À propos du vendeur
Suite et fin des aventures des cryptoanalystes et comploteurs – de la Seconde Guerre mondiale à nos jours – qui ont ravi les fans de Neal Stephenson à deux reprises déjà. Après Le Code Enigma et Le Réseau Kinakuta, tous les esprits se concentrent dans le dernier tome de la série sur l’accès au tant convoité “Golgotha” : c’est là dans une cavité creusée sur une île au sud de Manille par le terrassier de génie Gotto Dengo que reposent, depuis la Seconde Guerre mondiale, les millions de tonnes d’or volées par les Nippons dans toute l’Asie afin de tenir lieu de garantie pour la future “monnaie légale de la Grande sphère de Coprospérité”. Une fois les délires hégémoniques balayés par la victoire américaine de 1945, reste à découvrir l’endroit où ce trésor a été enfoui, dans un lieu indiqué dans des messages interceptés soixante ans plus tôt. Toutefois, nul jusqu’ici n’est encore parvenu à casser l’inviolable code Arethusa. Le récit alterne entre scènes d’action liées à la guerre de 39-45 (mise en place du Golgotha par Dengo, mission héroïque du “marine” Bobby Shaftoe œuvrant pour le général MacArthur) et la course contre la montre que se livrent au XXIe siècle deux groupes voulant s’emparer du Golgotha. Sur les traces de son grand-père, brillant décrypteur, l’informaticien-pirate Randy Waterhouse se bat maintenant à la fois pour sauver sa société de base de données et décrocher le gros lot. Roman de guerre, d’espionnage et techno-thriller tout à la fois, Cryptonomicon 3 décoiffe tout autant que les deux volumes qui précèdent, empreint de ce mélange d’humour tonitruant, d’expression soutenue (frisant parfois la préciosité archaïque) et d’érudition scientifique qui fait de Neal Stephenson un auteur proprement inimitable, et de “Cryptonomicon” un événement littéraire sans précédent. Le lecteur profane qui débarque directement dans ces pages aura un peu de mal à y trouver ses marques, chahuté – comme tous les autres il est vrai – par un premier chapitre mathematico-hard illustrant la notion d’équité, mais le jeu en vaut largement la chandelle. Résumons : une fresque SF sans temps mort qui permet à chacun d’acquérir un bon sens cryptique incontestable –Frédéric Grolleau Front du Pacifique, 1944. Pour sauver leur trésor de guerre, les Japonais n’ont qu’un seul atout un secret nommé Golgotha. Au même moment, au large des Philippines, un étrange sous-marin allemand emporte les codes de guerre des nazis. Soixante ans plus tard, ces mystères vont voler en éclats. La conclusion brillante d’un roman-jeu de piste déjà “culte”, où le techno-thriller rencontre les sciences exactes.
Description
<p>Suite et fin des aventures des cryptoanalystes et comploteurs – de la Seconde Guerre mondiale à nos jours – qui ont ravi les fans de Neal Stephenson à deux reprises déjà. Après Le Code Enigma et Le Réseau Kinakuta, tous les esprits se concentrent dans le dernier tome de la série sur l’accès au tant convoité “Golgotha” : c’est là dans une cavité creusée sur une île au sud de Manille par le terrassier de génie Gotto Dengo que reposent, depuis la Seconde Guerre mondiale, les millions de tonnes d’or volées par les Nippons dans toute l’Asie afin de tenir lieu de garantie pour la future “monnaie légale de la Grande sphère de Coprospérité”. Une fois les délires hégémoniques balayés par la victoire américaine de 1945, reste à découvrir l’endroit où ce trésor a été enfoui, dans un lieu indiqué dans des messages interceptés soixante ans plus tôt. Toutefois, nul jusqu’ici n’est encore parvenu à casser l’inviolable code Arethusa. Le récit alterne entre scènes d’action liées à la guerre de 39-45 (mise en place du Golgotha par Dengo, mission héroïque du “marine” Bobby Shaftoe œuvrant pour le général MacArthur) et la course contre la montre que se livrent au XXIe siècle deux groupes voulant s’emparer du Golgotha. Sur les traces de son grand-père, brillant décrypteur, l’informaticien-pirate Randy Waterhouse se bat maintenant à la fois pour sauver sa société de base de données et décrocher le gros lot. Roman de guerre, d’espionnage et techno-thriller tout à la fois, Cryptonomicon 3 décoiffe tout autant que les deux volumes qui précèdent, empreint de ce mélange d’humour tonitruant, d’expression soutenue (frisant parfois la préciosité archaïque) et d’érudition scientifique qui fait de Neal Stephenson un auteur proprement inimitable, et de “Cryptonomicon” un événement littéraire sans précédent. Le lecteur profane qui débarque directement dans ces pages aura un peu de mal à y trouver ses marques, chahuté – comme tous les autres il est vrai – par un premier chapitre mathematico-hard illustrant la notion d’équité, mais le jeu en vaut largement la chandelle. Résumons : une fresque SF sans temps mort qui permet à chacun d’acquérir un bon sens cryptique incontestable –Frédéric Grolleau Front du Pacifique, 1944. Pour sauver leur trésor de guerre, les Japonais n’ont qu’un seul atout un secret nommé Golgotha. Au même moment, au large des Philippines, un étrange sous-marin allemand emporte les codes de guerre des nazis. Soixante ans plus tard, ces mystères vont voler en éclats. La conclusion brillante d’un roman-jeu de piste déjà “culte”, où le techno-thriller rencontre les sciences exactes.</p>
Reliure
- Broché
Auteur
Neal StephensonÉtat
- Très bon état
Épaisseur
3Longueur
23.5Largeur
15.49Nombre de pages
417ISBN 10
2228894699SBN 13
9782228894692Méthode de livraison
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