À propos du vendeur
La mallette de l’usurier raconte une histoire typiquement italienne : une escroquerie aux aides sociales où apparaissent des hommes d’affaires véreux soi-disant reconvertis dans l’humanitaire, des députés propriétaires de boites de nuit, des fêtes de la jet-set où coulent le champagne et les filles faciles, des trafiquants de cocaïne et de pilules de Viagra qui ont leurs entrées partout. Le roman dépeint surtout le profond bouleversement de la société italienne amorcé dans les années 1980-90 et qui préfigurait déjà le sinistre clinquant du règne berlusconien. Dans ce décor, l’inspecteur Bagni, héros de La Dent du narval (Riv. Nº 665) et de Derniers coups de feu dans le Ticinese (Riv. Nº 722), se débat dans les contradictions de la vie italienne d’aujourd’hui : il se veut un flic honnête mais a volé le magot de la fameuse « mallette de l’usurier » qu’il dissimule honteusement dans un coffre de banque, il ferme les yeux sur les travers de ses collègues parfois violents et racistes dans une ville de Milan devenue cosmopolite, et ne sait plus réellement où il en est sur le plan de sa vie amoureuse. Homme complexe, il incarne une expérience de la société italienne moderne et réaliste, loin des fioritures et du folklore.La Mallette de l’usurier est le dernier volet de la « Trilogie de la ville de M. ». Piero Colaprico, l’un des journalistes les plus en vue du monde des médias italiens, travaille pour le grand quotidien La Repubblica. Longtemps spécialiste des faits divers, il a côtoyé tous les protagonistes du milieu, aussi bien dans le monde des voyous que dans celui de la police ou des magistrats. Cette expérience incomparable donne à ses romans leur parfum d’authenticité si particulier. Un étudiant est retrouvé mort dans un canal. Son colocataire et ami, traumatisé par le drame, donne l’impression de cacher quelque chose. L’inspecteur Bagni sait par ailleurs que la victime avait fréquenté un dealer, ce qui ne cadre pas du tout avec le personnage. Mais dans un Milan gangrené par la corruption, il ne faut pas se fier aux apparences… Après La dent du narval et Derniers coups de feu dans le Ticinese, La mallette de l’usurier est le dernier volet de la trilogie de la ville de M., peinture sensible d’une société désorientée qui n’est pas sans rappeler l’univers de Scerbanenco.
Description
<p>La mallette de l’usurier raconte une histoire typiquement italienne : une escroquerie aux aides sociales où apparaissent des hommes d’affaires véreux soi-disant reconvertis dans l’humanitaire, des députés propriétaires de boites de nuit, des fêtes de la jet-set où coulent le champagne et les filles faciles, des trafiquants de cocaïne et de pilules de Viagra qui ont leurs entrées partout. Le roman dépeint surtout le profond bouleversement de la société italienne amorcé dans les années 1980-90 et qui préfigurait déjà le sinistre clinquant du règne berlusconien. Dans ce décor, l’inspecteur Bagni, héros de La Dent du narval (Riv. Nº 665) et de Derniers coups de feu dans le Ticinese (Riv. Nº 722), se débat dans les contradictions de la vie italienne d’aujourd’hui : il se veut un flic honnête mais a volé le magot de la fameuse « mallette de l’usurier » qu’il dissimule honteusement dans un coffre de banque, il ferme les yeux sur les travers de ses collègues parfois violents et racistes dans une ville de Milan devenue cosmopolite, et ne sait plus réellement où il en est sur le plan de sa vie amoureuse. Homme complexe, il incarne une expérience de la société italienne moderne et réaliste, loin des fioritures et du folklore.La Mallette de l’usurier est le dernier volet de la « Trilogie de la ville de M. ». Piero Colaprico, l’un des journalistes les plus en vue du monde des médias italiens, travaille pour le grand quotidien La Repubblica. Longtemps spécialiste des faits divers, il a côtoyé tous les protagonistes du milieu, aussi bien dans le monde des voyous que dans celui de la police ou des magistrats. Cette expérience incomparable donne à ses romans leur parfum d’authenticité si particulier. Un étudiant est retrouvé mort dans un canal. Son colocataire et ami, traumatisé par le drame, donne l’impression de cacher quelque chose. L’inspecteur Bagni sait par ailleurs que la victime avait fréquenté un dealer, ce qui ne cadre pas du tout avec le personnage. Mais dans un Milan gangrené par la corruption, il ne faut pas se fier aux apparences… Après La dent du narval et Derniers coups de feu dans le Ticinese, La mallette de l’usurier est le dernier volet de la trilogie de la ville de M., peinture sensible d’une société désorientée qui n’est pas sans rappeler l’univers de Scerbanenco.</p>
Reliure
- Broché
Auteur
Piero ColapricoÉtat
- Très bon état
Épaisseur
1.4Longueur
16.99Largeur
11Nombre de pages
224ISBN 10
2743622563SBN 13
9782743622565Méthode de livraison
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