Les Tuniques Bleues - Tome 44 - L'oreille De Lincoln

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Les Tuniques Bleues - Tome 44 - L'oreille De Lincoln

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Caractéristiques techniques

Description

<p>Dès les premières cases, la bataille s&#8217;engage. Des fantassins de l&#8217;armée régulière des États-Unis chargent la position des rebelles sudistes. Les obus explosent. Des soldats s&#8217;écroulent, foudroyés. Le champ de bataille n&#8217;est plus que confusion de corps blessés et d&#8217;hommes valides ou blessés fuyant en pagaille. Les râles sont couverts par le bruit de la mitraille. À l&#8217;arrière, deux généraux se disputent. Le premier, le général Sherman, veut arrêter cette boucherie. Face à lui, le général Grant réplique que cet assaut-là réussira, c&#8217;est sûr. &#8220;On ne fait pas d&#8217;omelette sans casser des œufs&#8221; conclut-il cyniquement. On est dans un western réaliste, un film de John Wayne, de Raoul Walsh ou dans une BD de Blueberry ? Détrompez-vous : nous sommes dans une BD humoristique. Les Tuniques bleues, l&#8217;un des pamphlets anti-militaristes les plus mordants jamais créés par l&#8217;école belge de bande dessinée. Créée pour le Journal de Spirou en 1968 pour remplacer un &#8220;Poor Lonesome Cow-Boy&#8221; parti chevaucher vers d&#8217;autres horizons, qui aurait cru que les Tuniques Bleues seraient encore là trente ans après leurs premiers exploits ? Raoul Cauvin, qui faisait ses débuts de scénariste et Louis Salvérius un jeune dessinateur inconnu, avaient opportunément proposé de créer une nouvelle série dans le registre du western humoristique. Grâce à un couple de duettistes exceptionnels – Chesterfield, un sergent au sens de l&#8217;honneur chevillé à l&#8217;uniforme, pour qui la guerre est une opportunité, et Blutch, un caporal pleutre, tire-au-flanc mais plein de bon sens – ils ont pu relever le défi. La série démarra &#8220;sur les chapeaux de roue&#8221;. Mais, en 1970, dès la moitié du troisième album, la mort emporta le dessinateur Salvérius et laissa la série orpheline. Willy Lambil, qui n&#8217;arrivait pas à faire décoller la série Sandy et Hoppy malgré ses 23 épisodes, reprit la série brillamment et arriva à construire au bout de 44 albums une saga qui a rarement montré des signes de faiblesses. Fondé sur la technique des gags à répétition qui, comme dans Astérix ou Lucky Luke son modèle, les histoires de Cauvin et Lambil mêlent agréablement les anecdotes historiques et la farce humoristique. Confortée par un succès grandissant, cette série sans prétention artistique excessive illustre parfaitement la tradition de l&#8217;école belge : celle d&#8217;un divertissement réussi qui ravit aussi bien les adultes que les plus jeunes. &#8211;Didier Pasamonik Pour déloger les Sudistes retranchés dans un camp inexpugnable, le général Grant a une bonne idée. Mais son plan, creuser une galerie sous leur camp pour y faire sauter des tonneaux de poudre, fait long feu et le chef des Bleus replonge une fois encore dans la dive bouteille. Excédé, Lincoln envoie un de ses espions enquêter, prêt à saquer le général alcoolique. Blutch et Chesterfield vont devoir rivaliser d’ingéniosité pour ramener leur général dans le droit chemin tout en déjouant les plans de cet espion surnommé “l’Oreille du général”… Le sergent Chesterfield et le caporal Blutch sont à la BD ce que Laurel et Hardy étaient au cinéma : il y a le gros et le petit, les deux réunis formant un duo comique. Soldats dans l&#8217;armée nordiste pendant la guerre de Sécession, ces Tuniques repeintes aux couleurs de l&#8217;humour sont un classique de Spirou depuis leurs premiers (et peu glorieux) fait d&#8217;armes en 1968.</p>

Reliure

  • Broché

Auteur

Raoul Cauvin,Willy Lambil

État

  • Très bon état

Épaisseur

0.79

Longueur

30

Largeur

21.79

Nombre de pages

48

ISBN 10

2800130938

SBN 13

9782800130934

À propos du vendeur

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Vendu par
Livr'Ensemble
Rue du Grand Péril 108, 7090 Braine-le-Comte, Belgique

Dès les premières cases, la bataille s’engage. Des fantassins de l’armée régulière des États-Unis chargent la position des rebelles sudistes. Les obus explosent. Des soldats s’écroulent, foudroyés. Le champ de bataille n’est plus que confusion de corps blessés et d’hommes valides ou blessés fuyant en pagaille. Les râles sont couverts par le bruit de la mitraille. À l’arrière, deux généraux se disputent. Le premier, le général Sherman, veut arrêter cette boucherie. Face à lui, le général Grant réplique que cet assaut-là réussira, c’est sûr. “On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs” conclut-il cyniquement. On est dans un western réaliste, un film de John Wayne, de Raoul Walsh ou dans une BD de Blueberry ? Détrompez-vous : nous sommes dans une BD humoristique. Les Tuniques bleues, l’un des pamphlets anti-militaristes les plus mordants jamais créés par l’école belge de bande dessinée. Créée pour le Journal de Spirou en 1968 pour remplacer un “Poor Lonesome Cow-Boy” parti chevaucher vers d’autres horizons, qui aurait cru que les Tuniques Bleues seraient encore là trente ans après leurs premiers exploits ? Raoul Cauvin, qui faisait ses débuts de scénariste et Louis Salvérius un jeune dessinateur inconnu, avaient opportunément proposé de créer une nouvelle série dans le registre du western humoristique. Grâce à un couple de duettistes exceptionnels – Chesterfield, un sergent au sens de l’honneur chevillé à l’uniforme, pour qui la guerre est une opportunité, et Blutch, un caporal pleutre, tire-au-flanc mais plein de bon sens – ils ont pu relever le défi. La série démarra “sur les chapeaux de roue”. Mais, en 1970, dès la moitié du troisième album, la mort emporta le dessinateur Salvérius et laissa la série orpheline. Willy Lambil, qui n’arrivait pas à faire décoller la série Sandy et Hoppy malgré ses 23 épisodes, reprit la série brillamment et arriva à construire au bout de 44 albums une saga qui a rarement montré des signes de faiblesses. Fondé sur la technique des gags à répétition qui, comme dans Astérix ou Lucky Luke son modèle, les histoires de Cauvin et Lambil mêlent agréablement les anecdotes historiques et la farce humoristique. Confortée par un succès grandissant, cette série sans prétention artistique excessive illustre parfaitement la tradition de l’école belge : celle d’un divertissement réussi qui ravit aussi bien les adultes que les plus jeunes. –Didier Pasamonik Pour déloger les Sudistes retranchés dans un camp inexpugnable, le général Grant a une bonne idée. Mais son plan, creuser une galerie sous leur camp pour y faire sauter des tonneaux de poudre, fait long feu et le chef des Bleus replonge une fois encore dans la dive bouteille. Excédé, Lincoln envoie un de ses espions enquêter, prêt à saquer le général alcoolique. Blutch et Chesterfield vont devoir rivaliser d’ingéniosité pour ramener leur général dans le droit chemin tout en déjouant les plans de cet espion surnommé “l’Oreille du général”… Le sergent Chesterfield et le caporal Blutch sont à la BD ce que Laurel et Hardy étaient au cinéma : il y a le gros et le petit, les deux réunis formant un duo comique. Soldats dans l’armée nordiste pendant la guerre de Sécession, ces Tuniques repeintes aux couleurs de l’humour sont un classique de Spirou depuis leurs premiers (et peu glorieux) fait d’armes en 1968.

Description

<p>Dès les premières cases, la bataille s&#8217;engage. Des fantassins de l&#8217;armée régulière des États-Unis chargent la position des rebelles sudistes. Les obus explosent. Des soldats s&#8217;écroulent, foudroyés. Le champ de bataille n&#8217;est plus que confusion de corps blessés et d&#8217;hommes valides ou blessés fuyant en pagaille. Les râles sont couverts par le bruit de la mitraille. À l&#8217;arrière, deux généraux se disputent. Le premier, le général Sherman, veut arrêter cette boucherie. Face à lui, le général Grant réplique que cet assaut-là réussira, c&#8217;est sûr. &#8220;On ne fait pas d&#8217;omelette sans casser des œufs&#8221; conclut-il cyniquement. On est dans un western réaliste, un film de John Wayne, de Raoul Walsh ou dans une BD de Blueberry ? Détrompez-vous : nous sommes dans une BD humoristique. Les Tuniques bleues, l&#8217;un des pamphlets anti-militaristes les plus mordants jamais créés par l&#8217;école belge de bande dessinée. Créée pour le Journal de Spirou en 1968 pour remplacer un &#8220;Poor Lonesome Cow-Boy&#8221; parti chevaucher vers d&#8217;autres horizons, qui aurait cru que les Tuniques Bleues seraient encore là trente ans après leurs premiers exploits ? Raoul Cauvin, qui faisait ses débuts de scénariste et Louis Salvérius un jeune dessinateur inconnu, avaient opportunément proposé de créer une nouvelle série dans le registre du western humoristique. Grâce à un couple de duettistes exceptionnels – Chesterfield, un sergent au sens de l&#8217;honneur chevillé à l&#8217;uniforme, pour qui la guerre est une opportunité, et Blutch, un caporal pleutre, tire-au-flanc mais plein de bon sens – ils ont pu relever le défi. La série démarra &#8220;sur les chapeaux de roue&#8221;. Mais, en 1970, dès la moitié du troisième album, la mort emporta le dessinateur Salvérius et laissa la série orpheline. Willy Lambil, qui n&#8217;arrivait pas à faire décoller la série Sandy et Hoppy malgré ses 23 épisodes, reprit la série brillamment et arriva à construire au bout de 44 albums une saga qui a rarement montré des signes de faiblesses. Fondé sur la technique des gags à répétition qui, comme dans Astérix ou Lucky Luke son modèle, les histoires de Cauvin et Lambil mêlent agréablement les anecdotes historiques et la farce humoristique. Confortée par un succès grandissant, cette série sans prétention artistique excessive illustre parfaitement la tradition de l&#8217;école belge : celle d&#8217;un divertissement réussi qui ravit aussi bien les adultes que les plus jeunes. &#8211;Didier Pasamonik Pour déloger les Sudistes retranchés dans un camp inexpugnable, le général Grant a une bonne idée. Mais son plan, creuser une galerie sous leur camp pour y faire sauter des tonneaux de poudre, fait long feu et le chef des Bleus replonge une fois encore dans la dive bouteille. Excédé, Lincoln envoie un de ses espions enquêter, prêt à saquer le général alcoolique. Blutch et Chesterfield vont devoir rivaliser d’ingéniosité pour ramener leur général dans le droit chemin tout en déjouant les plans de cet espion surnommé “l’Oreille du général”… Le sergent Chesterfield et le caporal Blutch sont à la BD ce que Laurel et Hardy étaient au cinéma : il y a le gros et le petit, les deux réunis formant un duo comique. Soldats dans l&#8217;armée nordiste pendant la guerre de Sécession, ces Tuniques repeintes aux couleurs de l&#8217;humour sont un classique de Spirou depuis leurs premiers (et peu glorieux) fait d&#8217;armes en 1968.</p>

Reliure

  • Broché

Auteur

Raoul Cauvin,Willy Lambil

État

  • Très bon état

Épaisseur

0.79

Longueur

30

Largeur

21.79

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48

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2800130938

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9782800130934

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