiles”. Comme le western intergalactique de George Lucas, “L’Espion qui m’aimait” fait la part belle aux effets spéciaux. Le film transporte le spectateur de Sardaigne en Ecosse via l’Egypte et les Bahamas, et dévoile des décors impressionnants réalisés par Ken Adams. Richard Kiel, le géant à la mâchoire d’acier est de cette partie de plaisir, ainsi que la ravissante Barbara Bach (Madame Ringo Starr) dans sa plus belle apparition à l’écran. Cerise sur le gâteau, “Nobody Does It Better”, la chanson du générique interprétée par Carly Simon et devenue depuis un standard, compte parmi ses plus réussies. L’espion qui m’aimait est le premier film de la série 007 tourné à partir d’un scénario original et non d’un roman de Ian Fleming. Le résultat est plus que réussi ! La Russie soviétique et l’Angleterre ont perdu chacune un sous-marin nucléaire. Les Britanniques dépêchent leur célèbre agent James Bond… Prétexte pour nous inviter à évoluer dans de splendides décors (récompensés par un oscar), magnifiquement mis en valeur par une image en format Cinémascope aux couleurs éclatantes et à la définition irréprochable. Le son VF est en mono d’origine, malheureusement pour les scènes d’action, moins impressionnantes qu’avec la VO en Dolby digital 5.1. Comme sur chaque DVD 007, une multitude de bonus, qui nous livrent les secrets d’une incroyable réussite : coulisses du film (VO/ST 40’40), gros plan sur le chef décorateur (VO/ST 21’41), commentaire audio (VO), 3 bandes-annonces (VO/ST), 6 pubs télé (VO/ST), 12 pubs radio (VO/ST), galerie de 80 photos et affiches réparties en 9 thèmes. Du très “Bond” boulot ! –Laurence Hagege Pour la troisième fois, Roger Moore endossait en 1977 le costume de l’agent 007 dans une des aventures les plus spectaculaires et réussies de la série, qui mettait en scène l’inoubliable femme major russe campée par Barbara Bach.
Description
<p>Epaulé par l’agent soviétique Anya Amasova (Barbara Bach), James Bond (Roger moore) doit contrer les plans machiavéliques de Karl Stromberg (Curt Jurgens) qui tente de récupérer des sous-marins nucléaires afin de déclencher la troisième guerre mondiale. Malgré une intrigue bien légère, le dixième volet de la série marquait la victoire éclatante du producteur Albert R. Broccoli, resté seul maître à bord depuis le départ de Harry Saltzman. Réalisé par Lewis Gilbert, auteur du mythique “On ne vit que deux fois”, cet épisode s’avère être encore aujourd’hui l’un des préférés du public. Toujours adaptée de l’ouvre d’Ian Fleming, l’aventure est parue sur les écrans en 1977, année de l’avènement de “La Guerre des étoiles”. Comme le western intergalactique de George Lucas, “L’Espion qui m’aimait” fait la part belle aux effets spéciaux. Le film transporte le spectateur de Sardaigne en Ecosse via l’Egypte et les Bahamas, et dévoile des décors impressionnants réalisés par Ken Adams. Richard Kiel, le géant à la mâchoire d’acier est de cette partie de plaisir, ainsi que la ravissante Barbara Bach (Madame Ringo Starr) dans sa plus belle apparition à l’écran. Cerise sur le gâteau, “Nobody Does It Better”, la chanson du générique interprétée par Carly Simon et devenue depuis un standard, compte parmi ses plus réussies. L’espion qui m’aimait est le premier film de la série 007 tourné à partir d’un scénario original et non d’un roman de Ian Fleming. Le résultat est plus que réussi ! La Russie soviétique et l’Angleterre ont perdu chacune un sous-marin nucléaire. Les Britanniques dépêchent leur célèbre agent James Bond… Prétexte pour nous inviter à évoluer dans de splendides décors (récompensés par un oscar), magnifiquement mis en valeur par une image en format Cinémascope aux couleurs éclatantes et à la définition irréprochable. Le son VF est en mono d’origine, malheureusement pour les scènes d’action, moins impressionnantes qu’avec la VO en Dolby digital 5.1. Comme sur chaque DVD 007, une multitude de bonus, qui nous livrent les secrets d’une incroyable réussite : coulisses du film (VO/ST 40’40), gros plan sur le chef décorateur (VO/ST 21’41), commentaire audio (VO), 3 bandes-annonces (VO/ST), 6 pubs télé (VO/ST), 12 pubs radio (VO/ST), galerie de 80 photos et affiches réparties en 9 thèmes. Du très “Bond” boulot ! –Laurence Hagege Pour la troisième fois, Roger Moore endossait en 1977 le costume de l’agent 007 dans une des aventures les plus spectaculaires et réussies de la série, qui mettait en scène l’inoubliable femme major russe campée par Barbara Bach.</p>
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