![Bons Baisers de Russie [Édition Spéciale]](https://kreezalid.s3.eu-central-1.amazonaws.com/563898/assets/8100/81/image-116d7ce4f82919a1e628af3e3371d8f8.jpg)
Bons Baisers de Russie [Édition Spéciale]
Référence: D1538
Livr'EnsembleCaractéristiques techniques
Description
<p>James Bond (Sean Connery) se rend à Istanbul pour rencontrer un ex-agent russe qui doit lui remettre un décodeur d’une importance capitale. Bien sûr, le rendez-vous se révèle être un piège. Le succès de ce deuxième épisode de la saga James Bond surpassa celui du premier, paru l’année précédente. Grâce à sa mise en scène hitchcockienne en diable (James Bond poursuivi par un hélicoptère, un train en guise d’aire de combat) et une intrigue qui colle comme une ombre à l’ouvre de Ian Fleming (hormis le changement diplomatique d’identité des vilains, russes dans le livre, ils font partie du SPECTRE dans le film), l’aventure reste l’une des préférées des adeptes de la série. Ian Fleming lui-même fut enthousiasmé par la prestation de Sean Connery et déclara : “Il ressemble indéniablement à Bond, et je ne vois pas qui aurait pu faire mieux que lui.” Lors de la sortie du film sur les écrans, le président Kennedy lui fit une belle publicité en révélant dans le magazine “Life” que “Bons baisers de Russie” faisait partie de ses dix livres préférés de tous les temps. Enfin, n’omettons pas un détail qui a son importance, c’est dans cet épisode qu’apparaissait pour la première fois, dans le rôle de Q, le regretté et délicieux Desmond Llewelyn. Après “James Bond contre Dr No”, la suite des aventures de l’agent 007, menée tambour battant en 1963 par les mêmes Terence Young et Sean Connery, s’avéra au moins aussi palpitante que la précédente.</p>
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James Bond (Sean Connery) se rend à Istanbul pour rencontrer un ex-agent russe qui doit lui remettre un décodeur d’une importance capitale. Bien sûr, le rendez-vous se révèle être un piège. Le succès de ce deuxième épisode de la saga James Bond surpassa celui du premier, paru l’année précédente. Grâce à sa mise en scène hitchcockienne en diable (James Bond poursuivi par un hélicoptère, un train en guise d’aire de combat) et une intrigue qui colle comme une ombre à l’ouvre de Ian Fleming (hormis le changement diplomatique d’identité des vilains, russes dans le livre, ils font partie du SPECTRE dans le film), l’aventure reste l’une des préférées des adeptes de la série. Ian Fleming lui-même fut enthousiasmé par la prestation de Sean Connery et déclara : “Il ressemble indéniablement à Bond, et je ne vois pas qui aurait pu faire mieux que lui.” Lors de la sortie du film sur les écrans, le président Kennedy lui fit une belle publicité en révélant dans le magazine “Life” que “Bons baisers de Russie” faisait partie de ses dix livres préférés de tous les temps. Enfin, n’omettons pas un détail qui a son importance, c’est dans cet épisode qu’apparaissait pour la première fois, dans le rôle de Q, le regretté et délicieux Desmond Llewelyn. Après “James Bond contre Dr No”, la suite des aventures de l’agent 007, menée tambour battant en 1963 par les mêmes Terence Young et Sean Connery, s’avéra au moins aussi palpitante que la précédente.
Description
<p>James Bond (Sean Connery) se rend à Istanbul pour rencontrer un ex-agent russe qui doit lui remettre un décodeur d’une importance capitale. Bien sûr, le rendez-vous se révèle être un piège. Le succès de ce deuxième épisode de la saga James Bond surpassa celui du premier, paru l’année précédente. Grâce à sa mise en scène hitchcockienne en diable (James Bond poursuivi par un hélicoptère, un train en guise d’aire de combat) et une intrigue qui colle comme une ombre à l’ouvre de Ian Fleming (hormis le changement diplomatique d’identité des vilains, russes dans le livre, ils font partie du SPECTRE dans le film), l’aventure reste l’une des préférées des adeptes de la série. Ian Fleming lui-même fut enthousiasmé par la prestation de Sean Connery et déclara : “Il ressemble indéniablement à Bond, et je ne vois pas qui aurait pu faire mieux que lui.” Lors de la sortie du film sur les écrans, le président Kennedy lui fit une belle publicité en révélant dans le magazine “Life” que “Bons baisers de Russie” faisait partie de ses dix livres préférés de tous les temps. Enfin, n’omettons pas un détail qui a son importance, c’est dans cet épisode qu’apparaissait pour la première fois, dans le rôle de Q, le regretté et délicieux Desmond Llewelyn. Après “James Bond contre Dr No”, la suite des aventures de l’agent 007, menée tambour battant en 1963 par les mêmes Terence Young et Sean Connery, s’avéra au moins aussi palpitante que la précédente.</p>
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