![Octopussy [Édition Spéciale]](https://kreezalid.s3.eu-central-1.amazonaws.com/563898/assets/8100/81/image-d4283e52cf3a08809fc24a301fec8246.jpg)
Octopussy [Édition Spéciale]
Référence: D1541
Livr'EnsembleCaractéristiques techniques
Description
<p>Un agent anglais est découvert mort, un ouf Fabergé dans la main. James Bond (Roger Moore) est aussitôt chargé de l’enquête. Ses investigations le mènent en Inde, sur les traces d’un général russe allié à un prince afghan qui fomente un complot visant à déclencher la troisième guerre mondiale. Une mystérieuse femme d’affaires (Maud Adams) semble être impliquée. Elle répond au nom magique d’Octopussy. Cette même année 1983, Sean Connery faisait un come-back inattendu, endossant à nouveau le costume de James Bond dans “Jamais plus jamais” d’Irvin Kershner. Craignant la concurrence, Cubby Broccoli et les siens décidèrent donc de mettre les bouchées doubles pour le 13e épisode de la série (sans compter “Casino Royale”). Ils réussirent leur pari car “Octopussy”, signé par John Glen, enflamma le box-office et compte aujourd’hui parmi les épisodes les plus populaires de la série. Les cinq premières minutes sont un feu d’artifice d’action que le reste du film ne dément pas. La distribution est excellente et Louis Jourdan est machiavélique à souhait. On retrouve Maud Adams, qui sévissait déjà dans “L’Homme au pistolet d’or”, bien plus inspirée ici, à la tête d’une armée de playmates aux tendances gays mais politiquement correctes. Quant aux téléphiles, ils reconnaîtront le bel acteur indien Kabir Bedi qui fut, dans les années 70, la star de la série TV “Sandokan”. Sans doute motivé par la concurrence (Jamais plus jamais avec Sean Connery sorti la même année), Octopussy est l’épisode le plus mouvementé et le plus exotique de la série. James Bond doit y déjouer le complot d’un général russe, allié à un prince afghan, qui vise à s’emparer du trésor des tsars de l’ancienne union soviétique. Le transfert en 2.35 16/9 est largement justifié pour profiter pleinement des paysages multicolores à l’étalonnage parfait. La piste sonore manque cruellement de dynamique malgré un Dolby surround, en VF comme en VO, qui ne parvient à s’animer qu’occasionnellement. Mais la richesse des bonus vaut, à elle seule, le détour : coulisses du film (VO/ST 33’08), conception des décors (VO/ST 20’59), commentaires du réalisateur (VO), 2 séquences du story-board (VO/ST), clip “All Times High” (3’07) et 4 bandes-annonces (VO/ST). –Laurence Hagege L’agent 009 est retrouvé mort, un oeuf de Fabergé à la main. Manifestement, les Russes sont en train de vendre massivement leurs inestimables joyaux. Le MI6 craint que les bénéfices de ces ventes ne soient utilisés à des fins militaires dangereuses et confie la mission à son meilleur agent : James Bond, évidemment. La plus exotique des aventures de 007 paraissait sur les écrans en 1983. La qualité du DVD restitue parfaitement la beauté des paysages paradisiaques de l’Inde, en format 2.35 et 16/9. Le son en Dolby Digital 2.0 surround est honorable et les nombreux bonus sont presque tous en VO sous-titrée.</p>
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Un agent anglais est découvert mort, un ouf Fabergé dans la main. James Bond (Roger Moore) est aussitôt chargé de l’enquête. Ses investigations le mènent en Inde, sur les traces d’un général russe allié à un prince afghan qui fomente un complot visant à déclencher la troisième guerre mondiale. Une mystérieuse femme d’affaires (Maud Adams) semble être impliquée. Elle répond au nom magique d’Octopussy. Cette même année 1983, Sean Connery faisait un come-back inattendu, endossant à nouveau le costume de James Bond dans “Jamais plus jamais” d’Irvin Kershner. Craignant la concurrence, Cubby Broccoli et les siens décidèrent donc de mettre les bouchées doubles pour le 13e épisode de la série (sans compter “Casino Royale”). Ils réussirent leur pari car “Octopussy”, signé par John Glen, enflamma le box-office et compte aujourd’hui parmi les épisodes les plus populaires de la série. Les cinq premières minutes sont un feu d’artifice d’action que le reste du film ne dément pas. La distribution est excellente et Louis Jourdan est machiavélique à souhait. On retrouve Maud Adams, qui sévissait déjà dans “L’Homme au pistolet d’or”, bien plus inspirée ici, à la tête d’une armée de playmates aux tendances gays mais politiquement correctes. Quant aux téléphiles, ils reconnaîtront le bel acteur indien Kabir Bedi qui fut, dans les années 70, la star de la série TV “Sandokan”. Sans doute motivé par la concurrence (Jamais plus jamais avec Sean Connery sorti la même année), Octopussy est l’épisode le plus mouvementé et le plus exotique de la série. James Bond doit y déjouer le complot d’un général russe, allié à un prince afghan, qui vise à s’emparer du trésor des tsars de l’ancienne union soviétique. Le transfert en 2.35 16/9 est largement justifié pour profiter pleinement des paysages multicolores à l’étalonnage parfait. La piste sonore manque cruellement de dynamique malgré un Dolby surround, en VF comme en VO, qui ne parvient à s’animer qu’occasionnellement. Mais la richesse des bonus vaut, à elle seule, le détour : coulisses du film (VO/ST 33’08), conception des décors (VO/ST 20’59), commentaires du réalisateur (VO), 2 séquences du story-board (VO/ST), clip “All Times High” (3’07) et 4 bandes-annonces (VO/ST). –Laurence Hagege L’agent 009 est retrouvé mort, un oeuf de Fabergé à la main. Manifestement, les Russes sont en train de vendre massivement leurs inestimables joyaux. Le MI6 craint que les bénéfices de ces ventes ne soient utilisés à des fins militaires dangereuses et confie la mission à son meilleur agent : James Bond, évidemment. La plus exotique des aventures de 007 paraissait sur les écrans en 1983. La qualité du DVD restitue parfaitement la beauté des paysages paradisiaques de l’Inde, en format 2.35 et 16/9. Le son en Dolby Digital 2.0 surround est honorable et les nombreux bonus sont presque tous en VO sous-titrée.
Description
<p>Un agent anglais est découvert mort, un ouf Fabergé dans la main. James Bond (Roger Moore) est aussitôt chargé de l’enquête. Ses investigations le mènent en Inde, sur les traces d’un général russe allié à un prince afghan qui fomente un complot visant à déclencher la troisième guerre mondiale. Une mystérieuse femme d’affaires (Maud Adams) semble être impliquée. Elle répond au nom magique d’Octopussy. Cette même année 1983, Sean Connery faisait un come-back inattendu, endossant à nouveau le costume de James Bond dans “Jamais plus jamais” d’Irvin Kershner. Craignant la concurrence, Cubby Broccoli et les siens décidèrent donc de mettre les bouchées doubles pour le 13e épisode de la série (sans compter “Casino Royale”). Ils réussirent leur pari car “Octopussy”, signé par John Glen, enflamma le box-office et compte aujourd’hui parmi les épisodes les plus populaires de la série. Les cinq premières minutes sont un feu d’artifice d’action que le reste du film ne dément pas. La distribution est excellente et Louis Jourdan est machiavélique à souhait. On retrouve Maud Adams, qui sévissait déjà dans “L’Homme au pistolet d’or”, bien plus inspirée ici, à la tête d’une armée de playmates aux tendances gays mais politiquement correctes. Quant aux téléphiles, ils reconnaîtront le bel acteur indien Kabir Bedi qui fut, dans les années 70, la star de la série TV “Sandokan”. Sans doute motivé par la concurrence (Jamais plus jamais avec Sean Connery sorti la même année), Octopussy est l’épisode le plus mouvementé et le plus exotique de la série. James Bond doit y déjouer le complot d’un général russe, allié à un prince afghan, qui vise à s’emparer du trésor des tsars de l’ancienne union soviétique. Le transfert en 2.35 16/9 est largement justifié pour profiter pleinement des paysages multicolores à l’étalonnage parfait. La piste sonore manque cruellement de dynamique malgré un Dolby surround, en VF comme en VO, qui ne parvient à s’animer qu’occasionnellement. Mais la richesse des bonus vaut, à elle seule, le détour : coulisses du film (VO/ST 33’08), conception des décors (VO/ST 20’59), commentaires du réalisateur (VO), 2 séquences du story-board (VO/ST), clip “All Times High” (3’07) et 4 bandes-annonces (VO/ST). –Laurence Hagege L’agent 009 est retrouvé mort, un oeuf de Fabergé à la main. Manifestement, les Russes sont en train de vendre massivement leurs inestimables joyaux. Le MI6 craint que les bénéfices de ces ventes ne soient utilisés à des fins militaires dangereuses et confie la mission à son meilleur agent : James Bond, évidemment. La plus exotique des aventures de 007 paraissait sur les écrans en 1983. La qualité du DVD restitue parfaitement la beauté des paysages paradisiaques de l’Inde, en format 2.35 et 16/9. Le son en Dolby Digital 2.0 surround est honorable et les nombreux bonus sont presque tous en VO sous-titrée.</p>
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